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republicain

il était une fois les gaullistes de gauche

Tableau de bord

  • Premier article le 19/03/2007
  • Modérateur depuis le 10/12/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • republicain 30 mars 2007 22:01

    j ai honte votre article à une odeur de merde c est du fascisme je ne voulais pas voter Sarkozy mais je vais le faire aucun argument contre Sarko, un simple delit de sale gueule j ai honte J ’étais de gauche mais de la vraie celle de Salengro celle qui subissait le fascisme de bas étage, pas celle qui en était à l ’origine Vous n’avez pas de véritable argument, seulzement des insultes c’est triste Agoravox ??? une clownerie qui sous prétexte d’informer ose publer de tels articles grace à des articles comme celui ci Le pen progresse



  • republicain 27 mars 2007 01:07

    Un second tour Bayrou -Sarkozy est improbable, Madame Royal a choisi son adversaire

    Vue de l’étranger la Grande Nation fait souvent sourire, elle donne des leçons au monde et semble incapable de se réformer . Un taux de croissance médiocre, un chômage qui fait de la résistance, des centaines de voitures qui brûlent la nuit, une société bloquée...Pouvons nous nous offrir le luxe de perdre cinq ans de plus avant de trouver des réponses au mal français ? Deux candidats, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal peuvent ils incarner le renouveau ? proposer un véritable projet. On aurait tort à droite de se gausser des capacités intellectuelles de MME Royal .Redoutable bête politique elle a su éliminer ceux qui pouvaient réformer le Parti Socialiste et en tout premier lieu le brillant mais peu médiatique...François Hollande . Laurent Fabius authentique homme de droite , voulant imiter son mentor François Mitterrand, se persuada que la gauche se gagnait à gauche . Il s’élimina tout seul en détruisant son image de modéré Dominique Strauss KAHN, le séducteur, oublia qu’à défaut d’idées Ségolène avait de l’ambition et une incroyable capacité à détruire ses contradicteurs en les accusant de machisme. Peut on imaginer MME ROYAL, présidente de la République ? Elle sait faire vibrer la fibre populiste. Elle chante la Marseillaise et ,à défaut de poule au pôt le dimanche veut pour chaque famille française...un drapeau tricolore . Madone de la repentance, elle réveille les communautarismes, réinvente l’histoire , tout lui est bon pour détruire la France et récupérer les suffrages de l’Outre Mer. Communiquante , elle invente la « démocratie participative » mais ne parvient pas à faire taire ses collaborateurs Evelyne Pathouot fut son assistante parlementaire, licenciées abusivement elle poursuit MME Royal aux prud’hommes et rédige ces lignes savoureuses. « Depuis le printemps 2006, le phénomène Ségolène Royal occupe une place de premier ordre sur la scène médiatique et dans l’esprit des français. Candidate au Parti socialiste à l’élection présidentielle de 2007, elle est devenue un véritable people. Et pourtant, personne n’est en mesure de dire qui elle est vraiment. Résultat : Ségolène Royal, c’est un peu l’auberge espagnolede la politique. Chacun a sa Ségolène et prétend que c’est la seule, la vraie, l’unique. La principale intéressée laisse faire, verrouillant les codes d’accès à son personnage. Ses plus fidèles partisans ont fait voeu de silence. Ils n’ont rien à dire et le disent très bien. Ils concèdent tout au plus qu’elle les séduit ; plus rarement, qu’elle les terrorise. Je connais bien Ségolène puisque j’ai travaillé à ses cotés comme assistante parlementaire pendant deux ans. J’ai été, un temps, une ségoliste convaincue.Puis, peu à peu, j’ai découvert sa part d’ombre. Celle que j’idéalisais m’est alors apparue pour ce qu’elle est : une femme ambitieuse, calculatrice et autoritaire, prête à tout pour atteindre la plus haute charge de l’Etat. » Eric Besson,son ex conseiller économique , humilié écrit lui aussi : « Si elle gagne, je plains son Premier ministre. Il devra appliquer une politique imprécise sous l’égide d’une présidente invitant au culte de la personnalité, tournant le dos à l’histoire de la gauche progressiste (...) Si elle perd, le PS sera une nouvelle fois en crise majeure. Mais je préfère voir le PS obligé d’opérer enfin sa mue et devenir un parti réformiste assumé plutôt que de risquer l’embolie de mon pays »,

    S’il faut en croire le défunt Pierre Bourdieu, Madame Royal , n’est pas de gauche, elle a simplement de l’ambition ; Elle sait qu’il est payant de dire du mal des « profs » Elle veut faire travailler ces paresseux 35 heures par semaine... Car chacun sait bien qu’il n’ y a ni cours à préparer, ni copies à corriger ni stress à gérer. . Jadis elle fit de belles circulaires pour dénoncer ces mêmes profs comme des pédophiles en puissance, elle laissa de mauvais souvenirs du côté de Montmirail Pourtant ,, ces masochistes voteront pour elle par atavisme . Le programme économique de Mme ROYAL nous renvoie aux temps joyeux de Pierre Mauroy Pour sauver notre modèle social il faudrait sans doute revaloriser le travail, privilégier l’activité plutôt que l’assistance. Madame Royal prévoit le contraire Ainsi pour défendre le régime unique au monde des « intermittents du spectacle »ila candidate socialiste se prononce pour un retour au principe de 507 heures travaillées sur une période de 12 mois ouvrant droit à complément de rémunération par les assedic et les salariés ordinaires

    En relevant le smic à 1500 euros elle tasse les hiérarchies salariales

    Bien des Français qui gagnaient un tout petit peu plus que le smic deviendront smicards

    Grâce à elle , un professeur agrégé débutant sera désormais ... smicard.

    Madame Royal peut elle devenir présidente ?

    Elle est bien devenue la candidate du PS et ce qui n’est jusqu’à présent qu’une tragédie socialiste peut demain devenir une tragédie française.

    Ceux qui espèrent Olympe de Gouges se retrouveront avec la Concini...

    La France a besoin d’être gouvernée, Madame Royal ne la gouvernera pas, elle la soumettra à ces caprices et préparera le succès futur de Marine Le Pen

    Madame Royal peur cependant gagner car elle a un solide allié dans la place, Nicolas Sarkozy.

    Pouvait elle espérer mieux comme adversaire ?

    Un ministre de l’intérieur peut il impunément supprimer la police de proximité, vider les quartiers difficiles des forces de l’ordre et ensuite surfer sur l’insécurité ?

    Il n ‘est pas besoin d’être gauchiste pour se sentir solidaire de cette directrice d’école maternelle intervenant dans la rue parce qu’une bande de jeunes molestaient des parents d’élèves et créaient un trouble pour la sécurité des enfants. Elle avait simplement oublié que les jeunes en question portaient un brassard et que sur ce brassard il y avait écrit « police »

    La France ne peut accueillir toute la misère du monde mais pour être gouvernée la France doit être apaisée pas placée en situation de guerre civile

    Avec sa chère « discrimination positive » Nicolas Sarkozy fait prospérer les communautarismes ;

    Nicolas Sarkozy a pas plus de défaut que Madame Royal, mais sa campagne et ses maladresses ne lui permettent p as d’être élu Les derniers sondages traduisent un mouvement irréversible : Madame Royal sera au second tour. La gauche ne prendra pas le risque d’un nouveau 21 avril Les sondages montrent également une remontée de la socialiste face à Nicolas Sarkozy Il n’y aura pas de second tour Bayrou - Sarkozy mais il y a bel et bien une primaire pour le second tour entre les deux hommes. Madame Royal a choisi son candidat préféré, elle n’ignore pas que face à François Bayrou, elle perdrait. lamentablement Si au second tour son adversaire s’appelle Nicolas Sarkozy, la presse se déchaînera, les artistes s’immoleront ...Le karscher, les racailles, la visite à Bush : tout reviendra

    Et Madame Royal sera élue

    Depuis six mois Madame Royal n ‘a jamais eu que deux adversaires dangereux, capables de l empêcher de gagner Dominique Strauss Kahn et François Bayrou

    Elle a éliminé le premier et compte sur bien sur les erreurs stratégiques du centre et de la droite pour éliminer le second



  • republicain 27 mars 2007 00:57

    Madame Royal est elle de gauche ?

    Ceux qui en doutent doivent savoir que Madame Royal s’inscrit dans une tradition méconnue de la gauche française, le socialisme national

    Les références de Mme Royal se situent plus dans la tradition « néo socialiste « des années trente La devise de ce courant issu du Parti Socialiste est « ordre, autorité, nation ». Ce mouvement qui veut « renforcer l’État contre la crise économique » s’ouvre aux classes moyennes , réformiste , il valorise l ‘identité nationale. Madame Royal n aurait elle pas pu écrire les lignes suivantes : « Ils y apprendront aussi par quelle discipline sévère chaque citoyen doit se hausser hors des passions privées et des intérêts particuliers, pour toujours se placer au point de vue de l’intérêt collectif et dégager ainsi la volonté générale.... Remarquable effort de l’Etat pour échapper à l’emprise des sous-Etats qui tendent toujours à se former dans son sein. Fonction d’autorité, comme on voit, et qui n’est pas celle d’un pouvoir déliquescent. Tout justement ce que nous réclamons de notre pauvre Etat français... Second trait, bien plus accentué : le rôle du sentiment national et de la passion patriotique. Là encore nous retrouvons les Jacobins, qui firent du mot patriote le synonyme de révolutionnaire. « Il semble que le sentiment de l’humanité s’évapore et s’affaiblisse en s’étendant sur toute la terre. Il est certain que les plus grands prodiges de vertu ont été produits par l’amour de la patrie. » Mais il ne s’agit pas que d’aimer la patrie : comment les peuples l’aimeront-ils « si la patrie n’est rien de plus pour aux que pour des étrangers, et qu’elle ne leur accorde que ce qu’elle ne peut refuser à personne » ? Les « néos » ou « socialistes nationaux » ont pour chef de file Marcel Déat et Adrien Marquet Ils s’opposent au sein du Parti à Léon Blum en voulant renforcer le contrôle de l’Etat et sont intéressés par les expériences d’un ancien socialiste, Benito Mussolini. Au congrès de juillet, 1933 Léon Blum se déclare « épouvanté » par les propos d’Adrien Marquet sur l’ordre, l’autorité et la Nation. Depuis des mois la question de la participation gouvernementale divise les socialistes. Les « néos » qui refusent de s’incliner devant les décisions du congrès relatives à la discipline de vote au groupe parlementaire (et qui déclarent vouloir voter le budget à la Chambre) organisent une manifestation publique à Angoulême contre la politique du Parti. Le conseil national, à une écrasante majorité, exclut Déat, Adrien Marquet, Pierre Renaudel et leurs amis, et adresse un dernier avertissement aux élus indisciplinés. La scission est consommée. Les néos fondent le Parti socialiste de France. Dans son discours du 17 juillet 1933, Déat insiste sur la nécessité de comprendre le fascisme pour mieux le combattre. Refusant tout attentisme, il veut rallier les classes moyennes aux côtés du prolétariat afin de trouver l’élan indispensable à la défense des intérêts de la nation. Certains passages des Mémoires montrent la fascination de Déat pour le fascisme. Lors de la crise de 1938, il se situe clairement dans le camp des conciliateurs. Plus que jamais, il refuse de voir la France entrer en guerre pour des motifs autres que la défense de son intégrité territoriale : ainsi, le 4 mai 1939, au lendemain de l’annexion par l’Allemagne de la Bohême-Moravie, il publie son fameux article intitulé « Mourir pour Danzig ? ». A partir de juin 1940, Déat privilégie de plus en plus le thème du redressement national, fruit d’un élan unanime de toutes les forces du pays. Parallèlement, disparaissent peu à peu les exigences liées à son bagage intellectuel de gauche. Farouchement opposé au régime de Vichy, dont il dénonce le traditionalisme, le cléricalisme, le militarisme et les liens étroits avec le grand capitalisme, il pense que la France doit collaborer avec l’Allemagne. C’est pourquoi il approuve le tournant opéré à partir de l’entrevue de Montoire. Convaincu que Hitler sera l’artisan d’une Europe nouvelle, Déat entretient d’excellents rapports avec l’ambassade allemande. A partir de l’été 1941 et du lancement de l’opération Barbarossa, il ne met plus en doute la nécessité de fondre la France dans le " moule totalitaire «  Déat s’est enfermé dans une vision fantasmatique du nazisme. Indubitablement, il est fasciné par la mystique germanique du Volk, c’est à dire du peuple comme totalité organique constituant la substance même de la communauté éthique.

    La destinée des autres Néos - la collaboration - les discrédite durablement, à l’exception de Paul Ramadier . Sous le Front populaire, il fit adopter d’importantes lois sociales. Il s’inspira d’ un « néo « belge, Henri de Man pour avancer l’idée du partage du travail comme solution au chômage Pensant la guerre, Ramadier ne vota pas les pleins pouvoirs et fut même élu « juste parmi les nations » . Anticommuniste, Il se retira en raison de la persistance des grèves en 1947.Sous le gouvernement Mollet, il créa la vignette automobile,. Le socialisme national s’inscrit donc bel et bien dans la tradition de la gauche française mais il est marginal Plus proche de nous Jean Pierre Chevenement, aujourd’hui rallié à Ségolène Royal put incarner certaines formes de ce « socialisme national » mais la dimension « républicaine » l’emporta sur la quête de l ‘identité nationale Très éloigné de la « deuxième gauche » rocardienne mais aussi da la gauche traditionnelle marxiste et internationaliste ce courant connaît un renouveau purement hexagonal qui ne manquera pas d’ interpeller nos voisins



  • republicain 27 mars 2007 00:50

    Tout dépendra de la capacite de la droite à admettre l improbabilité d’un second tour Bayrou sarkozy Pour le momnt les électeurs du dentre et de la droite n ’envisage pas la défaite de Sarkozy face à Royal

    Peut on imaginer MME ROYAL, présidente de la République ? Elle sait faire vibrer la fibre populiste. Elle chante la Marseillaise et ,à défaut de poule au pôt le dimanche veut pour chaque famille française...un drapeau tricolore . Madone de la repentance, elle réveille les communautarismes, réinvente l’histoire , tout lui est bon pour détruire la France et récupérer les suffrages de l’Outre Mer. Communiquante , elle invente la « démocratie participative » mais ne parvient pas à faire taire ses collaborateurs Evelyne Pathouot fut son assistante parlementaire, licenciées abusivement elle poursuit MME Royal aux prud’hommes et rédige ces lignes savoureuses. « . Celle que j’idéalisais m’est alors apparue pour ce qu’elle est : une femme ambitieuse, calculatrice et autoritaire, prête à tout pour atteindre la plus haute charge de l’Etat. » Eric Besson,son ex conseiller économique , humilié écrit lui aussi : « Si elle gagne, je plains son Premier ministre. Il devra appliquer une politique imprécise sous l’égide d’une présidente invitant au culte de la personnalité, tournant le dos à l’histoire de la gauche progressiste (...) S »,

    S’il faut en croire le défunt Pierre Bourdieu, Madame Royal , n’est pas de gauche, elle a simplement de l’ambition ; Elle sait qu’il est payant de dire du mal des « profs » Le programme économique de Mme ROYAL nous renvoie aux temps joyeux de Pierre Mauroy Pour sauver notre modèle social il faudrait sans doute revaloriser le travail, privilégier l’activité plutôt que l’assistance. Madame Royal prévoit le contraire

    En relevant le smic à 1500 euros elle tasse les hiérarchies salariales

    Bien des Français qui gagnaient un tout petit peu plus que le smic deviendront smicards

    Grâce à elle , un professeur agrégé débutant sera désormais ... smicard.

    Madame Royal peut elle devenir présidente ?

    Elle est bien devenue la candidate du PS et ce qui n’est jusqu’à présent qu’une tragédie socialiste peut demain devenir une tragédie française.

    Ceux qui espèrent Olympe de Gouges se retrouveront avec la Concini...

    La France a besoin d’être gouvernée, Madame Royal ne la gouvernera pas, elle la soumettra à ces caprices et préparera le succès futur de Marine Le Pen

    Madame Royal a choisi son candidat préféré, elle n’ignore pas que face à François Bayrou, elle perdrait. lamentablement Si au second tour son adversaire s’appelle Nicolas Sarkozy, la presse se déchaînera, les artistes s’immoleront ...Le karscher, les racailles, la visite à Bush : tout reviendra

    Et Madame Royal sera élue... Sauf si la droite et le centre ont conscience que seul Bayrou peut leur éviter Madame Royal

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