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Sutter Kane

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  • Premier article le 01/07/2023
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Derniers commentaires



  • Sutter Kane Sutter Kane 7 août 2019 17:05

    Oulala... Dans cet article, je vois une assertion qui risque de faire jaser, même parmi les pro-Asselineau ; concernant la mort de Robert Boulin, il est écrit : « À ce jour, la thèse officielle du suicide reste la plus probable. » smiley



  • Sutter Kane Sutter Kane 3 mai 2011 00:33

    Excellent article.

    Le problème de la théorie de l’inside job, c’est qu’elle suppose énormément de complices, et en effet c’est peu plausible comme dit Bricmont. Et puis ça met de côté les revendications de Al Zawahiri, KSM (avant son arrestation) et bin-al-Sheibah, la confession de Zubayda... que des cadres d’Al Qaïda. Difficile de zapper tout ça...

    La mort très suspecte des trois princes saoudiens dénoncés par Zubayda suggère qu’ils étaient mêlés aux attentats et qu’on a voulu les éliminer, comme le maréchal pakistanais Mir, dont l’avion a sauté en vol quelques mois après que Zubayda ait révélé sa pré-connaissance des attentats. Mahmoud Ahmad qui démissionne de la tête de l’ISI le jour où son rôle présumé est révélé dans la presse... le papier du Washington Times qui suggérait que Hamid Gul était le cerveau de Ben Laden... Tout ça est difficile à évacuer.

    On dira certes que Mahmoud Ahmad était à Washington le 11/9, il petit-déjeunait au Capitole (supposée 4e cible), avec Bob Graham et Porter Goss, après avoir rencontré le boss de la CIA, comme par hasard... Est-ce le signe qu’il était de mèche avec les Américains ? Son grand ami Hamid Gul (chef mythique de l’ISI) prendra chez Alex Jones sa défense en affirmant qu’il n’a rien à voir avec ces attentats fomentés selon lui par la CIA et le Mossad. S’ils étaient de mèche, ils ne balanceraient pas comme ça... Une alliance entre les extrémistes de l’ISI et la CIA paraît donc peu probable.

    Soit donc l’un est coupable et l’autre pas, soit c’est plus compliqué...

    A moins de mettre beaucoup (trop) de choses en question, il paraît assez probable que Al Qaïda est responsable, avec des appuis forts à l’ISI et, au minimum, la bienveillance de princes saoudiens, voire même des appuis dans le renseignement (on a en effet rapporté un contact entre 2 futurs kamikazes et 2 agents saoudiens à San Diego). Maintenant il faut interroger l’attitude américaine. Pas très crédible que la CIA, comme a l’a vu, pilotait l’ISI... On supposera donc plutôt qu’une branche fondamentaliste de l’ISI a soutenu un groupe terroriste hostile aux Etats-Unis, et que Ben Laden n’était donc pas un agent américain (depuis les années afghano-soviétiques les relations avaient sans doute changé), et était sincère dans son jihad qu’il avait lancé contre les USA en 1996.

    On sait, certes, que les Etats-Unis utilisaient de manière indirecte des troupes de Ben Laden pour mener des actions de déstabilisation en Asie centrale, mais ça ne révèle pas une complicité directe. Quand un de vos ennemis s’attaque à un ennemi commun, ça n’en fait pas forcément un ami : on le soutient indirectement, en l’occurrence via les Saoudiens, sans nouer pour autant d’alliance. On sait que les Etats-Unis ont souvent joué la carte islamiste, sans qu’on puisse dire que ces islamistes étaient leurs « agents ».

    Un scénario plausible, c’est qu’une politique pro-islamiste des Etats-Unis (avec entrée sur le territoire US, par le consulat de Djeddah, d’apprentis combattants, entraînés sur des bases US avant de repartir au Moyen-Orient) a permis l’entrée de 15 des 19 futurs kamikazes. Ici ou là, des dysfonctionnements, un manque de communication entre agences de renseignement, ont nuit à une bonne détection du risque. Cependant, les services de renseignement n’ont pas vraiment failli avant le 11/9, tous les spécialistes le reconnaissent. C’est l’exécutif qui a failli. Il a peut-être failli, en partie parce que ses négociations d’alors avec les Talibans pour la construction du pipeline l’empêchait d’être trop sévère avec leur hôte Ben Laden.

    Mais peut-être surtout, on a fini, en haut lieu, par décider de laisser Ben Laden agir, et donc on a négligé les avertissements, on a mis des bâtons dans les roues des enquêteurs... on a commencé à envisager, dans le duo Rumsfeld-Cheney, comment faciliter ces attaques qui allaient produire le nouveau Pearl Harbor rêvé pour les impérialistes du PNAC. Donc on change la procédure en cas de détournement d’avion, on oblige à passer par Rumsfeld ou Cheney, on fait en sorte que coïncident des exercices de simulation avec les attentats, histoire d’embrouiller les militaires, et Cheney supervise les opérations dans le bunker le matin du 11/9 (et fait retirer du rapport de la Commission les infos qui le compromettent, avec ce fameux ordre qu’il donne à un moment où le vol 77 pouvait encore être intercepté).

    Le Mossad, qui a suivi d’assez près la plupart des kamikazes, a aussi informé précisément les Américains (en fournissant une liste de noms), qui n’en firent rien... et les jeunes agents dépêchés pour documenter l’événement le 11/9 se font choper en train de sauter de joie (sur leur camionnette blanche) au moment où les tours s’effondrent, car ils savent que ces événements servent leurs intérêts géopolitiques. Le passeport d’un des pirates de l’air arrive miraculeusement entre les mains d’un policier, des mains d’un homme qui s’enfuit immédiatement... mais on n’en déduira rien... même si un des Israéliens arrêté désignera immédiatement à la police les Palestiniens comme le problème, et qu’un coup de téléphone anonyme à la police désigna une camionnette blanche suspecte conduite soi-disant par des... Palestiniens. De là à penser que le Mossad menait une opération d’influence ce matin-là, sur le terrain, ce n’est que supputation.

    On peut envisager que les tours aient été dynamitées, soit par l’ISI (qui en avait émis le souhait, par le biais de RG Abbas, selon le rapport de Randy Glass), soit par des Américains qui auraient voulu achever le job - en prolongeant l’action des gars de Ben Laden. Quant au pilotage à distance sur le Pentagone, s’il a eu lieu, il pourrait aussi s’inscrire dans cette optique d’une opération d’Al Qaïda récupérée en cours de route par des fous furieux au sommet de l’appareil d’Etat américain, qui auraient dissimulé leurs actions derrière les exercices de simulation (de détournements, et de crash sur le NRO, qui se situe à seulement 40 km du Pentagone).

    Dans ce scénario complexe, les responsabilités seraient partagées... pour le moins. Suite aux attentats, les Etats-Unis désignent à raison Al Qaïda comme coupable, dissimulent la complicité de l’ISI et des Saoudiens, ou plutôt de certains éléments importants dans ces pays, afin d’instrumentaliser la catastrophe à leurs propres fins, selon leur propre agenda : Afghanistan, puis Irak, qu’on tente de mettre en cause dès le 12 septembre 2001. Dans ce scénario, peu de gens seraient impliqués côté américain. Une poignée, bien placée. Traîner les pieds, rester passifs, ça n’est pas trop visible... Ne pas exploiter les renseignements qu’on vous donne... on peut toujours prétexter qu’on avait autre chose à faire, d’autres préoccupations, qu’on a été négligent... On peut même envisager qu’un type comme Tenet, à la tête de la CIA, n’était pas dans le coup, puisqu’il n’a cessé d’avertir l’administration Bush du danger avant le 11/9, et qu’il a balancé sur ceux qui louchaient sur l’Irak dès le 12 septembre en dépit de ses informations ne pointant que vers Al Qaïda.

    Si les exercices de simulation ont servi de façades pour prendre en main les avions détournés, et les piloter mieux que les kamikazes n’auraient pu le faire, ça réclame sans doute plus de monde, mais combien ? Peut-être pas tant que ça... si ça s’est passé au NRO, qui a été largement évacué avant le début de l’exercice (officiellement annulé après le premier crash, mais avant le crash sur le Pentagone). Le Doomsday Plane pouvait servir à superviser l’opération, la reprise en main de l’opération d’Al Qaïda. Mais on n’en sait rien, peut-être les kamikazes ont-ils pu aussi mener seuls les opérations.

    Pendant la guerre en Afghanistan, on s’arrange pour laisser fuir Ben Laden, dont on sait qu’il est sous protection de l’ISI, donc entre de bonnes mains. La guerre contre la terreur peut donc se déployer. En 2003 et 2004, les soldats français peuvent capturer Ben Laden, mais la guerre en Irak commence à peine, c’est bien trop tôt pour capturer l’icône maléfique... Le commandement US refuse donc cette arrestation et laisse fuir OBL. Les vidéos du célèbre terroriste, authentiques ou pas, font le jeu de la guerre à la terreur... jusqu’au jour où on décide, le 1er mai 2011, de mettre un terme à tout ça. Parce que les 10 ans des attentats arrivent, c’est le bon timing... parce que Obama vise sa réélection et démarre sa campagne... et sans doute pour d’autres raisons plus obscures.

    Espérons que ça n’ait rien à voir avec ça (article du 25 avril 2011) : http://www.dnaindia.com/world/repor...

    Al Qaida promet une « tempête nucléaire infernale » si Oussama Ben Laden est capturé ou mort Les terroristes d’Al-Qaïda ont menacé de déclencher une « tempête nucléaire de l’enfer » sur l’Occident si leur chef est capturé ou trouvé mort.

    Un haut commandant d’Al Qaïda a affirmé que le groupe de terroristes a soigneusement caché une bombe nucléaire en Europe et qu’elle sera activée si Ben Laden est assassiné, selon des documents secrets rendus public par Wikileaks


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