@Eric F
Vos remarques sont intéressantes car couramment faites, et c’est pour cela que je crois utile d’argumenter contre.

« le taux de chômage : il ne peut pas être nul, car.. »
ce que vous décrivez est exact, mais cela ne justifie pas le chômage, c’est à dire une période pendant laquelle un humain pouvant normalement produire reçoit un pouvoir d’achat sans contrepartie de production.

prenons la formation, cela peut faire partie de l’activité dans les premiers mois de présence dans l’entreprise (si elle n’a pas trouvé une personne déjà formée, normal qu’elle participe à la formation)

prenons « des gens qui veulent changer de boulot », la moindre des précautions est de prévoir son nouveau job avant de quitter l’ancien, pas besoin de chômage entre les 2

etc.

mais ok avec vous sur le pb « « attractivité » des emplois offerts »
formations et conditions de travail sont effectivement à mieux gérer dans bien des domaines
mais garder 3% de chômeurs n’est pas la bonne solution à ces vrais pbs

avec une garantie de l’emploi (cf. projet 2016 http://lecoindubonsens.unblog.fr/2019/03/23/suppression-du-chomage-emploi-pour-tous/), pas besoin de chômage

« métiers qui disparaissent, des usines qui ferment » il y a toujours un préavis permettant de mettre en place la solution ci dessus

« la mobilité géographique » 2 solutions =
de nombreuses activités peuvent-être faites n’importe ou, la solution est donc alors d’amener le travail vers le lieu de residdence et non le contraire.
Si le lieu de travail est impératif, charge à l’employeur de trouver une solution logement (quite à payer plus) et à répercuter ses coûts dans la facturation du service (après tout, chacun peut comprendre que boire un café au coeur de trifoully en plaine ou a 3000m en haut d’un pic, on ne paie pas un café (banalisé), mais « le café à cet endroit », donc tarif différent, et si c’est trop cher, on supprime le service)