@Pie 3,14

Flagrant délit... sinon de mensonge grossier, au moins de laxisme dans la vérification des faits... Un émule de Rudy R ?
« Ce n’est écrit nulle part », affirmez-vous, le timbre fort et la démarche martiale...
Voire...

Je sais que wikipedia n’est pas une garantie absolue mais on peut y lire ceci :

« Élisabeth Borne naît le 18 avril 1961 dans le 15e arrondissement de Paris du mariage de Joseph Borne, né Bornstein1 (1924-1972) à Anvers en Belgique, et de Marguerite Lescène (1920-2015)2, pharmacienne à Livarot dans le Calvados3. »

et cela :
« En 1950, Joseph Bornstein, Juif d’origine russe8 jusqu’alors apatride9, résistant10 rescapé des camps de concentration nazis d’Auschwitz et de Buchenwaldc, obtient la nationalité française. Il reprend le nom de Borne, son nom de guerre figurant sur ses faux papiers »
En gros, faux et usage de faux, quoi ! La routine pour nos gouvernants...

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Borne

Sinon, en deuxième rideau, on a aussi :

https://www.geneastar.org/celebrite/borneelisab/elisabeth-borne
qui prouve, s’il le fallait, qu’il y a bien le nom Bornstein dans l’arbre généalogique paternel et confirme l’usage d’un « nom de guerre » ou faux nom ...

Et comme j’aime achever les menteurs pris en flag, un troisième, pour la route :

https://www.linternaute.com/actualite/biographie/2235085-elisabeth-borne-peut-elle-etre-poussee-a-la-demission-par-les-deputes/#les-origines-et-la-jeunesse-delisabeth-borne-des-marqueurs

où on peut lire, en consultant la rubrique Origines et jeunesse :"Elisabeth Borne, née le 18 avril 1961, est la fille de Joseph Bornstein, l’un des quatre enfants d’une famille yiddish, immigrée dans l’entre-deux-guerres en Belgique puis en France dès 1939, sous la pression de l’antisémitisme dans les pays de l’Est. Membre pendant la Seconde Guerre mondiale de l’Organisation juive de combat, un mouvement de résistance, il a plusieurs fois été chargé d’escorter des personnes vers le maquis, dans le Tarn. Arrêté fin 1943 avec son frère Isaac et son père Zelig, il a été interrogé par la Gestapo sans dénoncer ses camarades, rapporte Le Point, qui a eu accès à son dossier de demande du titre de déporté résistant. Envoyé à Drancy, Auschwitz puis Buchenwald, Joseph Bornstein a perdu son père et son frère cadet en déportation et a survécu avec son autre frère, Isaac. Devenu « Borne » à la fin des années 1940, son nom d’emprunt pendant l’Occupation, naturalisé en 1950 selon l’ouvrage « Le Tout politique », de Jean-Louis Beaucarnot (L’Archipel), Joseph Borne a toujours refusé de parler avec sa famille de cette tragédie. Il n’en fera part qu’à l’administration, qui mettra des années à reconnaître son statut de déporté résistant, en 1962.« 

 »Nulle part", disiez-vous ?...