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Commentaire de krolik

sur Un « EPR » au parfum de Tchernobyl


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krolik krolik 10 mars 2010 15:23

@L’auteur,

Voila que c’est vous qui repartez à côté du sujet : le prix, l’avion qui s’écrase...
Mais vous ne nous proposez pas un scénrio original d’un accident non étudié...
En ce qui concerne l’éjection des grappes, le problème a déjà été vu pour les 900 et les 1300W. Mais à chaque fois le problème est posé à nouveau en faisant abstraction de tout ce que l’on connait par ailleur et précédemment, c’est le principe de ce type d’étude. Il faut réinventer l’eau tiède à chaque fois, au niveau de la phase « 1 » de l’étude
Sauf qu’il manque les phases « 2 »et « 3 » du document final qui sera produit en beaucoup plus complet vers la fin de l’année conformément au planning.
Avec plein d’autres cas catastrophiques..

En ce qui concerne la chute d’un avion, je vous conseille de visionner ce bout de vidéo.
La manip a été faite par la Sandia avant le 911.
Un F14 chargé à 30 tonnes avec de l’eau pour remplacer le jetfuel, car le jetfuel sur un bloc de béton ce n’est pas significatif, alors que sur un immeuble c’est différent.
L’avion est propulsé par des fusée à 750km/h contre le mur.
C’est très curieux on a l’impression que l’avion passe à travers le bloc, mais en fait il se « disperse » contre le mur.
La seule pièce « efficace » contre le mur c’est le rotor du réacteur. La seule pièce massive.
Pour qu’un choc soir pénêtrant en fait il faut qu’il soit « long » dans le temps. Et pour qu’il soit « long » il faut qu’il y ait une résonnance d’un bout à l’autre de la pièce.
Les « flêches » des obus-fl^ches s’accordent en fait comme une corde de piano. Car cet accord va dépendre de la vitesse du son dans le métal du projectile.
Si les flêches des obus sont faites pour cela, ce n’est pas le cas d’un rotor de réacteur.
Conclusion : au niveau de l’axe du rotor il y a dans le mur un trou de 15 cm de profondeur, trou pitoyable.
Cet essai est très contraignant car il est réalisé pile à la perpendiculaire de la surface.du mur.
Si l’on envisageait le cas d’un gros porteur style A380, ce ne serait pas pire, car en dehors du fait de la difficulté d’ajuster « pile » à la normale de la paroi au moins un réacteur, ce qui est sûr c’est que les autres réacteurs seraient déviés obliquemennt ou passeraient carrément « à côté ».
Donc vous hullulez à la non-tenue d’un réacteur à la chute d’avion, j’aimerais avoir vos sources, les modélisations, les résultats des essais que vous avez menés ou que vous avez suivi de près.
Et pas la déclaration du British John Large, rémunéré par Greenpeace, « expert » dont on attend encore les références en matière d’expérience de :
- modélisation de chocs.
- menées d’essais
- conception de matériels résistants aux chocs. Au besoin, ses brevets passés dans le domaine.

Mais il me semblait avoir déjà écrit cela.
Mais comme vous ne lisez pas mes messages et n’allez pas voir les pièces jointes, histoire de rester dans les certitudes de la secte antinuc...
Mis ce n’est pas grave, perso, j’écris pour les « taiseux » ceux qui lisent et qui ne postent pas.. et qui sont tout de même la majorité.
Je n’ai aucune intention de vous convaincre en quoi que ce soit, votre cas est désespéré.

@+


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