@Christophe Certain
et @ finael je groupe, plus facile
Pour le réchauffement
climatique mea culpa, j’aurais dû écrire “changement” climatique et aussi préciser que je
parlais des mouvements alternatifs de cette époque, mouvements issus du mouvement
hippy ou « beatnick » des États Unis (en gros). Pas de l’attitude générale
ou politique. Au contraire.
Le rapport avec
la choucroute : une prise de conscience a l’époque (pour certains, évidemment)
d’une croissance basée sur un modèle de développement sur lequel on devrait
plus réfléchir (ou remettre en question), et ce au niveau planétaire. Alors évidemment, ça faisait un peu inventaire
à la Prévert : manifestations contre le nucléaire, investigations des médecines
douces, etc… et ça incluait le végétarisme.
Certaines communautés
se formaient (Findhorn en Ecosse, Auroville en Inde, etc. …) De doux rêveurs
et quelques illuminés sans doute, mais il y avait aussi des gens très sérieux
qui essayaient de tirer la sonnette d’alarme (genre Cousteau, Greenpeace, etc.).
Mais je concède
qu’on s’est planté : échec sur pratiquement toute la ligne. Certains de
notre génération auront essayé. Aux plus jeunes de prendre la relève. Peut-être.
On peut le faire à
la politicienne, pinailler sur le terme exact, les chiffres, argumenter sur
chaque syllabe … les riches deviennent plus riches, les pauvres plus pauvres, l’air
plus pollué et la bouffe plus dégueulasse … en France et ailleurs.
Je ne suis pas
contre le progrès (j’ai bossé en soins intensifs). Encore faut-il le définir.
« Et comme quoi
le progrès mène a tout ». Alors, bosser ensemble pour qu’il ne mène pas au
pire ?
Bon, je fatigue