@oncle archibald
 arrivé là par hasard et à sa propre grande surprise, 
La encore, vous n’avez rien compris (mais c’est votre marque de fabrique).
Trump n’est pas du tout arrivé là par hasard.
Depuis un moment, l’armée américaine, à majorité patriote, cherchait à reprendre un pouvoir usurpé, faire le ménage et nettoyer le marais, c’est-à-dire détruire l’Etat Profond.
C’était prévu avant 2016.
Mais c’était très difficile de nettoyer dans les coins, et l’hydre aurait pu voir ses têtes repousser. Alors, ils ont cherché un patriote incorruptible à l’abri des pressions financières, puisqu’il pouvait financer sa campagne sans rien devoir à personne.
Et ils ont trouvé Trump, (ami de JFK Junior, très désireux de venger son père, tué par le deep state), et qui avait les c... pour le tenter.
Le mandat de Trump a été consacré à tendre des pièges à tous les pourris, y-compris chez les républicains, et ils sont tombés dans tous, jusqu’à être tous identifiés (jusqu’à la cour suprême, en passant par le congrès et le sénat, et dans tous les organismes « à trois lettres », et les différents « clubs »).
Entre autres, ils se sont dénoncés en validant des votes qu’ils savaient frauduleux.
Maintenant, le dossier est ultra-complet.
On attend un peu que biden expose encore plus sa corruption par ses premières mesures, on attend un peu de détestation supplémentaire, et puis on balance tout, ce qui va horrifier tous les américains, et les unifier.
L’Etat profond sera détruit, avec tous ses outils, dont la FED, et on pourra mettre en place le plan Nesara, puis Gesara, qui est à peu près le contraire du grand reset, point par point. Le seul point commun est l’annulation de la dette de tous les pays du monde, mais sans contrepartie cette fois. Trump a validé l’insurrection act, décrété la loi martiale (qui n’a aucun besoin de recevoir de publicité pour être mise en place), et confié le pouvoir à l’armée. Actuellement, biden et sa clique n’ont qu’un rôle fictif, et ne peuvent faire entrer aucune décision dans les faits, sauf la couleur des rideaux.
C’est l’armée qui est au commande, et qui attend son heure.