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Lucchesi Jacques

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Tableau de bord

  • Premier article le 02/10/2014
  • Modérateur depuis le 16/02/2015
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Derniers commentaires



  • Lucchesi Jacques 10 avril 2020 18:48

    Comme exégète, Séraphin, vous êtes encore plus fort qu’Alain Rey. 



  • Lucchesi Jacques 10 avril 2020 18:45

    On ne peut mieux dire, Rogal.



  • Lucchesi Jacques 8 janvier 2020 14:35

    Colibri, je ne suis pas d’accord avec vos arguments et vous n’êtes pas d’accord avec les miens. Aussi cessons cette discussion.



  • Lucchesi Jacques 7 janvier 2020 20:11

    @colibri : Vous avez raison quand vous dites que le pervers n’est pas une brute. Entre Gabriel Matzneff et Marc Dutroux, il y a quand même une différence considérable. Mais il me semble que vous avez une idée du pervers un peu trop essentialisée. Qui est pervers, qui est normal ? C’est assez flou. Parce que ces catégories se définissent par rapport à une norme. Pour moi, le pervers est d’abord quelqu’un qui a un rapport transgressif à la loi.

    C’est aussi, vous en conviendrez j’espère, en rapport avec le seuil de tolérance défini par une époque, plus haut ou plus bas comme en ce moment. A l’extrême, ce sont les rapports de séduction dans leur ensemble qui seront condamnés, puisqu’ils supposent toujours qu’un des deux cherche à influencer l’autre à des fins de profit personnel. 
    Ainsi, de la même façon que la société fabrique ses fous (selon le courant anti-psychiatrique), je crois que la société actuelle fabrique ses pervers et leurs victimes  l’un ne va pas sans l’autre  par un excès de surveillance et de discours médical. Les mots, ici, produisent des maux. Est-ce que toute relation entre un adulte et un adolescent doit générer forcément du traumatisme pour le plus jeune ? Ce n’est pas aussi certain qu’on veut nous le faire croire. Seulement si on ne cesse de traquer les supposés pervers, si on cherche un viol derrière le moindre symptôme dépressif, alors, bien sûr, on va créer une sorte de traumatisme rétroactif. Et surtout, on clôt ainsi toute recherche plus approfondie de soi, puisqu’on tient la preuve et la cause du mal-être. Comprenez-vous l’importance de la parole  la parole officielle  dans tout cela ?
    A ce stade de la discussion, je tiens quand même à préciser que je ne suis pas amateur de « fruits verts » et que je ne suis pas, non plus, l’avocat de monsieur Matzneff  je ne suis même pas un de ses lecteurs. Mais, au sens propre comme au sens figuré, je n’aime pas qu’on s’acharne sur un homme à terre.Je ne vous cacherai pas non plus que j’ai un peu de nostalgie pour les années 70, plus permissives, plus bariolées que les années 2010. Et c’est normal puisque j’ai eu 20 ans au cours de cette fameuse décennie des Seventies. J L
     



  • Lucchesi Jacques 6 janvier 2020 19:03

    A tous ceux qui me font l’honneur de lire et de commenter mon article, je voudrais quand même leur dire de me lire plus attentivement et jusqu’au bout. Pas de me faire dire, avec des extraits, ce que je n’ai pas dit (que vient ici faire Jean Moulin, par exemple ?). Agora Vox me semble être un espace de liberté où l’on peut aller à contre-courant de l’opinion dominante et cela, par les temps actuels, est précieux. Je pensais trouver ici davantage d’esprits libres. Or, à l’exception de deux commentaires, je découvre des réactions d’un conformisme affligeant, sinon inquiétant. Vous hurlez avec les loups et c’est justement une attitude que je déplore et réfute, parce qu’elle est profondément anti-intellectuelle.

    Au contraire, une approche plus rationnelle, plus éclairée, plus généreuse, implique de ne pas prendre pour argent comptant tous les discours accusateurs du moment. Il faut dénoncer, à mon avis, les abus de langage et les amalgames faciles, interroger les interdits actuels pour essayer de les comprendre dans la durée. Bref, relativiser et introduire de la nuance dans ce fatras verbeux. Dans l’affaire Matzneff-Springora, on peut sans doute parler de détournement de mineur(e), mais pas de pédophilie stricto-sensu ; car chacun sait qu’une fille de 14 ans n’est plus une enfant. D’une manière générale, tout ce qui relève des moeurs est affaire de construction théorique et d’interprétation. Et on peut, bien sûr, déconstruire ce qui a été construit.

    Izarn me demande très justement : à qui profite le crime ? Je me sens en mesure de lui répondre : à une nouvelle élite qui, pour imposer ses valeurs , doit éliminer l’ancienne, celle qu’incarnaient Matzneff, Polanski et consort. Et, comme par hasard, ce sont tous des hommes occidentaux  des individus de sexe masculin, hétérosexuels ou pas, censés être des dominants  qui se retrouvent aujourd’hui cloués au pilori. Comprend qui peu. J L

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