@Olivier Perriet
D’une parce qu’il y avait eu négociation (les fameux accords...) et qu’on n’entre pas en guerre sans laisser une chance à la diplomatie...
De deux parce que probablement, dans les milieux gouvernementaux russes, on s’était mis à réfléchir (comme on aimerait que les nôtres réfléchissent un peu aussi, de temps en temps, mais comme ils sont bien payés et « tenus », ils exécutent...) sur le fait qu’une action militaire, ça ne s’improvise pas, et ils ont donc pris le temps de préparer leur pays à cette éventualité...
De trois parce que, conscients de la puissance de 70 ans de propagande en Europe et de par le monde, et de la présentation biaisée qui aurait été faite d’une intervention militaire rapide (alors que des accords venaient d’être signés), ils ont préféré laissé le camp du Bien s’embourber dans ses mensonges et trahisons de la parole donnée, rendus évidents par la poursuite des bombardements sur le Donbass pendant ces huit années ...(c’est aussi une façon d’exposer qui est vraiment quoi...)
Ces trois points étaient facilement identifiables, mais comme ils desservent la vôtre, de rhétorique, vous vous êtes bien gardé de les « découvrir »...