Plum’

@Legestr glaz
La réponse est simple, évidente même : il est impossible de faire taire une rumeur quand elle est s’appuie sur des vérités.

Montrer une photo des trois enfants avec leurs parents prouverait au minimum que la mère n’est pas Brigitte Macron. Et, probablement, que le père est Jean-Michel Trogneux, ressemblant étrangement à Brigitte Macron.
Ceux qui ont compris cela savent pourquoi on ne peut pas faire taire ces « rumeurs ».

Et vous pouvez ajouter à cela l’incompréhensible (enfin très compréhensible là aussi) refus de Brigitte Macron de ne pas porter plainte pour diffamation sur son sexe de naissance.

Dire que Brigitte Macron est Jean-Michel Trogneux est inattaquable en Justice. Les preuves sont là.

@xana
Les deux questions ont la même réponse. En d’autres termes, répondre à la première apportera la réponse à la seconde.

Houla, super article qui montre à quel point les chiens de garde macroniens sont dans un déni aveugle qui ne fait que donner raison à ceux qu’ils combattent.

Tout y passe, à commencer par la parole sacro-sainte du divin Macron, puis la grosse cavalerie : conspirationnistes, transphobes, homophobes, racistes, délires, manipulés... Il manque toute de même l’extrême droite et l’antisémitisme, utilisés ailleurs.

Et il y les exagérations (« rituels pédosatanistes » !) et les amalgames. Par exemple, le cas est très différent de celui de Michelle Obama, qui a montré ses photos de jeunesse, a fait parler sa famille, a fait un documentaire, a démontré la manipulation d’une photo... et a ainsi fait baisser les attaques. Brigitte Macron, elle, s’enferre dans le mutisme, elle lance des actions en Justice biaisées (pas de plainte pour diffamation du fait qu’on la considère comme un homme, mais sur des à-côtés et sans se presser)... C’est pourtant si facile de montrer qu’on a été mère de trois enfants ! Même pas une photo des gamins et leurs parents. Ce n’est pas comme Michelle Obama... et même comme n’importe quelle autre mère de trois enfants...

Surtout, au-delà de la forme seulement évoquée, il y a le fond, pas du tout abordé. Gruni quand il répond à un message « C’est à ceux qui prétendent que Mme macron est transgenre d’en apporter la preuve. » montre sa méconnaissance du dossier. Car il y a des preuves scientifiques que Jean-Michel Trogneux est devenu Brigitte Macron (comparaison de voix, de photos, d’écriture...) (cf. http://pressibus.free.fr/gen/trogneux/post.html à la date du 16 mars). Pour contrer les conclusions qui en ressortent, il faudrait commencer par montrer en quoi les preuves exposées n’en sont pas.

Et là, ça coince, cela fait deux ans et demi que ça coince. Peu importe les anathèmes, tant que le fond du sujet sera ignoré par le couple élyséen et ses défenseurs, la vraie nature de Brigitte Macron sera de plus en plus connue. Cette affaire continuera à grossir.

Houla, super article qui montre à quel point les chiens de garde macroniens sont dans un déni aveugle qui ne fait que donner raison à ceux qu’ils combattent.

Tout y passe, à commencer par la parole sacro-sainte du divin Macron, puis la grosse cavalerie : conspirationnistes, transphobes, homophobes, racistes, délires, manipulés... Il manque toute de même l’extrême droite et l’antisémitisme, utilisés ailleurs.

Et il y les exagérations (« rituels pédosatanistes » !) et les amalgames. Par exemple, le cas est très différent de celui de Michelle Obama, qui a montré ses photos de jeunesse, a fait parler sa famille, a fait un documentaire, a démontré la manipulation d’une photo... et a ainsi fait baisser les attaques. Brigitte Macron, elle, s’enferre dans le mutisme, elle lance des actions en Justice biaisées (pas de plainte pour diffamation du fait qu’on la considère comme un homme, mais sur des à-côtés et sans se presser)... C’est pourtant si facile de montrer qu’on a été mère de trois enfants ! Même pas une photo des gamins et leurs parents. Ce n’est pas comme Michelle Obama... et même comme n’importe quelle autre mère de trois enfants...

Surtout, au-delà de la forme seulement évoquée, il y a le fond, pas du tout abordé. Gruni quand il répond à un message « C’est à ceux qui prétendent que Mme macron est transgenre d’en apporter la preuve. » montre qa méconnaissance du dossier. Car il y a des preuves scientifiques que Jean-Michel Trogneux est devenu Brigitte Macron (comparaison de voix, de photos, d’écriture...) (cf. http://pressibus.free.fr/gen/trogneux/post.html à la date du 16 mars). Pour contrer les conclusions qui en ressortent, il faudrait commencer par montrer en quoi les preuves exposées n’en sont pas.

Et là, ça coince, cela fait deux ans et demi que ça coince. Peu importe les anathèmes, tant que le fond du sujet sera ignoré par le couple élyséen et ses défenseurs, la vraie nature de Brigitte Macron sera de plus en plus connue. Cette affaire continuera à grossir.

Ainsi la CJR estime que le ministre a réglé ses comptes avec ses adversaires sans savoir qu’il était en infraction et sans avoir l’intention de commettre un délit. L’angélisme d’un tel ministre ne saurait être répréhensible. Au moins la CJR a-t-elle argumenté sa décision et chacun peut se rendre compte de sa validité.

Elle a fait pire en refusant d’argumenter son refus de juger le ministre de la santé Aurélien Rousseau. Or en France, toute décision de Justice doit être motivée. C’est un déni de Justice. Cela a provoqué un dépôt de plainte contre les sept magistrats de la CJR.

Lien : https://www.francesoir.fr/videos-reportage/deni-de-justice-la-cjr-perronne-et-azalbert-deposent-plainte-contre-ses-sept