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quartiersauvage

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  • quartiersauvage 23 juin 2021 08:07

    Enfin la gauche sort de l’atlantisme. Enfin le PCF cesse de ramper devant l’impérialisme US. Il est clair que les socialos ne vont pas digérer et ça n’est pas trop tôt.



  • quartiersauvage 29 juillet 2019 23:01

    Merci, aussi clair et didactique que possible.

    C’est une évolution de plusieurs années, qu’on a pu observer au moins depuis 2009, avec le projet d’une nouvelle monnaie (les DTS avaient été envisagés).

    Voir « une nouvelle monnaie pour le monde »

    L’aboutissement de ce processus est sans doute à l’origine des sanctions financières et des droits de douane pratiqués par Trump, et dont la généralisation traduit l’isolement des USA.



  • quartiersauvage 4 mars 2019 23:39

    C’est ce qu’on appelle le mépris de classe, celui qui élève les élèves d’hypokhâgne dans l’esprit « vous êtes le gratin de la société », et leur fait dédaigner la main qui les habille, les loge et les nourrit.

    Merci pour cet article, mais je crois que vous aurez beau faire, vous serez toujours en deçà de la réalité :)



  • quartiersauvage 22 décembre 2016 09:08

    La Chine possède plus d’une variable d’ajustement. Elle a déjà commencé à réorienter son économie vers la consommation intérieure soit plus d’un milliards de consommateurs, ce que traduit la hausse des prix, et à réduire ses surcapacités en production destinée à l’export.

    Autre réorientation celle d’une production de produits de base vers les produits technologiques. La Chine est passée en tête pour les machines-outils par exemple.

    En quelques décennies la Chine effectue trois révolutions industrielles.

    La route de la soie est une autre « variable d’ajustement », et les capitaux étrangers sont naturellement attirés par ces opportunités, ce qui permet de nouveaux investissements. Enfin les investissements chinois sont essentiellement orientés vers la production et non vers la rente, grosse différence par rapport à nos économies.


     En ce qui concerne le « lien d’interdépendance », « comprador » de surcroît, c’est une vue de l’esprit. Toutes les économies sont interdépendantes aujourd’hui, ça n’indique rien sur la nature de ces relations, qui est dominant, qui est dominé, quel est le sens du flux des capitaux, le rapport des échanges.

    La Chine a établi d’autres liens avec d’autres économies dans des cadres régionaux, sur le plan économique, financier, bancaire. Ce qui n’apparaît pas non plus dans l’article.

    Quand le parti communiste chinois prendra ses ordres de route à la Maison Blanche on en reparlera. Il ne faut pas raconter n’importe quoi en vertu de théories toutes faites, à un moment donné ça fait désordre.


    Le ralentissement de la Chine, ou plutôt de ses exportations n’est autre que la débâcle de ses clients. Au lieu de s’inquiéter de la santé de la Chine, il serait judicieux de balayer devant notre porte et de se demander si la polarisation sociale grandissante n’est pas à l’origine de la ruine de la consommation et de l’investissement productif.



  • quartiersauvage 22 octobre 2016 20:02

    Vous écrivez « Oui, le Monde existe bel et bien en dehors de la conscience », pour affirmer ensuite exactement l’inverse.

    « Qui oserait dire que ce concept du Monde existe pour un animal ou un arbre ? Or, ce n’est que lorsque je reconnais son existence que je commence à connaître quelque chose de lui, à savoir qu’il existe d’abord. Cette reconnaissance de son existence lui fait donc changer de statut : il passe ainsi de l’être ignoré à l’être connu, de l’être obscur à l’être éclairé par la lumière de l’entendement, du chaos au concept. Dans cette perspective, endossant immanquablement le statut de « concept », il n’a plus aucune existence autonome : il n’est que dans le cadre de sa relation à un sujet connaissant, partant, à une conscience. »

     Quelle différence existe-t-il entre le premier qui existe en dehors de la conscience et le second qui n’a plus aucune existence autonome  ? Aucune, le premier est déjà conceptualisé.

    Ensuite, que le monde existe en dehors de la conscience signifie qu’il existe indépendamment du concept qui lui a été attribué.

     

    Vous affirmez qu’il est « d’abord objet de connaissance ». Non seulement il préexiste à la connaissance mais la connaissance elle-même en est une manifestation. C’est le sujet qui définit le monde comme objet de sa propre connaissance, en sachant qu’il fait lui-même partie de cet objet. Ce processus de pensée ne modifie rien la réalité des choses par ailleurs.

     

    Le concept de monde n’existe pas pour un animal, mais présente pour lui une existence autonome, quelle que soit la perception qu’il en a. S’il voit des arbres gris, les arbres n’ont pas changé de couleur spécialement pour lui. Si vous n’entendez pas les ultra-sons ils existent quand même et l’animal les entend.

    La reconnaissance de son existence ne modifie pas le monde mais uniquement le statut que vous lui attribuez. Il n’est ni plus ni moins chaotique, c’est votre propre conception du monde qui est peut-être moins confuse. Et les concepts que vous attribuez ne modifient en rien l’existence autonome des objets qui vous entourent. Votre anthropocentrisme et vote idéalisme vous font marcher sur la tête.

     

    Vous spéculez sur l’antériorité de Newton par rapport à Einstein en imaginant un voyage des parents de Newton à la vitesse de la lumière…imaginez ce qui vous chante mais Newton est né avant Einstein, et ceci ne dépend pas de conditions qui n’ont pas existé.

     

    Maintenant, à supposer que vous puissiez asseoir Kant sur un photon, ça n’empêchera pas ses conclusions de traîner deux cents ans de retard sur l’adaptation de la philosophie à la réalité des choses.


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