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Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur L'ère de l'IA a commencé


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 28 mars 2023 12:43

Avant de lire. Avez-vous écouté les nouvelles sur le Libre ce matin. Résumé. Un jeunie préoccupé de l’avenir de la planète, posait des questions sur un engin I.A. . Ne recevant que des réponses reprises par le Giec. Il a commencé une sérieuse dépression. Il se tourne vers la religion pour trouver une réponse qui manifestement n’a pas aidé. Il a continué avec un robot I.A. a qui il disait que si on ne trouvait aucune solution (je ne sais si l’I.A. lui a réponde que le nombre des habitants de la planète devrait diminuer de trois quart....). Au finla, ben c’est très simple : Marié, il s’est suicidé........ Je ne vais pas lire l’article trop car pour moi. L’I.A. est une catastrophe pour l’humanité ou ce qu’il en reste....... D’ailleurs, des artistes vont porter plainte car suite au montage de la jeunes filles à la perles de Vermeer, ils estiment que leur métier a disparu. Et que leurs oeuvres ne valent plus rien. Ah quand un Nuremberg pour l’I.A. Si vous voulez des référence. Lisez Jeffrey HERF qui est très explicite sur la technologie. Pour lui, c’est bein simple : le but est de remplacer l’humanité par des robots.... Un génécide àl’échelle planétaire. d’inspiration NAZIE. 


L’échappée

Le modernisme réactionnaire

Haine de la raison et culte de la technologie aux sources du nazisme

Le nazisme est trop souvent présenté comme un mouvement profondément antimoderne, obsédé par un passé mythique et exaltant la communauté du sang et de la tradition culturelle. Dans ce livre, qui a fait date par son approche radicalement nouvelle, Jeffrey Herf montre au contraire qu’il a voué un culte délirant à la technologie la plus avancée.

Pour ce faire, le grand historien américain s’est livré à une enquête approfondie sur les origines idéologiques du IIIe Reich, mettant en lumière une nébuleuse originale d’intellectuels, dont plusieurs ont marqué l’histoire des idées, comme Oswald Spengler, Ernst Jünger, Werner Sombart ou Cari Schmitt. Le point commun de ces « modernistes réactionnaires » est d’avoir fusionné certaines dimensions de la société industrielle - son mode de production et sa technologie, la rationalité instrumentale -, avec la culture du nationalisme allemand, caractérisée par sa haine de la raison et de la démocratie.

Les conclusions qui se dégagent de cette passionnante enquête, qui a renouvelé l’interprétation du phénomène nazi, et jusqu’ici étonnamment restée inédite en français, sont les suivantes : d’une part, la modernité n’est pas un phénomène monolithique, qu’il faudrait accepter ou rejeter en bloc ; d’autre part, l’adhésion à la modernité technique n’est pas en soi un gage d’émancipation.

RÉSUMÉ

Une enquête sur les origines idéologiques du nazisme, mettant en lumière une nébuleuse d’intellectuels dont plusieurs ont marqué l’histoire des idées, comme Oswald Spengler, Ernst Jünger, Werner Sombart ou Carl Schmitt. Le point commun de ces modernistes est d’avoir fusionné certaines dimensions de la société industrielle avec la culture du nationalisme allemand. ©Electre 2023

CARACTÉRISTIQUES

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