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Commentaire de docdory

sur Une vie de chien !


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docdory docdory 8 août 2012 14:27

@ Alinea

Pourquoi traitez-vous de cons les gens qui n’aiment pas les chiens ( appelons-les les cynophobes ) ? Je suis personnellement un cynophobe invétéré et je le revendique haut et fort.
Citez-moi une seule raison pour laquelle ce serait une manifestation d’intelligence d’apprécier ces animaux intempestifs, agressifs, horriblement bruyants, et d’une saleté repoussante.`
Comment supporter ces insupportables carnivores qui passent leur temps à aboyer et à tenter de mordre des piétons qui ne leur ont rien fait.
Comment tolérer ces dégoûtants intestins ambulants dont la principale occupation, mis à part les aboiements, semble de couvrir les trottoirs d’étrons malodorants et glissants, lesquels envoient régulièrement de vielles dames en clinique pour des fractures du col du fémur, consécutives à des chutes causées par ces dangereuses déjections.
Qui n’a jamais vu son dimanche après-midi gâché ou sa nuit de sommeil interrompue pendant des heures par des aboiements aussi incessants qu’immotivés émanant d’un inepte canidé voulant faire du texte pour se rendre intéressant ?
Quiconque qui, comme moi, aime à faire des promenades en vélo dans la campagne ne peut que détester ces infamies sur pattes d’une hallucinante stupidité qui, alors que vous jouissez paisiblement du calme agreste sur votre bicyclette, sortent inopinément d’une cour de ferme en vous poursuivant pendant des dizaines de mètres avec force aboiements tonitruants, essaient de vous arracher un morceau de mollet ou de vous flanquer par terre.
Je me rappelle qu’un jour, alors que j’étais tranquillement installé à une terrasse d’un café, un ridicule, microscopique et très vindicatif roquet qui arrivait sur les lieux a faussé compagnie à sa propriétaire, se précipitant en hurlant en direction d’un énorme Saint Bernard, lequel dormait à moitié sous la table au pied de laquelle il était en principe retenu en laisse. Inutile de préciser que cette précaution s’avéra totalement inopérante. Le molosse bondit en hurlant en direction du roquet, traînant derrière lui dans sa course folle la table à laquelle il était « retenu », renversant de ce fait trois autres tables et moult chaises dans l’opération. Rien n’était plus désolant que le spectacle de dévastation qu’offrait cette aimable terrasse de bistrot après ce pugilat canin inopiné. Un bombardement aurait fait à peine plus de dégâts.
Expliquez-moi comment supporter ces animaux dont la queue s’agite frénétiquement au moindre prétexte et, pire, tentent de vous lécher ( beuark !!!! ) et qui vous regardent d’un air implorant qui donne envie de leur donner un coup de pied au cul.
Pour moi, l’existence du chien est la preuve la plus convaincante de l’inexistence d’un quelconque dieu. Comment pourrait-on simplement imaginer qu’un être suprême censé être « parfait » ait un jour décidé de se lancer dans la création d’un quadrupède d’une telle incongruité ? Absurde ! 
Le médecin que je suis partage avec les facteurs la haine de ces saletés qui vous attaquent sans le moindre motif et sans sommations alors que vous arrivez pour rendre un service à leur propriétaire....
D’ailleurs, pour injurier quelqu’un, on le traite de chien galeux et non point de chat galeux.
De même que l’on dit « la caravane passe et les chiens aboient » et non pas « la caravane passe et les chats miaulent ». Ceci est révélateur de la détestation qu’inspire aux êtres sensés la vue de ces effroyables et répugnantes bestioles ...
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