@Aristide
On n’appelait pas ça une « opération spéciale en Ukraine » mais « les événements d’algérie ». 
Du pareil au même. Deux guerres coloniales qui ne voulaient pas dire leur nom, et qui furent une catastrophe pour l’un et pour l’autre. Moins bien sûr pour Algérie que la France, car toute guerre de ce type a pour fonction d’intensifier un sentiment national, et de donner un socle identitaire à un peuple, dans la lutte commune, et le dépassement.
Bien des Français pour autant, ont tenté soi de s’opposer à cette guerre, comme certains Russes. Ils le payèrent parfois de leur vie. Les écrivains s’engagèrent souvent comme Sartre, et furent porteurs de valises. 
La différence, c’est que la Fance, elle, militairement avait gagné sur le terrain, alors que les Russes piétinent. Mais sans légitimité, une occupation n’est rien. 
Des différences cependant. La presse en Fance même si elle fut menacée, continua à entretenir des opinions dissidentes, alors qu’en Russie ils sont mis en tôle. Les manifestations par contre furent souvent réprimées, et amenèrent la france, à la limite du chaos et du pustch miliaire. 60 ans après les cicatrices restent vives. Ca donne une balise intéressante pour les Russes, en terme de cicatrisation après la fin de cette horreur sans nom. Ils sont fait tombé tout seul un rideau de fer sur l’europe. 
Il y a un parallèle tout aussi intéressant entre le sort de l’ukraine face à la Russie, et celui de l’irlande face à l’angleterre. Deux famines délibérément crées par l’envahisseur, faisant des millions de morts, et qu’on pourrait nommer des génocices. Des sentiments nationaux forts, exacerbés, et des luttes à priori assymétriques qui ne peuvent que se solder pourtant que par des victoires. Pourquoi, Parce que l’a guerre d’Ukraine, est comme celle d’indépandance irlandaise relayée dans le monde entier, et s’avère à terme intenable à tenir, pour l’opresseur. Le mot « Boycott », vient de cette luttte, en lien avec la volonté de mettre les produits anglais en danger sur le marché, par le refus de les acheter.