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mouvement démocrate cluny

mouvement démocrate cluny

Aujourd'hui suppléante d'un candidat rural en Saône te Loire. Demain Ostéopathe et femme engagée dans la vie publique pour mettre en mouvement la Démocratie.
50 ans
Diplômée de Sciences Politiques.
voici mon engagement
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Pourquoi , je suis au centre “ la voie du milieu”
Etre au centre, c’est surtout ne pas se mettre au centre et ne pas se prendre pour le centre.
La vérité ne nous appartient pas, la lumière non plus !
 C’est simplement avoir les reins solides, et être souple et solide sur ses deux jambes.
C'est être capable de gérer et prendre les évènements avec souplesse sans idées préconçues.
C’est avoir la capacité d’avoir accès à toutes les ressources qu’offre un espace, un temps, une situation, un problème à affronter.
Des ressouces qui font appel à la raison, à l’émotion et à la capacité de mettre tout cela en action.
Agir sur le terrain en fonction du terrain et pour le terrain.
Faire partie d’un pôle majoritaire ou son contraire, c’est être décentré, parfois désaxé par rapport à l’évènement, le problème où la situation à gérer.
Etre centré, penser au centre c’est prendre du recul par rapport à nos certitudes, nos adhésions, nos profits, nos envies de gagner à tout prix  où nos peurs de perdre, pour offrir à tous, un endroit où l’on peut respirer, ne pas se déchirer, un lieu calme, stable qui est source de créativité, de courage, de vérité, de clarté, et même de compassion, etc.
Cet endroit est la source de toutes nos ressources possibles et inimaginables.
La voie du milieu est un lieu où l’égalité fraternise avec la liberté pour engendrer cette fraternité à conquérir dans notre espace Citoyen.
Nathalie SIMON
 
 

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Derniers commentaires



  • mouvement démocrate cluny mouvement démocrate cluny 17 mai 2011 00:02

    L’affaire DSK, « I comme ICARE »  »Le croiras-tu, Ariane ? Le Minotaure s’est à peine défendu"

    I COMME ICARE

    Aller toujours plus loin, au risque de devoir se retrouver face à face avec sa condition de simple être humain.

    Dominique Strauss KAHN , seul dans son désordre, réfléchit sur sa condition d’homme, surpuissance et impunité l’on fait choir, on tombe toujours par ses travers ; et comme dans le mythe du minautore, mi homme mi taureau, des tendances contre nature, l’addiction et la toute puissance ont eu raison de lui. Il entend au dehors, la clameur des médias et des tabloïd qui se déchaînent, le temps pour lui est suspendu et dans son labyrinthe, il attend le verdict, les informations s’enchaînent, les évènements extérieurs s’accélèrent, le trouble s’installe, il a pêché et l’appât a bien marché. Que ce soit un montage ou que ce soit la réalité, la tendance de DSK était là, certains le savaient de sources sures, d’autres le subodoraient, certains en furent les témoins, tous se sont tus ! Certains qui n’ont plus la rose à la boutonnière, ont même choisi, de le prendre pour mentor croyant mettre fin, à l’autre en face qui pêche dans les mêmes eaux que celui qui s’est fait prendre ! Mais le coup de théâtre, du samedi 14 mai, dans la chambre 2806, devait être utile, le timing est là, qui tirera intérêt de ce grabuge international ? Dans cette histoire, une chose est sûre, c’est la fin programmée du FMI, FMI qui prenait un chemin de conciliation des contraires, égalité et stabilité, FMI qui n’était pas la panacée mais qui des petits se rapprochaient pour voir comment ne pas trop les étouffer. FMI qui a ressurgit grâce à la crise alors qu’il était condamné à disparaître. Cet homme, qui avait la puissance et fréquentait de près les puissants, ne pouvait pas ne pas savoir dans quelle arène il se trouvait, il a permis par ses failles béantes, détestables au demeurant si celle-ci sont avérées, d’ouvrir les portes qui mettront à mal une Institution afin de l’éteindre sans avoir à la combattre… Aujourd’hui un lynchage médiatique est en place, la bête au cœur est atteinte, rien ne lui sera épargné, les flashs en plein figure et l’enfer comme prison … Les américains se déchainent, les anglais les accompagnent, Grèce, Portugal et Irlande tremblent car celui qui au FMI devait négocier en fin politique est laminé, ceux qui le remplacent ne sont aujourd’hui pas de taille pour faire baisser la garde des grands argentiers, l’un est prix Nobel, et part en août prochain, l’autre , une femme fraîchement nommée, bien que talentueuse, est issue de la Banque que l’on dit Mondiale, l’ONU n’est pas loin assurément. Le dollar peut baisser, via la crise de la zone euro, pour rabattre la dette américaine et tous nous flouer dans une crise bien préparée qui verra l’avènement d’un Gouvernement qui éradiquera les G et leur numéro pour mettre en lieu et place, des gendarmes, dans tous les Etats pour que le vent de liberté ne puisse souffler que sur le drapeau de celui qui croit encore être Atlas alors qu’au pied d’argile il est ;

    En France, nos dirigeants n’ont pas la hauteur, ils pactisent mais ne gouvernent pas, tractant dans la vallée alors que les dieux qui vivent sur le Mont Olympe, déchainent les forces pour que les foules s’emballent, où se tournent par frayeur vers les plus obscurs penchants qui ont toujours raison de l’humaine condition. Le combat des titans et celui des géants est en marche, à nous d’être vigilant pour ne pas dans cette guerre y perdre notre âme !

    Nathalie SIMON



  • mouvement démocrate cluny mouvement démocrate cluny 25 avril 2011 21:04

    Schengen et la vaccination même traitement pour faire face là l’intrus repéré … Petit tour du côté de la vaccination si chère à nos gouvernants  « une campagne qui nous alerte sur nos défenses immunitaires et qui abat notre terrain « humanitaire »…

     

    La rougeole un virus, soit disant véritable fléau qui nous donne des boutons jusqu’à en mourir, la vaccination, un remède, par 2 coups répétés, proposée comme panacée pour  la quasi totalité de la population. Une protection imparable pour  ne plus avoir l’occasion de rencontrer l’intrus qui surprend nos défenses immunitaires. Mais attention, la rencontre de l’autre dans notre terrain, nous fait toujours grandir en « personnelle » immunité alors que s’en protéger à l’outrance, nous conduit immanquablement à devenir tributaire de protections infiltrées par des experts, spécialistes de la médications en tous genres .

     

    Par ces vaccinations répétés, notre terrain humanitaire semble vacillé. Il en va de même quant il s’agit de politique en humanité, la méthode pour traiter le fléau de ces migrants, arrivés par flot sur notre terrain, si bien vacciné, semble être de la même veine. 

     

    Ils envahissent nos fictives frontières et font tomber nos défenses, la vaccination s’appelle tout simplement Schengen que l’on veut momentanément suspendre en attendant de nous vacciner pour 2012 assurément !

    Parlons de cette campagne menée tambour battant pour la vaccination, cette semaine la vaccination est de retour avec son lot de rappels en tous genres…

     

    La Semaine Pascale étant achevée,  le 26 avril, ne ce sera plus l’heure de la gourmandise… Le temps est  donc venu de nous alerter pour nous gourmander sur nos libertés prises au sujet de ce que l’on appelle le principe de précautions.

     

    Il est vrai qu’après l’échec cuisant, du Gouvernement, sur sa campagne bien orchestrée pour contrer le H1N1, invasion qui devait, tous, nous rendre HS, il est l’heure, aujourd’hui, de resservir les plats mais cette fois ci sans chocolat, la dose serait un peu forte et nous serions marron.

     

    Les forteresses, il est vrai, s’écroulent toujours par des coups de boutoir répétés et sur le maillon faible, s’il vous plaît…  que ne ferions nous pas, pour nos enfants si fragilisés !

     

    Si le H1N1 n’a pas eu véritablement de tremplin dans les communs, il a permis, tout de même, de vacciner certains laboratoires en leur injectant de quoi avoir du répondant pour d’autres crises à venir…

     

    L’Europe, nous dit-on, se laisse envahir par une recrudescence des cas de rougeole et surtout la France, les cas ont été multipliés par 100 depuis 2007, cette épidémie est due à une négligence, la vaccination est insuffisante, les rappels ne se font pas et surtout, 95 % de vaccinés, serait le chiffre pour éradiquer cet intrus si dangereux pour notre sécurité…

     

    Certains rêvent, peut-être d’être, élus à 82 %, sans envahissement démocratique où tout le monde à le droit de cité et sans contestation comme une certaine année 2002, le 21 avril où tout le monde a été vacciné  … Plus de programmes à proposer, qu’un front à opposer, le filet est bien tendu, le ACE imparable, seuls les candidats sur terre battue reste à définir…

     

    Depuis 5 ans, nous dit-on, certains pays ont pris des mesures, mesures d’informations de tous les acteurs en influence et mesures cohercitives pour faire plier les défenses des citoyens récalcitrants.

    les autorités des pays du nord de l’Europe (Suisse, Autriche, Allemagne, Norvège) eux ont réagi mais oui : vaccination des enfants non immunisés dans les écoles touchées (notamment celles où l’on refuse la vaccination pour des raisons anthroposophiques), les centres d’accueil et autres, distribution d’information dans les institutions touchées, articles dans la presse pour conseiller la vérification du statut vaccinal, rattrapage vaccinal, vaccination des adultes non immunisés, éviction des écoles des enfants non vaccinés et possibles cas-contacts, fermeture temporaire des écoles affectées, présentation du certificat de vaccination (complète) pour réintégrer une école…

     

    Les méthodes et les arguments servis pour éradiquer la rougeole, partent de la même seringue que ce que l’on nous injecte, pour contenir l’afflux de ces migrants qui comme le virus nous alertent sur nos  dernières défenses.

     

    La vaccination, à outrance, en voulant faire notre bien, fait chuter notre terrain et les réponses alors  ne sont plus adéquates face au danger que constitue l’altérité.

    Allérgique, nous devenons, au point qu’un flot de pollen, relayé par le vent des médias, nous empêche de respirer, nos bronches menacées d’asphyxie, la ventoline, rassurez –vous, est prête à être respirés par nos poumons affolés, la dilatation n’est pas loin …  

     

    Une ventoline vient de nous être proposée par notre gouvernement en mal de solutions, Shengen et sa mise en vacance provisoire, une bouffée d’air de notre cher Nicolas… Mais tout ceci fait tomber nos défenses humanitaires et nous menne tout droit à la peste qui comme on le sait a fait des ravages au coeur de nos consciences en vaccinant notre humanité.

     

    En répondant au virus du Front National par la fin, momentanée, des accords de Shengen, nous préparons le terrain, affaiblit et sans réponse adaptée face aux dangers, à recevoir d’autres invasions… Invasions d’Idées et d’ Actions considérés comme insoutenable dans un  passé proche mais que l’on manipulent dans les laboratoires de pensées, en agitant les principes de précautions… Notre terrain perméable à toutes les fausses bonnes idées est prêt, dans un futur proche, à ingérer tous les virus qui arraisonneront notre raison !

    http://www.mouvement-democrate-cluny.com/

    Nathalie SIMON



  • mouvement démocrate cluny mouvement démocrate cluny 7 avril 2011 00:27

    Pourquoi le cumul des mandats en France ?

    “ La politique, un marché comme les autres où le cumul est une stratégie de placement à moyen et long terme”

     

    Le cumul des mandats ressemble à s’y méprendre à  une stratégie visant à contrôler le marché politique et par là même à réduire la concurrence en empêchant des adversaires potentiels ou déclarés de saisir d’opportunités et de « tremplins ».

    Le cumul peut donc être considéré comme une ressource dont il est possible de tirer aussi bien des profits à court terme mais sutout dans le long terme.

    Il importe donc  d’immobiliser ces actifs afin que les concurrents ne puissent bénéficier des rentes de situation que ces actifs peuvent engender.

     

    Une logique de retour sur investissement digne d’un courtier

    Le cumul des mandats procure un certain nombre de gratifications

    o Matérielles (le cumul des indemnités),

    o Symboliques (prestige personnel),

    Le cumul est créateur de privilèges sociaux et de prestige personnel mais ces ressources ne sont probablement pas le moteur des ambitions politiques de nos élus, le gain politique semble plus directeur dans cette stratégie d’investissement.

     o Politiques (la popularité du cumulard est une véritable ressource pour son élection ou sa réélection, elle écarte les concurrents potentiels), en effet dans tous les scrutins, il existe une « prime au cumulard » comme il existe une « prime au sortant ».

    Le pourcentage de candidats élus est toujours plus élevé chez ceux qui cumulent.

    Pourquoi ?

    Le scrutin majoritaire est un mode de scrutin qui permet comme au jeu de rafler la mise.

    Il est en vigueur pour les élections législatives – cantonales, il le sera bientôt pour les conseillers territoriaux (2014) mais aussi, en partie, pour les élections municipales (qui sont régies par un système majoritaire à deux tours corrigé depuis 1992 par une certaine dose de représentation proportionnelle).

    Le suffrage indirect, utilisé pour élections sénatoriales, assure, quant à lui, un avantage aux conseillers généraux et aux maires puisque ceux-ci sont largement représentés chez les grands électeurs.

     

    o Fonctionnelles (le cumulant exerce un pouvoir en réseau qui lui permet de maîtriser et d’articuler l’échelon local et l’échelon national).

     

    Une logique de placement digne d’un professionnel de la banque

    Le cumul diversifie les mises, « ne pas mettre ses œufs dans le même panier. »

    o Il permet de se prémunir, lors d’une défaite éventuelle d’un des mandats d’être exclu de la scène politique ( Répartition des risques !).

    o Le cumul en multipliant les implantations et les investissements institutionnels, autorise une meilleure résistance aux vicissitudes de la conjoncture politique et de garder un actif dans la politique.

    En effet, 1 seul mandat fait prendre tous les risques, si défaite il y a,  la perte est sèche car le politique perd l’accès au réseau. Réseau permettant d’obtenir services, soutiens, subventions, notoriété. Son crédit est perdu, il n’a plus de ligne pour investir, il est donc out et exclu du jeu.

    Une stratégie d’implantation digne des plus grandes entreprises

    Le cumul permet de maitriser le marché politique

    o Détenir un mandat national et local et pourquoi pas d’une communauté de commune fait de l’élu cumulant le représentant d’une communauté locale et le représentant de la nation tout entière.

    o Il s’assure alors de la maîtrise du terrain, il l’occupe, détient l’information, les cordons de la bourse, capitalise sa sphère d’influence, le marché politique une fois ficelé, il écarte la concurrence de ses adversaires politiques, voire, à l’occasion, celle de ses amis. En claire il « occupe le terrain ».

    o Cette situation personnelle sur le terrain politique se double d’une influence forte dans la sphère d’appartenance politique à laquelle il appartient : quand un parti choisi ses candidats, les instances partisanes sont bien conscientes de l’« avantage » sur le terrain que détient celui qui cumule. Ses chances de succès sont accrues. Sans compter que l’intéressé dispose aussi souvent d’une position dominante dans l’appareil local du parti.

    Une stratégie qui offre une situation de quasi monopole

     

    Le cumul permet d’articuler l’échelon local et l’échelon national

    o  le cumul présente de sérieux avantages fonctionnels, il donne à l’exercice des mandats un maximum d’efficacité.

    o   

    oLe cumul offre aux élus nationaux la possibilité de garder le contact avec les réalités quotidiennes auxquelles sont confrontés les citoyens en même temps qu’ils traitent des grands problèmes du pays au nom de l’intérêt général.

    o   L’intérêt porté à la gestion de proximité n’a sans doute jamais été aussi prononcé que dans la société actuelle.

    L’élu qui cumule est à la fois l’interlocuteur privilégié des administrations locales et nationales , il assure entre ces deux échelons une communication directe, sans devoir recourir à des relais politiques ou à des intermédiaires administratifs.

    Enfin, la détention de plusieurs mandats élargit le cercle de relations de l’élu cumulant et dans un contexte de clientélisme, ce cercle lui permet d’exercer véritablement un "pouvoir en réseau.

     

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  • mouvement démocrate cluny mouvement démocrate cluny 5 avril 2011 21:55

    Il n’y a plus de cercles vertueux ... L’urgence d’un autre paradigme

    2001 – 2011 … 10 ans sans rien comprendre, certains craignent l’avenir et font de la résistance, d’autres laissent faire et se font embarquer, d’autres attendent demain et se frottent les mains mais personnes ne changent de paradigme…

    En effet, nos modèles personnels et institutionnels qui répondent aux évènements sont les mêmes… Même déclinaison, même conjugaison, même mot, même locution pour expliciter et interpréter un monde incertain et fluctuant, un monde dans la tempête, un monde où tout reste surement  à écrire.

    Un monde que l’on peut changer en ouvrant simplement notre tête au lieu de nous la prendre. N’avons nous pas fait l’expérience en physique quantique que nous pouvons changer les choses simplement en les regardant, imaginez un peu, si tous, dans notre quotidien, nous les regardions différemment !

     Quel saut pourrions nous faire, au cœur de la matière, dans l’infiniment grand.

    La fréquence du monde change, la terre, les planètes, les astres et, peut-être l’univers se constellent pour nous intimer de changer tout simplement de bande FM, pour entendre ce que la terre veut nous dire, et peut-être, ce que nous nous disons, TOUS, dans le silence de nos nuits.

    2001, un certain 11 septembre, 2 tours s’effondrent sur elle même pour nous parler d’implosion. Nos créations s’entremêlent par la main de l’Homme pris de folie, elles s’épousent et se désagrègent sous nos yeux effarés, l’ouest est désarçonné, ses fondements par le symbole, de 2 tours jumelles, se sont désagrégés.

    Des hommes sautent par les fenêtres, l’horreur de ce geste est un testament que nous lèguent ces hommes épris de vie et d’oxygène, leur saut de l’ange nous parle de basculement.  

    Le monde spectateur en réseau, multiplie l’onde de choc, les consciences se font jour, les têtes se redressent et aspirent à se relier mais pour reprendre les forces en présence, certains voyant que cet événement ouvre les portes d’autres champs, préfèrent jouer de la dualité pour réduire la multiplicité des hommes conscients, pour peu que cela fasse tâche d’huile à défaut de pétrole !

    Ils arment la guerre, referment le sac sur nos consciences bien emballées.

    Le lien est facile à trouver, il suffit d’un lacet fédérateur, rien de tel que la démocratie que l’on impose par la force et qui en impose à nos consciences.

    Pour finir on  étrangle la vérité en faisant des mensonges à la face du monde, l’ONU servant d’alibi pour parfaire la mise en boite, le tour est joué, les tours sont tombées pour rien..

    Depuis nous sommes embourbés dans les marécages du non sens, pris dans les sables mouvants, nous nous débattons pour en sortir, sans plus de repère, sans sol solide pour prendre pied car tout s’est effondré par le mensonge éhonté, la confiance qui tenait le système n’est plus d’actualité, l’emballement en est le produit, l’enlisement la conséquence...

    2004, en décembre, la table est dressée pour les fêtes de fin d’année, tremblement odieux mais nous l’espérons naturel, la mer se déchaine, 350000 destins liés, effroyable cataclysme rasant les rivages les moins protégés, les plus exposés…

    Solidarité comme jamais, le monde pleure sur l’océan indien mais encore une fois, l’argent donné n’a pas réparé, capitalisé par chacun, il a été ruiné par les requins de la finance qui sur les rives a eu pourtant de quoi se restaurer.

    2008, poisons toxiques dans la finance qui conduisent le système financier à l’effondrement, les pays sont intoxiqués, le mensonge à droit de cité, les peuples se meurent, ils n’ont plus confiance, l’espoir s’il ne nourrit pas le ventre peut parfois remplacer le blé mais la machine à lever est aujourd’hui bien grippée… Le pain manque et le blé ne fait plus d’épi, la table se vide et les insurgés la renverse, plus de table de négociation car trop de négoce qui nous phagocyte …

    2011, nous voici au japon, onde de choc à répétition, par les 4 éléments la terre nous a parlé, TEPCO en est le média involontaire mais complice, instrument du destin, cette compagnie permet à des produits toxiques, radioactifs de contaminer l’environnement. Cette situation illustre la soumission complice aux lois du système, système qui s’est effondré et qui par voie de conséquence à privilégier le profit avant la sécurité, l’argent avant les hommes, inversion des priorités du capitalisme qui par la crise s’est dérégulé.

    Le poison incolore, inodore inonde le japon, rendant ce pays invivable pour des générations, la distance nous donne un peu de répit mais à chaque passage le poison, par l’eau et l’air, s’infiltre dans notre terre pour s’insinuer au cœur de notre système.

    Il n’y a plus de cercle vertueux mais que des hommes qui aspirent à la vertu d’un autre système mais lequel, jamais sur une si grande échelle, il n’a été institué…

    Les pays du Moyen Orient nous en montre l’exemple, ils se débattent avec de faibles armes mais avec le courage de ceux qui ne possédant rien, mettent en gage le seul bien qu’ils ont encore, la liberté d’être bien, est-il un hasard que ceci se passe sous notre regard, espérons que cette aspiration ne soit pas reprise par ceux qui dans l’ombre resserre leur filet pour que la force ainsi déployée serve leurs desseins bien cachés.

     

    Aujourd’hui, 205 centrales nucléaires civiles composées de 442 réacteurs sont installés dans le monde, ils engagent le monde pour des milliers d’année, les démantelées sur l’heure c’est aboutir à ne rien faire, les laisser et ne rien faire c’est finir empoisonné alors que faire, peut-être en finir d’avoir peur et face à l’immuable monstre, créer pour nous servir, prendre en main notre destin ; Oser sortir des sentiers convenus, oser regarder la fin pour inventer un début.

    Demander à nos gouvernants de la planète de se réunir non point pour faire la guerre mais pour oser inventer la paix.

     Répertorier  pour une fois tout ce qui est bien, ce qui marche, les avancées humaines, politiques, sociales, technologiques, scientifiques, économiques, alternatifs afin d’inventer une société qui réconcilierait le carré et le cercle, une société qui  reposerait sur le développement de l’intelligence humaine, animale, végétale, minérale, spatiale … Définir les clefs de l’adaptation à long terme afin de pouvoir inventer une nouvelle gouvernance mondiale pour les risques majeurs.

    Le nucléaire est le symbole de notre défi, comme toutes autres sources d’énergie, hydraulique, charbon, gaz ou autres, le nucléaire nécessite une centralisation, un réseau de distribution et des moyens lourds exigeant une société stable, hiérarchisée, rigide, société qui par définition est surement incompatible avec l’évolution à moyen terme de l’espèce humaine, et de l’univers.

    Le Nucléaire nous inscrit dans le temps, il défi notre espace et met au défi notre entendement, car cette société rigide qui nous a lancé dans le nucléaire est en elle même un obstacle à l’adaptation nécessaire en cas de crise grave, de ruptures à plusieurs niveaux, c’est donc autrement que nous devons envisager notre 21 ème siècle !

    http://www.mouvement-democrate-cluny.com/



  • mouvement démocrate cluny mouvement démocrate cluny 23 mars 2011 21:00

    23 Mars 2011 Front républicain « Aux larmes citoyens ! »

    Le front républicain ne règle rien et pourtant il faut y adhérer car nous devons faire « Fi des affrontements »

    Faire résistance ou laisser faire sont les symptômes d’une perte de repères des citoyens, des électeurs, des inscrits, des politiques et des médias, ils témoignent d’une grande fébrilité qui nous met en suractivité sans que rien ne change mais aussi d’une sorte de mauvaise conscience, celle qui nous guette quand nous nous accommodons du pire espérant que notre quotidien et nos fondements n’en seront pas touchés.

    Dans ce débat, nous laissons le champ libre du côté de chez Marine alors que nous nous déchirons dans un champ médiatique où il n’y a plus grand chose à dévorer.

    Ce jeu laisse brouter et récolter des voix à celui qui ne s’en mêle pas, on discute encore du sexe des anges alors que nous avons tué Dieu !

    Nous nous battons sur le front alors qu’il nous faudrait regarder l’état du terrain et le moral des troupes.

    En 14/18, les guerres de tranchées n’ont fait gagner personnes et tuer tout le monde, un charnier qui a ouvert la brèche de 1933 et dans laquelle, à notre corps défendant, nous nous sommes tous engouffrés.

     Nous parlons de front républicain alors que les valeurs de la République gravées au fronton de nos Institutions enseignent que celui qui peut encore relever la tête.

    Ces valeurs, de Liberté – Egalité - Fraternité à force d’être trop hautes, trop loin, insérées sur des murs de pierre abritent que les oiseaux « républicains » qui en tissent leur nid.

    Ces valeurs, à force de ne figurer que sur des commandements à payer, des impôts trop peu expliqués et si peu justes, des informations administratives contraignantes, nous invitent à les regarder en espérant ne pas les voir tapisser nos boites aux lettres

    Le quotidien de notre société s’acharne sur le plus grand nombre : libéralisme, mondialisme, catastrophisme sont les mentors de notre époque, ils nous privent du temps, de l’espace et de la distance nécessaire pour participer à cette œuvre commune.

    La République nous en parlons comme allant de soi mais c’est un exercice qu’il ne suffit pas d’inscrire au cœur de nos Lois et nos Institutions pour qu’elle prenne sens. C’est dans le cœur des hommes et des femmes que la Liberté, l’Egalité doivent circuler pour nourrir et raviver le corps de notre société déroutée, désolidarisée.

    Liberté – Egalité – fraternité « un hiéroglyphe toujours en attente de son Champollion »

    C’est un cri lancé au cœur de la Révolution, un rais de lumière venant éclairer à jamais nos institutions mais, comme un train peut en cacher un autre, c’était tout un programme, une victoire sur l’obscurité comme une pierre dressée.

    Messieurs les hommes au pouvoir où ceux qui concourent pour le gagner, on a beau être « garde barrière »,  vertu de ceux qui fixent le sens et s’érigent en commandeur , la République est un TGV qui passe, à vive allure, sans que l’on discerne vraiment les passagers.

    Dans ce Train à Grande Vitesse, il y a tout un monde qui se croise et s’entrecroise, formant,

    . Une trame idéologique qui permit, à son heure, de déstabiliser le trône et l’autel,

    . Un socle qui favorisa la création de sociétés démocratiques

    . Et une incitation à sortir du théâtre social.

    Autrement dit, pour nos parlementaires, sortir du théâtre social, c’est laisser leurs effets de manche, leurs couteaux et scalpels, leurs manuels bien répertoriés, leurs pharmacopées en tout genre, leurs cris et leurs chuchotements une fois le mercredi passé, et ne pas croire que l’invocation répétée, avec force, cris et convictions,  donne forme à leurs désirs et leurs aspirations.

    Invocations, incantations n’ont jamais rien changé, analyser les entrailles du mouton permettait aux romains de connaître le sort de la bataille, les formules magiques, les sondages, les rapports et les analyses ne changeront rien au sort de la bataille.

    En effet, Le dire n’est pas le faire, messieurs il nous faut monter le chemin, il vous faut remédier aux désordres des pensées par des faits, des programmes et des mises en action afin que nous ne franchissions pas le Rubicon

    C’est comme pour une phrase, elle s’enclenche par le verbe, et le verbe d’action, reste à trouver pour que chacun traverse cette « muraille de signes » et fasse sien au quotidien les valeurs de la république.

    Liberté – Egalité - Fraternité « 3 femmes parties à l’assaut de la fatalité et de la destinée. »

    Liberté – Egalité - Fraternité, voici 3 mots que le monde a juxtaposés, les deux premiers se sont opposés et pour s’inscrire dans la réalité ont fait couler le sang de ceux qu’ils devaient sauver.

    Le troisième, c’est une autre histoire, pas de meneur pour l’imposer, seuls de l’encre et du papier…

    Philosopher sur la fraternité, c’est ce que nous avons fait dans nos sociétés démocratiques , sans jamais l’inscrire vraiment dans la réalité, nous l’avons « totémisée » et aujourd’hui il est bien difficile de la cerner.

    En effet, le tronc de l’arbre, est aujourd’hui si large de nos cercles concentriques et la sève si peu visible que c’est pour faire simple que l’on parle plus de solidarité que de Fraternité !

     Il ne faut pas trop en demander ! Mais la solidarité n’est pas la fraternité … Comme la charité n’est pas la compassion, l’une débouche sur les affinités et l’autre se déploie à l’humanité.

     

    Ces 3 mots n’ont apparemment aucune relation de cause à effet, ils ont pris forme à force de répétition mais aujourd’hui font-ils vraiment corps dans notre société ?

    C’est à deux, comme de sœurs de lait, que Liberté et Egalité, sont parties, sous la révolution de 1789, à l’assaut de la fatalité et de la destinée.

    Fatalité et destinée, des maîtres mots trop souvent mis en « onguent » sur les plaies de ceux, qui dans les sociétés, n’étaient pas bien nés, en sommes nous bien éloignés.

    Puis en 1848, la Fraternité, portée par ce deuxième élan révolutionnaire, est venue renforcer ces 2 colonnes, érigées, au fronton de nos sociétés, sans pour autant, dans les faits, les équilibrer.

    Depuis, ces valeurs se sont hissées sur les drapeaux…

    Imprimées sur les en-têtes, elles nous rappellent à nos devoirs en nous éclairant sur nos droits, nous les rencontrons souvent à la croisée de nos vies, sur les frontons, sur les parvis,

    Elles jalonnent les bons moments et ceux plus difficiles, mais jamais elles ne sont invoquées, seul nous les nommons lorsqu’il faut faire front, la Marseillaise se donne à chanter mais sur les stades elle est difficilement articulée !

    Aujourd’hui, elles s’érigent en front sans faire front !

    La République, aujourd’hui et par voie de conséquence, le mot « républicain » dans son acceptation modérato, qualifie toutes personnes, institution, formations politiques, respectant les règles de la République et le jeu des élections qui en est l’expression.

    Au sens fort, il désigne un parti, une vie politique, des institutions mettant la barre haute mais nécessaire, de respecter en esprit, en principe, en mot et en action les règles instituées par la République.

    L’air ne suffit pas il faut la musique et l’orchestration.

    Respecter la première acceptation, la plus faible lorsque l’on cherche la sacralisation par les urnes est donc chose aisée mais le deuxième sens est plus difficile à coller sur des termes de campagne qui portent le sens de xénophobie, d’antisémitisme, de racisme et d’anti TOUT.

    Le Front républicain pour ériger une barrière, oui, mais nous devons, dés à présent, travailler à ce que la Liberté – l’Egalité – Fraternité redevienne le socle de notre vie en société.

    Il n’est pas besoin de revenir en arrière et sortir les vieilles recettes, c’est un monde nouveau qui est en train de naître, un monde sans église et sans intercesseurs référencés, c’est un monde où l’homme se relie sur la toile pour créer des fraternités sur tout et rien mais il aspire à se relier, c’est un monde où les jeunes oublient de manger pour dialoguer, comme autrefois nous le faisions, sur le zinc du café, c’est un temps où beaucoup travaille à se changer, cherche à sortir des temps difficiles pour aller dans la durée, engendre des formes nouvelles de vie en société.

    C’est dans l’espace que génèrent nos lois, l’espace dont vous avez la responsabilité que nous vous demandons de vous consacrer entièrement, équitablement pour que la grégarité refuge de toutes les peurs ne nous désolidarisent pas au point de perdre notre humanité .

    Réinitialiser et promouvoir les valeurs au cœur de nos cités, au cœur des Hommes de bonne volonté, votre responsabilité pour que demain nous enclenchions cette société à laquelle nos anciens républicains rêvaient sans toujours vouloir l’avouer.

    Sinon aux larmes citoyens

     

    Nathalie SIMON

    Le 23 mars 2012


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