@Eric F

Arrêtez ces fausses informations de « résultats » en rapport avec des statuts vaccinaux.

Les gens qui tombent gravement malades et qui succombent lors des épidémies de maladies respiratoires en automne-hiver, présentent toutes, toutes, vraiment toutes, des dysfonctionnements de leur glycémie.

De très nombreuses études l’attestent. Les vaccins, dont vous faites état, et dont vous êtes un fervent défenseur, n’ont strictement aucune action sur la glycémie ni l’hyperglycémie, ni la glycémie post-prandiale, ni sur la glycémie à jeun. 

Tout ce que vous rapportez c’est du bidon, c’est uniquement de la com pour l’industrie pharmaceutique. Les vaccins ne peuvent jouer aucun rôle chez des personnes à la glycémie dérégulée. 

Bien évidemment, vous n’avez strictement aucune idée du rôle que joue une glycémie dérégulée dans l’émergence des épidémies de maladies respiratoires et cardiovasculaires en automne-hiver. Ceci vous passe au dessus de la tête puisque les « virus » ont encerclé et annihilé votre réflexion.

... « Les preuves que les patients avec une glycémie élevée ou une IGT (intolérance au glucose) sont plus sujettes à une primo-infection sévère et à des complications et décès liés au COVID-19 dans la littérature sont accablantes.
Une glycémie élevée peut non seulement expliquer une grande partie de la variance de la gravité du COVID-19 en tant que biomarqueur corrélatif, mais comme pratiquement chaque action du glucose dans les voies biochimiques, métaboliques et homéostatiques semble ne servir qu’à faciliter l’infection, elle pourrait également être un facteur déterminant. facteur de gravité de la maladie. Le contrôle de la glycémie pourrait donc réduire la gravité de la maladie et par conséquent également le taux de mortalité. »...

Ainsi, Eric F, en pensant « virus » et non « glucose » vous condamnez des gens qui auraient pu être sauvés.