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lucille

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  • Premier article le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • lucille lucille 5 juin 2013 21:36

    Alinea,

    aucun code ici, juste une réponse en poésie...

    .
    Plus c’est petit Musset et plus l’idée est grande.

    .
    La réponse de Musset est controversée,
    et bien légère est l’acrostiche en vérité.

    Cette lettre a peut-être jouée un rôle
    dans l’émancipation de la femme.

    Pied de nez un peu osé presque drôle,
    le code est sournois car aisé de la Dame.

    Il en reste une douce caresse face aux drames,
    un brin d’humour ardemment flammé, un grain de Sand.



  • lucille lucille 5 juin 2013 19:04

    Oui, c’est une lettre codée, je vous laisse découvrir son histoire.

    Vous n’êtes vulgaire en rien Alinea, je ne voulais pas donner ce sentiment la,
    c’est tout l’inverse. Vous dénoncez une certaine vulgarité à laquelle je m’accorde, mais ce courrier me rappelle aussi à son propos.
    J’ai cité votre première phrase, imaginant simplement que Goerges Sand ait pu se dire cela en « publiant » ce texte.



  • lucille lucille 5 juin 2013 18:29

    Bonjour Alinea, sujet sérieux, avis tendance... Je me permets de vous citer une lettre dont vous avez certainement eu connaissance. Ne me voulant aucunement moraliste, un parallèle avec l’ensemble de votre sujet (féminisme, art, sexualité, « festivités » et surtout liberté) peut se faire en la personne de Goerges Sand et de ce courrier, dont je vous passerai l’historique) :

    Cher ami,

    Je suis très émue de vous dire que j’ai
    bien compris l’autre soir que vous aviez
    toujours une envie folle de me faire
    danser. Je garde le souvenir de votre
    baiser et je voudrais que ce soit
    là une preuve que je puisse être aimée
    par vous. Je suis prête à vous montrer mon
    affection toute désintéressée et sans cal-
    cul, si vous voulez me voir aussi
    vous dévoiler sans artifice mon âme
    toute nue, venez me faire une visite.
    Nous causerons entre amis, franchement.
    Je vous prouverai que je suis la femme
    sincère, capable de vous offrir l’affection
    la plus profonde comme la plus étroite
    en amitié, en un mot la meilleure preuve
    dont vous puissiez rêver, puisque votre
    âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha-
    bite est bien longue, bien dure et souvent
    difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme
    grosse. Accourez donc vite et venez me la
    faire oublier par l’amour où je veux me
    mettre.

    .
    Bien évidemment, vous aurez noter que le message n’est pas là, ni ailleurs, il est juste avant, c’est le message à donner avant d’écrire, quelque soit l’écrit (roman, article, enfantin, jeux, contrainte, commentaire, etc..., poésie) :

    « Juste laisser voguer les mots sur la crête de mes pensées... »

    Cette une lettre légère, une amusette et pourtant je la trouve un peu vulgaire,

    « c’est une boutade bien sûr car rien de ce que je dirai là ne plaira » ?



  • lucille lucille 3 juin 2013 19:37

    L’enfoiré,

    merci pour le lien, je vais lire avec attention me laissant ce temps d’un thé, je me réveille tout juste la nuit fut dense. Je prends conseille de votre recommandation, j’essaye d’en faire un article mais je suis également sur un poème, un chant lyrique bourré d’humour et sans mystère. Je bois un thé et je m’y affaire scolairement, sans col au pull à découvert puisque nous cousons un tailleur à Pierre, une cravate aux notes errantes s’il le vaut, tant qu’on reste sur la portée,
    mon thé est prêt, à tout à l’heure
    Lucille.



  • lucille lucille 2 juin 2013 16:26

    « Z’auriez pas une tite pièce pour l’musicien ?

    T’es gentil bonhomme remballe ton chagrin ! »

    .
    C’est tout c’qui me restait pour m’évader un brin,

    pour sauver ma princesse au joli teint ukrainien.
    .

    On sauta un temps puis on s’ôtera un temps et on sautera un temps,

    ce s’ra la valise à 7 temps la valsine à chevet,

    qui a séché ses larmouilles et qui s’en va au quai...

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