• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Attila

sur Comment la France devient la risée du monde...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Attila Attila 9 janvier 2021 12:45

@Yoann
Repartir de zéro en ne commettant pas les mêmes erreurs.
La première chose qui manque, Christophe Guilluy l’a montré, c’est un mouvement représentant et défendant les classes populaires et les classes moyennes perdantes de la mondialisation.
Les Gilets Jaunes ont été formidables mais leur amateurisme et leur refus de l’organisation ont causé leur infiltration et la dénaturation de leur mouvement.
On sait maintenant que n’importe quel dirigeant peut subir des pressions, être corrompu, partir en vrille ou faire passer ses intérêts personnels avant ceux de la cause qu’il est censé défendre. L’organisation doit prévoir ce cas de figure et les solutions pour l’empêcher. Le cas d’Asselineau nous démontre qu’un mouvement ne doit pas dépendre d’un seul homme.
Montrer aux électeurs que les médias mentent et que l’information existe, il faut aller la chercher là où elle se trouve.
Macron a respecté les règles électorales ; il n’a pas triché. Ces règles électorales auraient permis de faire élire n’importe quel des candidats y compris Philippe Poutou : quand l’électeur est tout seul dans l’isoloir et le rideau tiré, personne ne l’empêche de mettre dans l’enveloppe le bulletin de vote qu’il a choisi et personne ne l’oblige à mettre un bulletin dont il ne veut pas. La responsabilité du vote et de ses conséquences incombe entièrement à l’électeur. Un mouvement à la hauteur permettrait, je l’espère, de susciter et de sélectionner des candidatures dignes des missions qu’elles solliciteraient.
On ne repartirait pas de zéro car on peut être reconnaissant à François Asselineau d’avoir dévoilé le rôle de verrou de l’Union Européenne dans la mise en œuvre d’une politique plus conforme aux intérêts des français.

.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès