• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Renaud Bouchard

sur L'immigré


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Renaud Bouchard Renaud Bouchard 14 octobre 2018 21:56
A l’auteur.

Bonne analyse

Effectivement, sans une prise de conscience des mous de la tête, le désintérêt des États-Unis envers l’Union ne fera qu’accentuer l’influence et la mainmise de la Chine sur une grande partie de l’Occident. Face à cette nouvelle donnée, l’Europe, politiquement dispersée, tirant à hue et à dia, ne sachant œuvrer que dans l’urgence, ne sera pas de taille à répondre aux divers appétits qui se profilent à l’horizon. La nécessité supposée de faire du profit à court terme pour sauver des places de travail en livrant des armes à des pays qui les utiliseront contre ceux qui les leur auront livrés est d’une aberration démoniaque et irresponsable. Les gouvernements nationaux, censés représenter l’Union Européenne à Bruxelles, mènent une politique hors-sol, sans vision géostratégique, à rebours du bon sens et sans se préoccuper de l’avenir des citoyens. Des citoyens qui se trouveront en première ligne lors de la débâcle programmée.Tous les ingrédients sont réunis pour dynamiter les démocraties. Le pillage séculaire et insensé du tiers monde et l’inéluctable réchauffement climatique sont à la veille de déclencher une transhumance peu commune. Il n’y aura aucune comparaison possible par rapport aux quelques centaines de milliers de réfugiés dont il est question aujourd’hui.

Un autre constat soulevant de gros problèmes est celui de la progression de l’islam radical à travers la planète. Le pouvoir financier des « Frères Musulmans » est de l’ordre des mille milliards de dollars. C’est un montant sans aucune commune mesure par rapport aux organismes de subversion dans le monde. Que font les instances européennes pour contrer ce fléau en progression constante ?

Réponse : rien, elles l’encouragent.


Français de souche : 1350, chez moi.

« La France vient du fond des âges. Elle vit. Les siècles l’appellent. Mais elle demeure elle-même au long du temps. Ses limites peuvent se modifier sans que changent le relief, le climat, les fleuves, les mers, qui la marquent indéfiniment. Y habitent des peuples qu’étreignent, au cours de l’histoire, les épreuves les plus diverses, mais que la nature des choses, utilisée par la politique, pétrit sans cesse en une seule nation ». (Mémoires d’espoir, tome 1, page 7).

Cordialement,

Renaud Bouchard

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès