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Francisco

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  • Francisco Francisco 10 janvier 2017 22:52

    Salade de chèvre chaud, moules gratinées, salade landaise, entrecôte frites ... La liste et longue ! Ce qui est malheureux, c’est que ces restaurants la sont plus rentable que ceux qui se donnent du mal et travail que du produit frais. C’est mon cas, et malgré une superbe réputation, une capacité de vente incitative importante, un socle d’habitués conséquent, on est limite. Pour l’employeur on parle d’un nombre d’heures obscène mal rémunéré, pour l’employé il est quasi impossible de respecter la loi pour les heures. Ma chef va faire jusqu’à 70h/semaine en haute saison. Sous condition la durée maximale absolue hebdomadaire est d’une cinquantaine d’heures, et j’ai cassé 3 plongeurs l’été dernier ! Les employés l’accepte,tout comme je le faisait a leur place il y a peu de temps en saison, avant de passer de l’autre côté du bulletin de paie.

    Mon avis c’est qu’il y a trop d’offres, et que les prix pratiqués sont trop faible lorsqu’on travail ses produits de A à Z (j’entends par là qu’on utilise pas de bouillon cube mais qu’on fait sois même ses fonds de volaille...). Pour assumer les conventions collectives, la qualité et permettre une vie descente aux acteurs des entreprises de la restauration, il faudrait presque doubler les prix. On irais moins souvent au Restaurant,puisque notre pouvoir d’achat resterait ce qu’il est.Du coup beaucoup mettrait la clé sous la porte, et resterait les meilleurs. Ceux qui répondent à un segment et qui ce différencie de la concurrence par les moyens qu’ils auront déterminé.

    En tout cas, lors des entretiens d’embauche j’élimine d’emblée les candidats qui suggère la salade de chèvre chaud dans leur proposition de menu...



  • Francisco Francisco 25 juin 2015 02:15

    La rubrique « Ameriques » est tout à fait remarquable dans le style désinformation, mal-information, mensonge.
    Avec Paolo Paranagua, qui tape avec panache sur tout les gouvernements progressistes en faisant fi de l’amélioration des conditions de vie des populations occupant les pays qu’il cible.

    Les journalistes, d’une manière générale, nous traitent avec un mépris et une arrogance affligeante et malheureusement « Le Monde » ne déroge pas à la règle. Des vendus, des collabos qui vendraient leur mère si ils le pouvaient !



  • Francisco Francisco 18 juin 2015 01:20

    @tf1Groupie


    Chômage :Le chômage est la situation d’une personne qui, souhaitant travailler et ayant la capacité de le faire (âge notamment), se trouve sans emploi malgré ses recherches.

    Tu parles d’un acquis…

    Les petits patrons puisque vous les évoquez, sont dans des situations très difficiles. Prenez la restauration par exemple, des journées physiques et stressantes interminables, bien souvent l’employeur ce rémunère moins que son chef de cuisine (qui fait lui aussi des journées de 10 a 15h) pendant les 3 premières années suivant l’ouverture de son établissement. 
    Mais je ne pense pas que Robert Gil évoque ces patrons la. Il fait référence aux grands patrons, ceux qui touchent plusieurs millions.
    Certains prétendent qu’ils sont utiles, c’est grâce a eux que la France s’enrichie. Alors oui si l’on considère qu’ils sont français, ce qu’ils sont par ailleurs, lorsqu’ils s’enrichissent la France s’enrichie. Mais vous et moi non. Ils le font d’ailleurs souvent au détriment de vous et moi.
    Et ils consomment vachement moins que nous, donc la tva c’est nous qui la payons, pas eux.
    Imaginez quelqu’un qui gagne 10 millions par ans, si vous divisez cela par 100 personnes qui gagnent 100 000 euros pas ans. D’après vous qui consomme le plus, celui qui gagne 10 Millions ou les cents qui gagnent 100 000 ? Puis si vous divisez ces mêmes 10 millions par 1000 ….



  • Francisco Francisco 18 juin 2015 00:58

    @smilodon
    Avec la robotique, les machines, ont pourrai atteindre des rapports actifs/inactifs surprenants ! Seul quelques techniciens,informaticiens,chercheurs et une quantité très faible de manoeuvres suffiraient a produire tout ce dont nous avons besoin. 

    Mais a qui revendraient t’ils leurs productions ? Si l’immense majorité des consommateurs ne sont plus solvable de par leur inactivité ?
    Il me semble pas que le problème vienne de ce rapport entre actifs/inactifs, après tout si le progrès technique fait de nos machines des esclaves, et que de ce fait nous n’ayons presque plus besoin de travailler je trouve plutôt ça positif.
    Le problème vient plutôt de la répartition du fruit du travail des ces mêmes machines. A l’heure actuel, les bénéfices qu’elles engendrent reviennent a leurs propriétaires qui s’ingénie tout les jours a licencier de plus en plus de manoeuvres pour diminuer leurs couts de revient et s’enrichir. C’est légitime de leur part, la concurrence est rude et il faut s’aligner avec cette dernière. 
    C’est plus un problème systémique. Il y a bien quelques pistes qui guident vers la solution, mais changer une société passe par des cataclysmes. 


  • Francisco Francisco 15 juin 2015 00:16

    Je suis absolument sur la même ligne.
    Population dépossédée du pouvoir, alors qu’on parle d’un système démocratique. (je pense qu’il n’est pas nécessaire de revenir à l’étymologie de ce terme).
    L’illusion de certains qui ce pensent riches alors qu’ils ne le sont pas. Avec en plus une fâcheuse tendance de la majorité à défendre des intérêts qui ne le sont pas les siens.
    Le paradoxe d’un pays qui va mal, mais pas pour tous ! Puisqu’on constate un écart entre les plus riches et les pauvres qui n’est pas seulement dû à la baisse du niveau de vie des pauvres.
    Je vous rejoins également sur « l’habileté des dirigeants » qui consiste à faire croire qu’il n’y à pas d’alternatives. Les plus riches achètent les médias, donc achètent l’opinion. Ils ont en plus le culot de toucher des subventions car c’est pas rentable.

    Le plus savoureux, c’est l’apathie pour ces riches, de ceux qui veulent être plus malin que les autres. Car la nouille de base, elle est tout simplement pas au courant et la politique lui fou la gerbe d’une manière général. Au niveau au dessus, on est avertie, on s’y intéresse et on s’insurge. Puis il y à les vraiment gros malin qui pour ce démarquer de la masse des averties prennent la défense de leurs maîtres, sous prétexte que les attaques a leurs encontre sont banales et simplistes.
    Tout cela ne date pas d’hier, et aussi terrible que cela puisse paraître, les systèmes mises en place par ceux qui détiennent le pouvoir sont devenus banals et simplistes. N’en déplaise aux ultra-malin à qui on la fait pas !

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