@Astrolabe
La pertinence de votre commentaire proche du Zéro Absolu consiste à mettre en parallèle les armements de gros calibre type Caesar, HIMARS, M777, et autres joyeusetés (dont le coût des munitions est colossal !) avec les armes de petit calibre type fusil d’assaut ou armes de poing. Bien sûr que les gros armements sont beaucoup plus difficile à planquer que les petits, et le fait de citer des noms très Russes pour l’armement léger (Kalachnikov, tokarev…) permet de vicieusement désinformer quand à l’origine de ces engins qui inondent (paraît-il) le marché très très noir de nos banlieues en occultant le fait que les truands apprécient beaucoup les Glock, Uzi, M16 et autres Beretta…
Seule la différence de prix oriente le choix des racailles périurbaines, sachant que ces armes d’origines Russe ou même Soviétique ont été aussi largement fabriquées sous licence par des pays n’appartenant pas à la sphère d’influence du Kremlin, et ce pour des prix encore inférieurs au coût d’une AK47 vintage !(Tchécoslovaquie en particulier)
Ce qui est évoqué dans l’article c’est l’incontrôle total du devenir de ces armes livrées discrètement (et pour cause !) à un pays où la corruption est totale.
Même en 39-45, les Amerlauds et Rosbifs parachutaient en France des armes, au compte goutte, et des pétoires improbables (Sten) qui faisaient bien pale figure face aux Mauser allemands probablement de peur de voir tous ces résistants « Communiss » se retourner contre eux une fois les Germains boutés hors de France !
L’Ukraine constitue à ce titre un trou noir où tout ce qui rentre sera dans le meilleur des cas détruit par l’armée Russe, et sinon….