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lloreen

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  • lloreen 23 janvier 2011 17:15

    mr rakosky
    merci pour la confidence !C’est primordial d’avoir des racines.Si l’on coupe les racines d’un arbre, il meurt.« Couper les racines à un être humain c’est le condamner à une mort douce » (proverbe cheyenne).



  • lloreen 23 janvier 2011 17:08

    à kitamissa
    Vous proposez quoi de constructif ?



  • lloreen 23 janvier 2011 17:07

    à titi
    Vous vous gaussez sur mon sens de la mesure...Soit.
    J’aime la liberté et je suis de nature entière.Voir que les Français râlent pour tout mais ne font pas grand chose pour que ça change, attendent l’homme ou la femme « providentiels », critiquent les uns et les autres sans que cela soit constructif pour un sou.Et quand une citoyenne se réjouit avec un peuple de la chute de son tyran il se trouve un rabat-joie qui lui conteste le simple droit à s’exprimer.Curieuse conception de la liberté de parole.



  • lloreen 23 janvier 2011 16:54

    bonjour gimo
    Je comprends votre exaspération.Ne croyez pas que je ne lise pas vos interventions et fondamentalement je suis pour la liberté et la justice.Ce sont des droits inaliénables.
    La grande tromperie (comme toujours) est d’utiliser une dénomination « fourre-tout », ici celui de
    fonctionnaires alors que ce nom regroupe plusieurs réalités.
    Mais : il y a « fonctionnaire et fonctionnaire »...On ne mélange pas les torchons et les serviettes là non plus comme nulle part ailleurs.
    En effet ,Gimo, il y a les « sous-fonctionnaires » ceux dont le salaire commence à 1200 pour « grimper » jusqu’à 1500 euros après une carrière complète que beaucoup n’atteignent que s’ils sont rentrés à 18 ans dans la fonction publique ce qui n’est souvent pas la majorité en raison de la diversité des parcours particuliers-les aléas de la vie-, puis ceux qui commencent avec 1600 et « grimpent » à 2600 ou à 3800 en fin de carrière ou plus.Il faudrait consulter les chiffres exacts pour avoir une idée.C’est en fonction des diplômes.
    Bien sûr il faut savoir que les brillants gestionnaires du « pactole » ont changé les règles et les carrières sont de plus en plus trainées en longueur ce qui permet de payer moins et donc d’économiser sur le montant de la retraite.
    Naturellement, si l’on veut une fois encore opposer privé et fonction publique il s’en trouvera toujours pour dire la même chose:ils ont la garantie de l’emploi.Ils n’ont pas tort mais comme je le dis, s’il est établi que notre « modèle » de société doit reposer sur le travail...la logique veut que tout le monde ait l’assurance d’en avoir un.
    Sans m’étendre sur l’illogisme fondamental du brillant postulat :tout le monde doit bosser mais tout le monde n’a pas de travail...il faut déjà être stupide pour croire encore que nous sommes dans une société.Une jungle humaine serait une définition plus proche de la réalité.Je me suis un peu égarée dans ma démonstration.
    Gimo vous avez raison.A côté du bataillon des fonctionnaires « basiques » il y a ceux dont vous parlez qui s’allouent des salaires comme ceux que vous évoquez et qui fort conséquemment portent le titre de HAUT fonctionnaire et ont en rapport avec leur HAUTE fonction droit à des HAUTS salaires.A naturellement distinguer de la piétaille fonctionnaire laborieuse.Ceci dit sans aucun mépris pour quiconque.
    Là encore, l’erreur fatidique est de s’opposer aux laborieux, qu’ils soient du privé ou du public.Bien sûr il y a des abus comme partout mais personne n’a jamais dit que rien ne pouvait être amélioré.
    Alors Gimo je partage votre avis.Ces gens sont l’incarnation du scandale qui consiste à décider que ce qui est bien pour eux ne l’est pas pour les autres.C’est cela la nature du problème.Les personnes ne doivent pas être la cible des attaques mais le système qu’elles mettent en place avec des avantages indus, véritable escroquerie. Ces gens sont l’exception, pas la règle.
    Si l’on veut une société juste il faut déjà que chacun puisse travailler, que chacun ait un salaire décent et qu’avant tout cette société soit basée sur l’intérêt et le bien commun.C’est un minimum au XXIième siècle.Il faut s’opposer à un système parasitaire dont chacun mesure bien le vice.



  • lloreen 23 janvier 2011 15:42

    Si le peuple tunisien veut vraiment être le gagnant de cette révolution il faut qu’il se réapproprie le libre arbitre et sa responsabilité.
    Je n’aime pas les termes grandiloquents qui servent à « noyer le poisson ».
    C’est tout simplement le droit reconnu à chacun de s’exprimer et SURTOUT celui d’être ENTENDU et RESPECTE.
    N’ acceptez aucun parti qui refuse cette liberté fondamentale .Cela devrait être votre EXIGENCE.
    Vous avez démontré au monde entier qu’un peuple uni fait s’écrouler n’importe quel tyran.
    Tout le monde sait que nulle part il n’existe de véritable démocratie mais plutôt des systèmes détournés au profit d’une oligarchie plus ou moins « discrète » sous la trompeuse apparence de la démocratie.Il faut vous donner les véritables instruments que personne ne puisse pas ruse, opportunisme ou calcul s’approprier en votre nom, d’ institutions que vous créerez..
    L’occasion fait le larron.Identifiez les larrons et que cette unique occasion soit le moyen pour le peuple tunisien de s’ériger en un peuple véritablement libre.
    Fuyez les faux-amis et les hypocrites, ceux qui vous promettront sous la fausse apparence de l’amitié, de l’« d’aide » humanitaire (ingérence), de « l’aide » au développement (le leur en fin de compte)et « d’aides » diverses et variées« (conflits d’intérêts).Pour eux ce n’est qu’une façon de se remettre un pied dans l’étrier du cheval qu’il vous offriront dans le but de pouvoir en fin de compte pouvoir participer à la course parce qu’ils vous auront fait »cadeau" du cheval...
    Exigez qu’il soit tenu compte dans l’élaboration d’une charte de la notion du bien commun de façon à vous opposer de façon indiscutable à ceux qui défendent l’intérêt personnel.C’est primordial.
    Surtout faites en sorte que le citoyen soit en dernier recours toujours celui qui conservera le pouvoir décisionnel.Sinon vous abdiquerez votre droit sacré : celui d’être responsable et libre.

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