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ilias

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  • Premier article le 15/05/2008
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Derniers commentaires



  • ilias 4 juin 19:07

    Macron est un politicard morveux, plein d’arrivisme, d’arrogance et de prétention tout en étant immatured’esprit tout comme son alter ego Attal, beaucoup plus Premier ministre incompétent qui s’accepte et s’assume ainsi que chef du gouvernement ; et un morveux ça ose lâchement beaucoup plus pour le pire et beaucoup moins pour le mieux.

    Le contexte politique : une légitimité contestée et de plus en plus érodée

    Emmanuel Macron a été élu deux fois par défaut : Une première fois, suite au lâchage pour affaires judiciaires du candidat qui était le favori prépondérant du scrutin, F. Fillon en 2017, et une deuxième fois sur scenario voulu et concocté dès 2020 pour qu’il soit candidat face à l’extrême droite qu’il a lui-même promue pour barrer la route à Mélenchon aux présidentielles de 2022. En 2017 alors qu’il a été élu sur la promesse de renouveler la politique française et de revitaliser l’Europe, il se trouve aujourd’hui confronté à une impasse politique. Méritant la qualification de « pseudo-chef de l’État belliciste », parce qu’il ignore les réalités des domaines qu’il tente de maîtriser, notamment les questions diplomatiques et militaires. On est à même de souligner l’incongruité entre ses ambitions initiales et les résultats concrets de ses politiques, tant en France qu’à l’international.

    I.] Premier mandat (2017-2022) : L’espoir du renouveau et les premières désillusions

    Lors de son élection en 2017, Macron était perçu comme un outsider capable de bousculer le système politique traditionnel français. Son mouvement, La République En Marche, promettait de transcender les divisions partisanes et d’apporter des réformes économiques et sociales majeures.

    1. Réformes économiques et sociales

    Macron a entrepris plusieurs réformes controversées, notamment celles du Code du travail et du système des retraites. Ces réformes resituées dans leur contexte éco-systémique et//ou holistique étaient injustes, et ont suscité de vives oppositions et manifestationsdiverses et nombreuses, comme celles du mouvement des Gilets Jaune ; lequel a révélé un profond malaise social et une colère envers les “fausses”élites ou les simulacres d’élites.

    2. Gestion de la crise des Gilets Jaunes

    Le mouvement des Gilets Jaunes, débuté en 2018, a marqué un tournant dans la présidence de Macron. La réponse brutale du gouvernement, perçue tout à la fois comme répressive et condescendante, a exacerbé les tensions. La crise a mis en lumière les inégalités sociales et les fractures territoriales, remettant en question l’image d’un président à l’écoute du peuple.

    3. Politique européenne

     Macron s’est positionné comme un fervent défenseur de l’intégration européenne. Ses discours en faveur d’une Europe plus intégrée et souveraine ont cependant souvent buté sur la réalité des divergences entre États membres et la montée des euro-scepticismes.

    II.] Deuxième mandat (2022-présent) : Les défis internationaux et l’impasse diplomatique

    Réélu en 2022, Macron a dû faire face à de nouveaux défis, amplifiés par les crises internationales en Ukraine et au proche-orient, les tensions croissantes avec la Russie et l’alignement aveugle de la france officielle sur les desiderata du puissant et maléfique lobby sioniste français soutenu par l’extrême droite arabophobe et islamophobe et de sa protégée l’entité sioniste terroriste génocidaire, dénommée Israel .

    1. La crise ukrainienne

    L’invasion de l’Ukraine par la Russie a placé Macron en première ligne des efforts diplomatiques européens. Ses tentatives de médiation et de soutien militaire à l’Ukraine ont été critiquées pour leur ambiguïté et leur inefficacité. Les accusations de bellicisme émanent de ses prises de position perçues comme provocatrices envers la Russie, et de sa volonté de soutenir Kiev par des moyens militaires, y compris des frappes possibles contre des cibles en Russie.

    2. Politique intérieure sous pression

    Sur le front intérieur, les défis économiques persistent. La gestion de la pandémie de COVID-19 et ses conséquences économiques ont exacerbé les inégalités. La dégradation de la notation financière de la France et la précarité croissante pèsent lourdement sur l’administration Macron, renforçant les critiques sur son incapacité à gérer les affaires économiques et sociales du pays.

    3. La guerre génocidaire d’Israël 

    Macron n’a cessé de soutenir “corps et âme”, et le plus souvent de manière irrationnelle et inhumaine par “instinct” d’esprit tribal, l’entité sioniste colonialiste génocidaire, qu’est l’Etat formellement et structurellement terroriste, appelée faussement et improprement Israël.

    4. Les élections européennes de 2024

    Les élections européennes s’annoncent comme un test crucial. Les sondages prévoient une défaite majeure pour le camp macroniste, reflétant une désillusion généralisée vis-à-vis de son leadership. La montée en puissance des partis nationalistes et populistes, y compris le Rassemblement National, témoigne de la défiance croissante envers les institutions et les politiques actuelles.

    5. L’isolement diplomatique et les tensions transatlantiques

    La politique étrangère de Macron s’est également heurtée à des frictions avec les alliés traditionnels de la France, notamment les États-Unis. La divergence sur les stratégies en Ukraine et la perception d’un manque de soutien de la part des Américains ont accentué l’isolement de Macron sur la scène internationale.

    Perspectives et scénarios futurs

    1. Vers un changement politique

    L’avenir politique de Macron semble incertain, avec des perspectives de changement drastique dans le paysage politique français. Les critiques sévères et la désaffection populaire laissent présager une recomposition politique, potentiellement marquée par la montée en puissance des partis d’opposition et une possible prise de pouvoir par des forces populistes plus proches des droites extrémistes.

    2. L’hypothèse d’une destitution

    Bien que spéculative, l’hypothèse d’une destitution de Macron sous une forme ou une autre très inattendue évoquée par certains analystes traduit le climat de tension extrême et de désillusion envers les institutions actuelles. Un tel scénario, bien que peu probable dans le contexte démocratique français, reflète les inquiétudes profondes quant à la stabilité politique et sociale du pays.

    3. Le tribunal de l’histoire

    Enfin, comme l’indique la métaphore du Tribunal de l’Histoire, les actions de Macron seront jugées à moyen et surtout à long terme. Les décisions prises aujourd’hui, qu’elles soient en matière de politique intérieure ou étrangère, auront des répercussions durables. 

    En somme, Les mandats présidentiels d’Emmanuel Macron, initialement porteurs d’espoir de renouveau, se trouvent aujourd’hui marqués par des critiques sévères et une profonde désillusion. Les accusations de bellicisme, les échecs perçus en matière de politique économique et sociale, et les tensions croissantes sur la scène internationale brossent le tableau d’une présidence en difficulté. L’avenir politique de la France semble incertain, marqué par des défis internes et externes de grande ampleur. La réponse à ces défis déterminera non seulement l’héritage de Macron, mais aussi la trajectoire future de la République française.



  • ilias 4 juin 14:08

    "Ce n’est pas le terrorisme qui est la cause d’un continent de plastique au milieu de l’océan, qui fait disparaitre des espèces animales et végétales, qui plonge des millions d’habitants dans la précarité la plus absolue, qui est responsable de la famine dans le monde. Non, nous connaissons les coupables, nous avons leurs noms et leurs adresses ! « dixit auteur. Et encore plus accablant : Ces Etats d’un occident en plein cycle de » dépravation" civilisationnelle et existentielle, sont eux-mêmes le terrorisme et les géniteurs du terrotisme, et ne peuvent que soutenir le plus abominable terrorisme struturel planifié et organisé de l’histoire humaine, qu’est l’entité sioniste terroriste à forme structurelle et formelle d’Etat sioniste soft théocratique et à attaches occidentalo-mondialistes, colonialiste génocidaire, appelée faussement et improprement Israel.



  • ilias 21 mai 23:40

    En lisant pour la première fois Alain Damasio, j’ai été immédiatement frappé par une réminiscence de De sang froid, le célèbre roman de Truman Capote.** Comme lui, Damasio utilise une forme d’ethnographie romancée pour explorer en profondeur son sujet.

    Comparaison avec Truman Capote

    Truman Capote et De sang-froid

    Truman Capote est reconnu pour son approche novatrice du journalisme littéraire, particulièrement illustrée dans son œuvre De sang-froid. Ce livre est souvent considéré comme un précurseur du roman non-fictionnel, genre qui mêle techniques de reportage journalistique et éléments romanesques. Capote a consacré plusieurs années à enquêter sur le meurtre de la famille Clutter dans le Kansas, s’immergeant dans la communauté locale et interviewant les protagonistes de l’affaire. Le résultat est une narration riche et détaillée qui donne vie aux événements réels avec une profondeur émotionnelle et psychologique.

    Alain Damasio et Vallée du Silicium

    De manière similaire, Alain Damasio adopte une approche immersive et narrative dans son ouvrage Vallée du Silicium. Bien que son œuvre ne soit pas centrée sur un fait divers particulier, elle partage l’intention d’explorer un phénomène complexe : en l’occurrence, la Silicon Valley et ses implications technologiques et sociales. Damasio combine des observations directes, des réflexions critiques et des éléments fictionnels pour créer une vision holistique et nuancée du monde technologique contemporain.

    Éléments d’ethnographie romancée chez Damasio

    • Immersion dans le sujet : Damasio arpente la Silicon Valley, s’imprégnant de ses réalités, des entreprises technologiques aux quartiers marqués par les problèmes sociaux. Comme Capote, il s’efforce de comprendre son sujet en profondeur, en tenant compte des différentes facettes et perspectives.

    • Narration détaillée et vivante : Ses récits sont riches en détails et descriptions vivantes, permettant au lecteur de ressentir l’atmosphère et les dynamiques de la Silicon Valley. Cette approche narrative confère une dimension romanesque à des analyses autrement techniques et abstraites.

    • Réflexion critique et humaniste : À l’instar de Capote qui n’hésite pas à insérer ses propres réflexions dans De sang-froid, Damasio propose une critique personnelle et philosophique des technologies modernes. Il questionne leur impact sur la société et sur l’individu, cherchant à dépasser une simple description pour offrir une vision critique et engagée.

    • Hybridité des genres : L’œuvre de Damasio, tout comme celle de Capote, brouille les frontières entre les genres. Vallée du Silicium n’est ni un essai académique strict ni une fiction pure, mais une hybridation qui permet d’explorer des questions complexes avec une grande liberté stylistique.

    Conclusion

    Alain Damasio, à travers Vallée du Silicium, s’inspire, à sa manière et en fonction des contextes, de la démarche d’immersion et de narration de Truman Capote, en utilisant une forme d’ethnographie romancée. Son style immersif et narratif, combiné à une réflexion critique et une richesse descriptive, lui permet d’aborder les enjeux technologiques contemporains avec une profondeur et une nuance rares. Cette approche rend son œuvre accessible et captivante, tout en fournissant une analyse pertinente et engagée des défis de notre époque.



  • ilias 21 mai 15:51

    « Il n’est nulle morale à tirer de cette histoire quelque peu tirée par la queue, d’autant que le pauvre animal se contenta désormais de ne manger que du fromage », dixit Nabum. C’est bien le contraire, et ce qui suit le montre.

    L’histoire de Goupil, le renard rusé mais malheureux, nous offre un terreau fertile pour une réflexion profonde sur la sagesse et la condition humaine. Les péripéties de ce renard, bien que teintées d’humour et d’ironie, résonnent comme une fable philosophique, révélant les subtilités de notre existence quotidienne, les malentendus de notre quête de solutions, et les limites de notre compréhension face aux épreuves de la vie.

    L’instinct de (sur)vie et la nature humaine

    Goupil, en se levant de bonne humeur pour partir en chasse, incarne l’instinct naturel que chaque être vivant porte en lui. La chasse, acte primitif, nous rappelle notre connexion archétypale intrinsèque à la nature, où la survie et les besoins primaires dirigent souvent nos actions. Cette pulsion primaire peut être vue comme une métaphore de nos propres désirs et besoins, qui nous poussent à agir parfois sans considération pour les conséquences.

    La ruse et la désillusion

    Le renard, symbole de ruse et d’agilité, se retrouve piégé par une simple pierre lancée par un campagnol désespéré. Cette scène nous enseigne que, malgré toute notre ingéniosité et notre savoir-faire, nous sommes susceptibles de rencontrer des obstacles imprévus qui peuvent déstabiliser nos plans les plus soigneusement élaborés. La fausse route de Goupil, où il se blesse avec la pierre, évoque les illusions et les désillusions que nous vivons lorsque nos stratégies échouent face à l’imprévu.

    La quête de secours et les malentendus

    La souffrance de Goupil le pousse à chercher de l’aide, mais son ignorance le conduit à faire des confusions. En confondant un pasteur avec un vétérinaire, Goupil met en lumière la difficulté que nous avons parfois à identifier la bonne source de secours dans nos moments de détresse. Le pasteur, représentant de la religiosité et de la morale sociale ambiante, offre un réconfort temporaire, mais ne peut résoudre le problème matériel de Goupil. Cela illustre le conflit entre nos besoins physiques et spirituels, et la difficulté de trouver des solutions complètes à nos souffrances.

    L’hospitalité et la morale sociale

    Le pasteur, malgré sa bonne volonté, est contraint par les attentes sociales et les préjugés de sa communauté. Cette rencontre souligne les limitations de l’altruisme dans un contexte où les normes sociales et les jugements externes influencent nos actions. Le refus du pasteur de soigner directement Goupil, de peur des répercussions sociales, est une critique subtile des barrières que la société impose à l’expression de notre humanité et de notre compassion.

    La résilience face à l’adversité

    Finalement, Goupil, confronté à un désert médical, se voit contraint de laisser le temps et la nature résoudre son problème. Sa dent se casse, mettant fin à sa douleur de manière brutale. Cela symbolise la résilience et la capacité d’adaptation face à des circonstances adverses. Parfois, les solutions les plus inattendues et les moins conventionnelles s’avèrent être les plus efficaces, même si elles impliquent une forme de perte ou de sacrifice.

    La simplicité et le contentement

    En se résignant à une diète de fromage, Goupil nous rappelle l’importance de la simplicité et de l’acceptation. Parfois, face à des défis insurmontables, nous trouvons le bonheur et la paix en ajustant nos attentes et en nous contentant de ce que la vie nous offre. Cette adaptation n’est pas un signe de faiblesse, mais une preuve de sagesse et de flexibilité, qualités essentielles pour naviguer dans les eaux troubles et les complexités de tout ordre de l’existence.

    L’histoire de Goupil, sous son apparence légère et humoristique, est une profonde allégorie de la condition humaine. Elle nous enseigne que la sagesse ne réside pas seulement dans la ruse, l’intelligence, l’ingéniosité et l’agilité tout autant physique que mentale, mais aussi dans la capacité à connaître et à accepter nos limites, à chercher de l’aide avec discernement et perspicacité, et à trouver la paix potentiellement et éventuellement dans des solutions adaptées et adoptées, les plus simples et les plus naturelles. En cela, Goupil, avec ses mésaventures, devient un miroir de notre propre quête de sens et de réconfort lorsque nous nous trouvons dans un monde souvent à contextes déroutants, imprévisibles, et parfois incertains et dangereux.



  • ilias 17 mai 19:54

    Je vous lis avec une attention particulière mêlée de respect silencieux pour cet élan quotidien qui vous pousse à la création, malgré l’ombre imposante de l’intelligence artificielle. Votre texte, riche et fluide, nous entraîne dans les méandres de la réflexion humaine sur et autour de la vie quotidienne ; une errance contrôlée qui, sous des apparences de spontanéité, révèle une profonde réflexion sur la nature même de l’écriture et de l’acte créatif.

    La crainte que vous exprimez face à l’intelligence artificielle est compréhensible. Ces algorithmes puissants, capables de générer des textes d’une cohérence et d’une pertinence parfois surprenantes, semblent menacer le rôle des créateurs et des artistes, manieurs de mots et pilotes dans les sinueuses et inattendues bifurcations des langues. Pourtant, je vous invite à voir cette situation sous un autre angle. L’intelligence artificielle, dans sa capacité à produire, reste fondamentalement limitée par son absence d’expérience humaine, de cette sensibilité unique que vous, écrivains, poètes et penseurs, apportez à chaque mot, chaque phrase.

    Votre prose, marquée par une certaine mélancolie et un attachement profond à l’art de l’écriture, est l’expression d’une humanité que l’IA ne peut que simuler. Les algorithmes peuvent analyser des millions de textes, extraire des schémas, mais ils ne ressentent pas. Ils n’ont pas cette « assuétude » à la création quotidienne, cette lutte contre la page blanche, cette quête d’une forme d’existence par les mots.

    Le texte que vous écrivez, même s’il semble décousu par moments, est le reflet de votre propre cheminement intérieur, de vos propres associations d’idées, parfois erratiques, parfois lumineuses. La beauté de votre écriture réside justement dans cette imperfection, dans cette humanité qui transpire de chaque ligne. Vos coquilles, vos fautes, loin d’être des défauts, sont les marques de votre authenticité, de votre lutte contre une perfection froide et inhumaine.

    La technologie, en dépit de ses avancées, ne peut pas vous ôter cette singularité. Vos écrits ne sont pas vains. Ils sont le témoignage d’une époque, d’une sensibilité, d’une réflexion personnelle qui, même perdue dans l’immensité numérique, garde sa valeur. La page tournée ne signifie pas la fin, mais la continuité d’un dialogue, d’une introspection qui, comme vous le dites si bien, trouve son essence dans l’acte même de l’écriture, dans ce besoin irrépressible de s’exprimer.

    Vous évoquez André Breton et son écriture automatique, une référence à la libération de l’inconscient. Votre propre démarche, bien que consciente et structurée, semble s’inscrire dans cette tradition de l’exploration intérieure. Il y a quelque chose de profondément humain dans cette lutte quotidienne, dans ce refus de se laisser dicter par des normes, des attentes, des algorithmes.

    Continuez à écrire, à laisser vos doigts courir sur le clavier, à naviguer sans plan. Chaque mot, chaque phrase est une victoire contre l’oubli, une affirmation de votre existence. L’intelligence artificielle, malgré son pouvoir, ne pourra jamais remplacer cette expérience humaine unique, cette poésie de l’errance, cette beauté du hasard (paradoxalement) « maîtrisé ».

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