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Commentaire de morice

sur Vanneste, porte-parole du plus proche conseiller élyséen


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morice morice 17 février 2012 00:27

Perso, désolé j’étais pas né, mais le nombre de juifs tués par les nazis m’importe autant que le nombre de maya sacrifiés durant le premier millénaire*


quel argument de naze complet !!

parce que vous croyez que je l’étais ? Je suis né 6 ans après la guerre !! 

si pour vous ça n’a pas plus d’influence que ça c’est que vous n’avez toujours pas compris qu’il s’agît d’un événement unique. Vos Mayas n’ont pas été tués aussi systématiquement : leur système s’est écroulé quand les DIRIGEANTS RELIGIEUX seuls ont été tués. La société très hiérarchisée n’y a pas résisté. Le reste, ce sont les maladies importées et non l« épèe. 

vous avez encore beaucoup à apprendre de l’histoire, visiblement à laisser croire bêtement que seuls ceux qui ont participé un événement possède la vraie parole. 

Faurisson n’a jamais été historien, et il né en Angleterre en 1929... Faurisson est un »poujadiste intellectuel", qui même dans sa branche, la littérature n’a écrit que de lamentables conneries.

En 1961, Robert Faurisson publie dans la revue Bizarre, éditée par Jean-Jacques Pauvert, une étude iconoclaste de l’œuvre d’Arthur Rimbaud, sous le titreA-t-on LU Rimbaud ?8. Lors de sa première édition, le texte est signé des simples initiales R. F., l’auteur souhaitant alors garder l’anonymat. La thèse de l’étude, controversée à l’époque9, est d’attribuer au sonnet « Voyelles », de Rimbaud, un sens exclusivement érotique10. Dix ans plus tard, il présente sa thèse sur Lautréamont, où il entend démontrer que Les Chants de Maldoror sont en réalité une parodie11. La vision de Faurisson est tout aussi controversée, et se voit notamment accusée par le critique Pierre Albouy de « poujadisme intellectuel12 ». Guy Laflèche, professeur au Département des études françaises de l’université de Montréal, spécialiste de Lautréamont, auteur d’une édition critique des Chants de Maldoror, considère, en les examinant au plus près, les travaux de Faurisson sur Lautréamont comme un « torchon », reprochant à Faurisson contre-sens, confusions entre sens propre et sens figuré, interprétations hors contexte, lectures au premier degré, redites, critique normative et savoir mal digéré11

à partir de là que voulez vous que ce prof de lettres raté puisse nous apprendre en histoire ???

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