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Derniers commentaires



  • sarah sarah 26 juin 2007 13:09

    Bonjour,

    Si, en me croisant dans la rue, vous m’aviez demandé qui était Hilton, j’aurai répondu que je ne savais pas et que je n’avais pas envie de savoir. Je n’ai pas la télé, je ne lis pas les journaux(sauf celui de l’association de mon quartier)c’est ma façon de me protéger de la manipulation et de la propagande. Pour m’informer je fais autrement(trop long à exposer). Pour le Darfour, j’aurais répondu que j’avais des éléments de réponses.Et que je souhaiterai en savoir plus...d’ailleurs je suis surprise que personne n’ai pensé à le faire. Ya t’il quelqu’un qui pourrait nous informer ?

    En lisant votre article, j’ai pensé que vous utilisiez le style satirique pour faire passer votre message !!En lisant quelques commentaires, j’ai réalisé que d’autres ont lu au premier degré et vous taxes de dragueur superficiel, pouvez vous m’éclairer sur ce point ?



  • sarah sarah 22 juin 2007 16:32

    A Jacob et Seb

    Probablement je suis encore jeune et naïve mais je ne comprend pas que vous puissiez ainsi exprimer votre haine et votre ignorance, sans vous sentir en décalage...effectivement vos propos sont haineux, ils appels aux crimes, à la violence et à la guerre. Et bien sur, dans l’obscurité de votre ignorance vous ne voyez pas que ce que vous leur reprochez(le souk et l’inutilité voir le danger) vous le prônez et l’incarnez !!!

    D’ailleurs, qui est l’objet de votre haine ? Des millions de personnes dont vous ne savez rien et qui sont bien plus pacifistes et sympathique que vous ne l’êtes ? Ou bien vous-même, votre morbide incapacité à comprendre et accepter le monde tel qu’il est ; et votre impuissance à le changer pour le faire tel que vous pensez qu’il doit être ?

    La question reste ouverte

    Sachez tout de même Monsieur, que de plus en plus de français se convertissent à l’islam ; faut-il les bruler ? Pouvez vous réellement croire que tous les musulmans du monde sont des imbéciles qui n’ont rien compris ??? Et que toutes les musulmanes sont des femmes soumises ? Entre le voile et la mini jupe capitaliste que choisir ?

    L’important n’est-il pas que je puisse choisir ?

    Ce que justement vous souhaitez éradiquer...la liberté de choisir ; un seul mot d’ordre « l’occident » et pas autre chose. Et vous finissez par clamer que votre projet de société sera porteur de liberté ???

    êtes-vous débiles ?



  • sarah sarah 21 juin 2007 13:21

    Bonjour Je suis pas sur de comprendre, ça veut dire que vous auriez souhaité que le parti de Le pen ai des sièges ???



  • sarah sarah 21 juin 2007 13:14

    Bonjour,

    Je vous remercie d’avoir apporté un commentaire suite à celui que j’ai laissé. J’avais bien compris que votre réflexion ne se situait pas sur le plan des individus mais au niveau de l’état, sensé représenter ces individus. Simplement, et je reconnais que je ne l’explicite pas dans mon texte, je n’accorde pas à l’état et à son "président, l’importance que vous semblais leurs accorder.

    Par exemple, je ne me sens en aucun cas en accord avec la politique du président actuel, lorsqu’il traque femmes et enfants pour les expulser, je ne suis pas partisane...et pourtant il est légitime !!!

    Je n’ai aucunement besoin de son accord pour reconnaitre mes responsabilités. Pas même besoin qu’il fasse de même. Et je n’ai pas non plus besoin qu’il reconnaisse quoique se soit.

    La question qui sous tend me semble être celle des conséquences attendues de la repentance selon les niveaux.

    Si, comme vous semblez le croire, il est nécessaire que l’état, en ce qu’il représente la parole commune(si seulement il représente réellement la parole commune et que lui seul peut le faire), reconnaisse un fait, alors cela maintient la victime en état de dépendance vis à vis de « l’agresseur ». Et c’est bien dommage ; alors plutôt que d’attendre de celui-ci une reconnaissance (que je reconnais fort utile, quand elle lui vient spontanément) je pense qu’il est plus utile d’aider la victime à se reconstruire sans rien attendre de se dit « agresseur » ; en lui reconnaissant, « d’être à être », ses blessures et l’injustice dont elle a était victime.Accueillir les indiens pour leur offrir une tribune leur a permis de se dirent et c’était ce dont ils avaient besoin. Ils ont fais ce qu’ils se devaient de faire, exprimer et dénoncer, le reste ne leur appartient pas. Sinon c’est la guerre et non la paix que nous récolterons ; vous avez pu le constater au travers des réactions qu’a suscité votre article. La nature humaine est ce qu’elle est et nous nous devons d’en prendre acte, plutôt que de vouloir la combattre. Vous pouvez affirmer votre point de vue, militer en se sens, dénoncer ce qui vous semble injuste et présenter vos solutions, mais en aucun cas les affirmer comme étant porteuses de vérité et devant, dés lors, être imposées.Sinon vous devenez agresseur et l’histoire morbide se répète...

    Je milite pour ce que je crois être juste et je donnerai ma vie pour garder ma liberté de le faire. Cette liberté dont nous jouissons ici est un moyen précieux d’exprimer ce que nous voulons être, ce que nous croyons juste. Mais je crois sincèrement que la vérité nous dépasse et que nul sinon à se prétendre Dieu, ne sait ce qu’elle est. Il est courageux de tenter de s’en approcher, il est dangereux de s’en prétendre détenteur.

    Vous le savez mieux que moi, la réalité est une construction. Alors pourquoi ne pas utiliser nos forces à faire de nous des êtres en mesure de construire une réalité ou chaque être serait responsable et autonome, plutôt que de se suffire d’un état providence qui suppléerait à nos manquement ?

    Ce n’est qu’une question, je ne la crois ni pertinente ni même intelligente, simplement elle est ce que j’ai réussi à exprimer de ce que je pense...et elle n’est que cela. C’est déjà ça



  • sarah sarah 18 juin 2007 13:59

    Bonjour, j’aurai beaucoup à dire sur, non pas cet article, mais les réactions qu’il suscite. Je ne vais pas m’épancher, sachant que l’étalage des mes réactions émotionnelles n’a aucun intérêt et ne ferait qu’alimenter la violence qui accompagne les réactions affectives opposées.

    Personne ne peut, ni ne va, obliger personne à reconnaitre qu’il est responsable d’une violence envers autrui. Ce ne peut être qu’une attitude volontaire émergent d’une conscience personnelle. D’ailleurs l’effet « réparateur » du mea-culpa est d’autant plus fort qu’il est spontané.

    Peut-être que les indiens dont parle l’auteur dans son texte le savent et que c’est la raison pour laquelle ils ne demandent rien ? Le génocide et ses conséquences et évident, il n’y a aucun doute. Je suis au regret d’interpréter la réaction de ceux qui ne se déclarent pas face à cette réalité historique comme un manque total d’estime des autres.

    J’aimerai mieux comprendre ou se situe le débat ; il me semble que la question n’est plus de savoir si violence a été commise, ce fait est avéré. La question est quel intérêt, si toute fois il y en a un, quel intérêt de reconnaitre ces tords et qu’est-ce que cela révèle de celui qui le fait ? Pour ma part la réponse est dans la question...je préfère reconnaitre avoir fais une erreur, je suis juste humaine et tient à le rester. Même si mon erreur pèse sur des personnes qui elles aussi portent un passif. Qui se croit à même de jeter la première pierre me semble aussi ignorant que dangereux. Et peu m’importe de savoir si ces personnes vont, de leurs cotés, reconnaitre leurs tords. Mes actes, mes choix me viennent de l’intérieur, pas de ce que font ou sont les autres.

    Je suis pour la repentance, mais pas en vue de la rédemption. Pour soulager la souffrance de celui que j’ai blessé ; parce que je ne sais me satisfaire d’avoir fais mal et parce que cela me permet de supporter le mal que l’on me fait...allez comprendre !!! Cela ne s’achète pas.

    Et lorsqu’on me blesse, s’il n’est pas de repentance, j’en déduis que j’ai rencontré un être qui n’est pas sur la même voie que moi. Que sa vie est tout aussi légitime que la mienne et que ce n’est pas à moi d’en juger. je n’en ai ni les moyens, ni la capacité.

    Alors je donne un coup de main à une inconnue dans la rue, un acte gratuit qui me rappel qui je suis et qui panse mes blessures. Je reprend l’exemple des indiens, ils ont le choix d’attendre que leurs bourreaux se présentent ou celui de s’en démarquer.

    Sinon c’est rester leurs victimes.

    Je suis d’accord avec l’idée que dans un l’idéal de recherche de paix, reconnaitre ses tords et de s’en enrichir peut être utile. Mais cela ne peut être imposé. Si certains citoyens français estiment qu’ils n’ont pas de repentance à faire, il est nécessaire de l’entendre et de l’accepter. Cela n’empêche personne de le faire et c’est déjà un grand pas. Merci pour cet article.


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