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pragma

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  • pragma 23 octobre 2013 01:25

    Et si le GIEC était encore plus dangereux qu’on ne le pense.

    Ce n’est pas la pause qui pose problême, c’est le fait que les températures réelles sortent des intervalles modélisés. Cela veut dire que les modèles sont faux. Et ils sont faux parce qu’ils n’intègrent pas des paramètres importants.

    Maintenant réfléchissons. Si on est sur à 95% que les températures sont dans la fourchette, cela veut dire qu’on estime à 5% la probabilité qu’elle soit plus basse ou plus élevée.

    Si le modèle est faux, on n’a aucune idée des chances d’avoir une température plus basse ou plus élevée. Ce n’est pas parce qu’elle sort du cône de prédiction par le bas qu’elle ne va pa sortir par le haut d’ici 50 ans. Quand c’est faux, c’est faux et pas simplement sous évalué.

    Supposons que sur la foi des affirmations du GIEC et des activistes écologistes on réduise nos émissions de moitié dans les 20 ans avec une méchante récession économique en domages collatéraux, suivie de troubles sociaux et de tensions internationales.

    Supposons que les températures et le taux de CO2 dans l’atmosphère continuent de grimper et qu’un chercheur découvre que le système s’est emballé depuis 20 ans, que le réchauffement de l’océan libère le CO2 stocké depuis 100 ans qui réchauffe l’atmosphère et entretient le dégazage.

    On fait quoi ? Il faudrait d’urgence capturer et enfouir 100 ans de production de CO2, mais l’opinion publique et les politiques n’y croient plus et on n’a plus les ressources nécessaires.

    Moralité : 

    - le GIEC est dangereux quand il ne veut pas reconnaître qu’il ne sait pas vraiment.

    - le GIEC est incompétent quand il engloutit des budgets énormes dans des modèles d’évolution du climat avec une maitrise insuffisante des processus déterminants. Les budgets doivent servir à consolider les connaissances de la physique du climat et non à faire des dessins de spaghettis ou prédire le temps à Mexico en 2050.

    - il est urgent d’attendre pour voir si on est dans une inflexion, un palier prolongé ou au début d’un cycle de baisse, de renforcer notre compréhension du climat et de ne pas prendre de décisions inconsidérées dictées par des idéologies ou des calculs politiques qui n’ont rien à voir avec la science.



  • pragma 22 octobre 2013 11:20

    Les grands problêmes ne se résolvent pas avec des petites solutions. S’il faut réduire le CO2 dans l’atmosphère, on construira d’immenses usines nucléaires pour capturer le CO2 dans l’atmosphère ou dans l’océan. Soyez sur que si la tonne de CO2 a un prix, le secteur privé américain investira dans cette technologie.

    Pourquoi ai-je dit dans l’océan ? Parce que l’on sait bien que la concentration de CO2 atmosphérique est en équilibre avec la surface des océans au point que l’on n’est même pas sur d’être responsable de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. 50% des rejets disparaissent purement et simplement.

    Ce qui veut dire qu’en létat actuel de la science, on pourrait s’apercevoir qu’on écope le CO2 du tonneau des Danaïdes.



  • pragma 16 octobre 2013 10:21

    S’en prendre aux scientifiques français est symptomatique : ce n’est pas leur travail ou leurs arguments qui dérangent, mais le fait qu’ils remettent en question le dogme.

    Rarement on voit des critiques des centaines de scientifiques du monde entier qui ont la même position envers la crédibilité du GIEC. Pensez ce que vous voulez mais ne le dites surtout pas en France. La France sait tout mieux que tout le monde ! Les lois de la phyique ne sont pas les mêmes ici que dans le reste du monde. La France va montrer le chemin de la sagesse au reste du monde et leur montrer comment on doit vivre.



  • pragma 16 octobre 2013 09:55

    Du point de vue des mesures, les paramètres physiques du réchauffement sont noyés dans un bruit de fond qui rend douteux toute analyse des données observées.

    Du point de vue physique, les différents paramètres de forçage et contre réaction sont trop faibles pour être mesurés et donc estimés.

    Les climatologues tentent donc d’établir la preuve du RCA et de le quantifier par des simulations, tout en sachant bien qu’il leur manque des paramètres, mais en supposant que les paramètres manquants sont négligeables.

    A l’arrivée, le modèle ne modélise pas. Les prévisions ne valent rien.

    Cela n’empêche pas que l’on traine dans la boue tous ceux qui tentent d’expliquer quels sont les paramètres négligés ou les erreurs dans la modélisation ou dans les mesures, de peur que cela ne remette en question le dogme ou que cela atténue le châtiment divin qui nous menace.

    Ouvrez les yeux : la température réelle est plus basse que prédite par le plus modeste des modèles avec les plus fortes limitations d’émission de CO2 (qui n’ont pas eu lieu). Mais le GIEC nous ment car il ne peut avouer qu’il aboutit à un échec après vingt ans de travail et de prévisions farfelues sur les conséquences et les actions à prendre pour lutter contre le réchauffement.

    Il n’y a pas de « pause temporaire » ou de soi-disant « accumulation de chaleur » mystérieuse au fond des océans qui peuvent valider un calcul extrêmement complexes avec des miliers de paramètres et d’équations qui se révèle faux. Tout est à reprendre à zéro.



  • pragma 16 octobre 2013 02:07

    Vous dites : « il faut dissoudre le GIEC ».

    Tout à fait d’accord, il faut virer les politiciens et les activistes de la recherche scientifique. En revanche il ne faut continuer les recherches fondamentales avec un peu plus de raison dans l’attribution des crédits de recherche. On constate actuellement un palier de températures qui invalide 20 ans de résultats du GIEC, mais ça ne signifie pas qu’il n’y a pas de réchauffement exponentiel sous-jacent, masqué par un cycle de baisse.

    A mon avis, il y a déja pas mal de données à consolider, à commencer par les courbes de températures globales, issues de la cuisine interne de gens un peu trop sur d’eux à mon goût.


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