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Yohan

Yohan

55 ans dont 25 passés dans le secteur de la formation professionnelle, et 30 à explorer la vie. Ce qui me plait au plan professionnel : les questions d’emploi, d’économie, me plonger dans l’univers secret des métiers (celui du charpentier de marine, du tonnelier,...).
Mes goûts ?
Me délecter en trempant un bout de pain dans l’huile d’olive crétoise, faire griller des sars sur la plage avec de bons potes en sirotant du vinho verde, plutôt qu’un safari photos au Kénya, les chutes du Niagara.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2007
  • Modérateur depuis le 19/10/2007
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Derniers commentaires



  • Yohan Yohan 5 octobre 2007 00:53

    Je vous conseille d’aller voir 99F. Un film sur les ressorts de la pub autant que sur les fils de pub. La banque aime les jeunes, et surtout leurs riches parents car ils ont plus de chance de fabriquer de futurs riches parents, etc.... Cette pub de la banque postale indique que la poste veut être une banque comme les autres. Les banques courtisent déjà les jeunes à l’entrée universitaire, pas à l’entrée en CAP. Ce qu’elles vous offrent pour y venir, elles vous le reprendront assez vite. J’aimais mieux le bon vieux CCP qui ne faisait pas de pub et qui ne ponctionnait qu’un minimum d’agios. Un pub comme ça, ça coûte la peau des fesses et qui va payer ? hein. J’vous le donne en mille smiley



  • Yohan Yohan 4 octobre 2007 12:02

    Une formation unique, non bien sûr, ça n’est pas possible et pas forcément souhaitable. Par contre, j’ai avancé l’idée d’un socle commun (tronc commun) de formation (universitaire ?). Car, c’est un moyen de favoriser la construction d’une identité commune et d’ouvrir la voie à une reflexion sur l’intérêt d’oeuvrer à la mobilité des professionnels. Actuellement, un consultant en bilan de compétences expérimenté et diplômé ne peut pas (mais je peux me tromper) être recruté directement à l’ANPE ou dans un CIO, sans passer par le parcours fléché (coûteux, fastidieux et parfois impossible)



  • Yohan Yohan 3 octobre 2007 02:57

    Le sujet semble rentrer dans l’actualité. Je lis aujourd’hui que Christine Lagarde vient de décider de geler le développement des Maisons de l’Emploi en attendant la traduction dans les faits de la fusion ANPE/UNEDIC. Certains seront tentés d’y voir une première reculade devant le coût prohibitif du chantier. La question de la pérennité des Maisons Borloo se pose donc bien et chacun sera tenté d’interpréter ce gel soudain décidé par le nouveau ministre . Les institutions vont-elles maintenant continuer de jouer franc jeu ?. Risquent-elles d’en profiter pour se désinvestir ? Face à la résistance qui semble s’organiser ici et là, je crains qu’on ne cède à la pression en choisissant d’y envoyer plutôt des débutants qu’un personnel chevronné. Ainsi, l’ANPE a beaucoup recruté ces derniers mois sur concours. Des personnes qui font ce qu’elles peuvent, mais qui sont, vous l’imaginez, loin d’être opérationnelles d’emblée pour mener un entretien avec un chômeur, mais plus faciles aussi à manier que les anciens conseillers, plus rétifs à la fusion. La formation suivra, mais plus tard forcément, dommageable donc. Conseiller, orienter, reste un métier complexe et technique qui nécessite des compétences multiples (techniques d’entretien diagnostique, d’orientation, d’analyse des compétences, connaissance des métiers, de la formation, des dispositifs, etc..etc... Aussi, quand un chômeur se retrouve face à un débutant qui n’a que sa bonne volonté et son sourire à offrir.....même sous un très beau toit....



  • Yohan Yohan 3 octobre 2007 01:10

    Oui vous avez raison. Et le chômeur dans tout ça ? Le seul exemple d’organisation qui s’inscrit au plus près de votre préoccupation, est celui des Cités des Métiers. Un lieu où chaque structure partie prenante, publique ou privée, (trop souvent publique d’ailleurs) doit s’effacer pour se mettre au service du public. Le bénéficiaire ne peut identifier l’institution qui l’informe ou le conseille. Côté professionnels, les clivages finissent quelque peu par s’estomper avec le temps. C’est cette charte d’anonymat qui fait la spécificité des Cités des métiers. Ce n’est pas la panacée, mais ça marche plutôt bien, sauf que pour l’heure, le système dépend des bonnes volontés au plan local. Malheureusement, ce n’est pas ce modèle là qui a été retenu par le législateur.



  • Yohan Yohan 2 octobre 2007 18:57

    L’Etat a quelque part fait des économies en finançant les associations. Elles font souvent un travail qui coûterait bien plus s’il était effectué par les fonctionnaires eux-mêmes. C’est donc un moindre mal. La question serait en fait de savoir si l’on achète ce dont on a réellement besoin. L’Etat devrait se montrer plus fin dans ses achats.

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