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Tyner

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  • Tyner 16 février 2009 16:25

    Citation  : "Et cela est cohérent avec la notion de « cut’off » dont le calcul pour les tests étudiés est donné dans le document de Weber et al : « Samples with an index value (extinction of the sample divided by the cutoff value) of ≥1 are considered to be positive. »  Si l’on veut bien comprendre ce que signifie cette phrase, on ne peut qu’être étonné. La personne qui présente un index de 0,9 sera considérée comme séronégative, alors que celle qui a un index de 1,1 est séropositive. Cela signifierait que la personne séronégative ne présente que 20% d’anticorps en moins que la personne séropositive, et que les anticorps de la première personne n’ont rien à voir avec ceux de la seconde, qui eux seraient spécifique du VIH. Ceci est en franche contradiction avec les principes même de la réaction chimique et confond le quantitatif et le qualitatif. "

    Il s’agit de tests sérologiques impliquant des interactions anticorps/antigènes, des lavages, des réactifs de révélation : il y a forcément du bruit de fond où des valeurs faiblement positives peuvent se perdre et, à l’inverse, d’où des valeurs négatives peuvent émerger faussement. D’où la nécessité de définition de cut-off, fondés sur les résultats sérologiques sur des contrôles négatifs et positifs. Les machines signalent les échantillons proches du cut-off : l’échantillon est alors considéré comme indéterminé et retesté (éventuellement avec une autre méthode et/ou un peu plus tard).

    Rien de comparable avec des valeurs absolues limites dépassées ou non (glycémie).

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