Les USA ont été en guerre 222 fois en 246 années d’existence depuis 1776, cela sans tenir compte des opérations clandestines passées sous le radar.

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Mais toutes ces guerres menées par les USA sont des guerres justifiés par la nature des ennemis d’après les responsables américains.

En effet elles sont toujours précédées par des accusations de crimes commis par leurs ennemis.

Et tous les ennemis qu’ils combattent, le dernier en date étant le russe Vladimir Poutine, sont l’incarnation du mal.

 

La méthode habituelle des USA consiste à inonder le monde de fausses informations tendant à prouver que leurs cibles sont des criminels de guerre ayant commis des atrocités.

 

 

Le comportements classique des prédateurs pervers narcissique est l’inversion accusatoire, constant à attribuer à son adversaire ses propres perfidies, intrigues et complots.

 

Les États Unis se comportent en authentiques prédateurs pervers narcissiques, répétant toujours les mêmes comportement à l’égard de leur victimes afin de les détruire.

 

Si l’on prête foi à la propagande étasunienne, c’est à dire au prédateur, on pensera que toutes les guerres menées par les USA sont de bonnes guerres, menée au nom de valeurs prétendument exclusivement occidentales, la liberté et la démocratie, dans l’intérêt des peuples opprimés qu’il faut libéré du joug de dictateurs sanguinaires et dépravés, en état de légitime défense ou préventivement.

 

 

Les accusations d’atrocités et de crimes de guerre sont un élément essentiel de leur propagande militaire .

Et pour cela ils sont les meilleurs spécialistes de la question.

On peut affirmer sans exagération aucune qu’ils sont prétendant au titre de champion du monde toutes catégories confondues, ils jouent dans la même division que Hitler, Gengis Khan, Tamerlan, Attila.

 

Il est tout a fait impossible de connaître l’intégralité des crimes contre l’humanité commis par les nervis étasuniens, et dénoncer ces crimes est périlleux, Assange est condamné à 175 années de prison pour avoir dévoilé des agissements criminels étasuniens en Irak et en Afghanistan.

 

Néanmoins de très nombreux crimes de guerres étasuniens ont été rendu public, documentés et attestés. Pris la main dans le sac, les prédateurs étasuniens accablent des sous-fifres qui auraient agi de leur propre initiative, mais ils imputent toujours la responsabilité personnelle de Poutine, pour ne citer que lui, en toute occasion.

 

Quelques faits avérés de crimes de guerre et atrocités avérés.

 

Selon l’historien américain Robert Lilly, il y aurait eu 3 500 viols commis par des soldats américains en France entre juin 1944 et la fin de la guerre. Des atrocités sont également commis avec une trentaine de meurtres pour le seul département de la Manche en juin 44.

L’historienne allemande Miriam Gebhardt recense 190 000 viols commis par les soldats américains en Allemagne.

Au Japon, les viols de masse suivi souvent de meurtre sont innombrables et sans retenue, les japonais étant considérés comme des sous-hommes par les américains.

 

Les États-Unis ont largué deux bombes atomiques sur le Japon en 1945, qui ont tué environ 140 000 personnes à Hiroshima et 74 000 à Nagasaki.

 

 

En Corée de 1950 à 1953, plus de 930 000 morts parmi les Coréens et les forces chinoises. Du côté des civils, plus de 1 550 000 Nord-Coréens et 990 000 Sud-Coréens ont trouvé la mort.

 

Concernant les massacres d’enfants, pour Madeleine Albright, la mort de 500 000 enfants irakiens pendant la guerre des États-Unis contre Saddam en valait la peine !