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EN COULISSE Theothea.com - La Chronique critique du Théâtre à Paris - Actualité du spectacle vivant / mise à jour hebdomadaire / archives depuis 96.
EN COULISSE Theothea.com est un magazine de critique théâtrale, en ligne et indépendant. Nos chroniques souhaitent valoriser un point de vue éditorial positif à l'égard de chaque pièce, après avoir assisté à l'une de leurs représentations tout en restant équitables avec leurs faiblesses éventuelles et en évaluant notre appréciation subjective de une à quatre étoiles. Agoravox accueille les articles de Theothea.com depuis juin 2005.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/06/2005
  • Modérateur depuis le 02/07/2005
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Theothea.com Theothea.com 13 août 2021 04:24

    Voir également la chronique de Theothea.com ainsi que nos photos concernant le 2ème spectacle du Festival de La Luzège 2021 : LA TRAVERSEE D’ALICE de Marion Gilloux d’après Lewis Carroll www.theothea.com/page461.htm#alice 



  • Theothea.com Theothea.com 22 septembre 2020 22:08
    Et désormais en 2020, voici :« Festival de Wight 1970 » Un demi-siècle après... sa Plénitude

    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/festival-de-wight-1970-un-demi-226726



  • Theothea.com Theothea.com 4 septembre 2020 03:41

    En fonction de l’erreur signalée ci-dessus, la chronique doit être lue ainsi :

     

    « Portraits de Femmes » Le Festival MilleSources à Saint-Martin-la-Méanne
       
    La commune de Saint-Martin-la-Méanne en Corrèze située sur la rive droite de la Dordogne a eu, le vendredi 14 Août 2020, le privilège d’accueillir un concert du 24ème Festival ’’MilleSources’’, non pas comme à l’accoutumée dans sa typique Eglise romane aux 4 cloches mais, selon des conditions sanitaires dédiées, dans le foyer rural relooké après plusieurs mois de travaux qui offre ainsi une fort belle salle polyvalente aux éclairages différenciés. 

    C’est en 1997 qu’est né le Festival ’’MilleSources & Dordogne’’ grâce à l’association AMELI - Association Musique En Limousin - dans le but de mettre en valeur, à travers la musique, la richesse d’un patrimoine et d’un territoire rural, en ouvrant au public ses églises, ses parcs naturels et autres sites prestigieux de la Corrèze, du Limousin, en s’étendant vers le Puy de Dôme et le Cantal, au coeur des volcans d’Auvergne. 

    Autour de la direction musicale de Nathalie Yéramian s’est formée une équipe artistique qui met chaque année en place une programmation issue des musiciens eux-mêmes. Une thématique est choisie comme fil d’Ariane pour l’ensemble du Festival autour d’un fil conducteur. 

    Le Festival ’’Millesources & Dordogne’’ proposait pour cette saison 2020 de nouvelles expériences artistiques en mêlant le récit et la musique. 24e édition : 1000 mots... Si la musique m’était contée… 

    Festival itinérant, il a débuté le 18 juillet 2020 en l’église de Saint-Hilaire-Luc avec ’’Variations sur l’Opus 77’’, entre musique ’’Concerto Opus 77’’ de Chostakovitch et littérature ’’Opus 77’’, roman d’Alexis Ragougneau.  

    En ce vendredi 14 Août 2020, musique et récit tournaient autour de « Portraits de Femmes » Compositrices, auteures… la femme créatrice... La musique et la voix se conjuguent ici pour une expérience de transmission.  

    Le concert s’articule autour des écrivaines Colette - Colette de Jouvenel - Simone de Beauvoir qui, toutes les 3, ont eu un rapport privilégié avec la verdoyante région du Limousin et très intime, à un moment de leur vie, avec la Corrèze. Rencontre d’un lieu et d’une histoire, mise en valeur par François Soustre, auteur de biographies desdites figures féminines. 

    Le comédien Sylvain Dufour fait résonner la voix de ces femmes littéraires entrecoupée par la prestation virtuose d’un duo violon-piano, Beata Halska - Marielle le Monnier (mère-fille franco-polonaises) magnifiant les oeuvres de compositrices de génie. 

    Remarquables de complicité artistique et d’énergie partagée, le double jeu qu’elles incarnent propose un récital constitué de beaux morceaux du répertoire de Lilli Boulanger - Clara Schumann - Amy Beach... Leurs instruments virevoltent d’audace sur ’’la danse de Mazovie’’ de Grazyna Bacewicz ou les tangos d’Irène Poldowski et de Graziane Finzi.

    La sonorité limpide et cristalline du piano, le vibrato chaleureux et exceptionnel du violon embellissent à ravir les romances et la sonate nr. 4 de Grazyna Bacewicz. Face au public clairsemé du petit village de Saint-Martin, ce duo nous livre une merveilleuse prouesse.

    Issue d’une éminente famille de musiciens, Beata Halska est la fille de la célèbre pianiste Barbara Halska. Elle reçut le 1er prix de violon au Conservatoire National supérieur de Paris et a acquis une renommée internationale comme soliste en interprétant de grands concertos et des chefs d’oeuvre méconnus. De plus, elle joue sur un précieux violon de Jean-Baptiste Guillaume (1835).

    Sa fille Marielle le Monnier, elle, s’est tournée vers le piano dès 6 ans grâce à sa grand-mère. 1er prix au Conservatoire de Versailles, elle se produit régulièrement en soliste et en musique de chambre.

    Ce magnifique récital est donc ponctué d’extraits de textes des écrivaines citées plus haut qui ont intéressé particulièrement François Soustre pour leur lien à la terre corrézienne, la sienne, lui qui vit à Saint-Hilaire-Luc.

    Colette vécut une dizaine d’années, de 1911 à 1923, au château de Castel-Novel à Varetz près de Brive, avec son second mari, Henry de Jouvenel.

    Puis elle trouva refuge chez sa fille, Colette de Jouvenel, pendant la seconde guerre mondiale au château de Curemonte, énorme bastide du 13ème siècle flanquée de tours rondes ou carrées sur un espéron rocheux acquise par Henry de Jouvenel entre les deux guerres. E !le relate dans son journal ses impressions de cette époque.

    Quant à Colette de Jouvenel y résidant, elle y développa une action de résistante avec des habitants du village. Elle sera désignée comme adjointe au maire de Curemonte en janvier 1945.

    Elle deviendra journaliste et, féministe, défendra l’égalité des sexes et réclamera un statut plus juste pour les femmes. Sylvain Dufour lit à voix articulée des textes concernant le ’’droit de vote des femmes, Elie Ruby 1945’’ et ’’Une femme ne peut ouvrir un compte en banque’’.

    Après un bref interlude, François Soustre nous entretient sur l’enfance de Simone de Beauvoir. Sylvain Dufour déclame des textes sur Meyrignac et sur Ernest de Beauvoir.

    Car, l’intellectuelle que nous connaissons a passé dans sa jeunesse ses vacances d’été au Château de Meyrignac près d’Uzerche où son grand-père Ernest avait créé un ’’parc paysagé’’ dans lequel « fleurie de nénuphars, la rivière anglaise où nageaient des poissons rouges enserrait dans ses eaux une île minuscule que 2 ponts de rondins reliaient à la terre... » (Mémoires d’une jeune fille rangée).

    En compagnie de sa soeur et de sa cousine Jeanne, elles connaissent l’allégresse champêtre. Simone de Beauvoir a un lien très intime avec la nature « Je me perdais dans l’infini tout en restant moi-même ».

    Au demeurant, le spectacle proposé au village de Saint-Martin-la-Méanne fut remarquable de qualités et permettait ainsi d’élargir notre matrimoine culturel.
    Bravos et félicitations au Festival des MilleSources se clôturant le 22 Août à Tauves avec le jeune quatuor à cordes Akilone.

    Cat’S / Theothea.com le 20/08/20



  • Theothea.com Theothea.com 2 septembre 2020 03:41

    AVERTISSEMENT aux lecteurs !!!

    Une malencontreuse erreur s’est glissée dans l’intitulé du spectacle ci-dessus :

    En place de « DOUBLE JE »

    il faut lire « PORTRAITS DE FEMMES... Musique et récit ».

    En outre Le nom du Festival est « Millesources » en un seul mot.

    Toutes nos excuses à l’équipe artistique et à nos lecteurs.

    JM / Theothea.com



  • Theothea.com Theothea.com 2 septembre 2020 01:49

    @Surya
    Merci d’avoir relevé cette erreur orthographique au sujet de Chris Christofferson. Elle sera corrigée incessamment. En ce qui concerne Supertramp, ce groupe était peu connu en 1970, c’est pourquoi il avait été programmé pour passer lors des deux premières journées de « pré-festival ». Enfin pour les Moody Blues, ils ont effectué une super prestation où bien entendu leur tout nouveau « Nights in white satin » avait transmis ses intenses vibrations au sein du public. Vous pouvez trouver aisément plusieurs vidéos (leur concert complet de Wight 70 ou extraits) notamment sur YouTube... Vous dîtes que ce Festival vous fait rêver... sachez que c’est pareil pour ceux qui y ont assisté... ils en rêvent encore et toujours !... JM pour Theothea.com 

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