Il a toujours été admis que ce sont les
cotisations « des travailleurs » qui alimentent les caisses des
pensions. Il s’agit bien entendu des travailleurs « bipèdes ».
Or, les énormes progrès des technologies
remplacent de plus en plus des travailleurs bipèdes par des machines ou des
programmes informatiques. Il n’est pas nécessaire d’avoir un prix Nobel pour
comprendre qu’il y aura de moins en moins de cotisations et qu’à terme, si on
ne fait rien face à ce phénomène les cotisations seront progressivement insuffisantes
pour assurer le paiement des pensions. Là encore je suis complètement
catastrophé qu’aucun parti, aucun syndicat, aucun élu n’y ait jamais fait
allusion.
Évidemment, le monde capitaliste a
affirmé que cela va ruiner l’investisseur.
Encore une fois, il n’est pas nécessaire
d’être un génie pour comprendre que le salaire d’un travailleur (qui est
officiellement celui qui cotise) et d’abord en amont l’argent de l’employeur.
Donc finalement c’est l’employeur qui cotise.
Or l’utilisation des machines et
ordinateurs augmentent considérablement le profit de l’employeur. Il n’y a donc
aucune raison pour empêcher l’employeur d’assurer cette cotisation pour sauver
les caisses de pension. Cela devrait être légalement rendu obligatoire puisque
cela n’appauvrira pas l’employeur mais diminuera seulement un peu son profit.
Alors Messieurs les responsables,
qu’est-ce qu’on attend ?
Je suis
absolument catastrophé de devoir constater l’extinction massive du
fonctionnement des neurones chez les journalistes, les politiciens, les
économistes et même Monsieur tout le monde.
Première
partie :
Il suffit
de réfléchir un peu : l’argent disponible correspond aux possibilités
d’échanges économiques dans une société. Si donc la population double, il
faudra créer de l’argent nouveau, sinon l’argent disponible sera réparti sur
toute la population qui va donc voir son pouvoir d’achat divisé par 2. Ce n’est
quand même pas difficile à comprendre…
Il y a
donc création permanente d’argent (cela s’appelle la création monétaire) avec
l’inconvénient majeur qu’il faut rembourser cet argent en payant un intérêt qui
ne profite qu’aux actionnaires ; rappelons qu’au départ c’est de la fausse
monnaie puisqu’elle n’existait pas encore avant sa reconnaissance sur le
marché. C’est tellement énorme qu’aucun parti, aucun syndicat n’ose en parler.
Conclusion :
on peut donc trouver l’argent puisqu’il est créé en permanence par le système
bancaire. Cela s’appelle d’ailleurs l’argent dette. La dette est une astuce
capitaliste pour obliger tout le monde à rester disponible sur le marché du
travail ; l’autre aspect de la dette et d’enrichir en permanence le
prêteur, même s’il est confirmé qu’il n’avait pas cet argent au départ du prêt.
(L’argent en dépôt représente actuellement quelque 20 % de l’argent prêté)
Je suis absolument catastrophé de devoir
constater l’extinction massive du fonctionnement des neurones chez les
journalistes, les politiciens, les économistes et même Monsieur tout le monde.
2e partie :
Il a toujours été admis que ce sont les
cotisations « des travailleurs » qui alimentent les caisses des
pensions. Il s’agit bien entendu des travailleurs « bipèdes ».
Or, les énormes progrès des technologies
remplacent de plus en plus des travailleurs bipèdes par des machines ou des
programmes informatiques. Il n’est pas nécessaire d’avoir un prix Nobel pour
comprendre qu’il y aura de moins en moins de cotisations et qu’à terme, si on
ne fait rien face à ce phénomène les cotisations seront progressivement insuffisantes
pour assurer le paiement des pensions. Là encore je suis complètement
catastrophé qu’aucun parti, aucun syndicat, aucun élu n’y ait jamais fait
allusion.
Évidemment, le monde capitaliste a
affirmé que cela va ruiner l’investisseur.
Encore une fois, il n’est pas nécessaire
d’être un génie pour comprendre que le salaire d’un travailleur (qui est
officiellement celui qui cotise) et d’abord en amont l’argent de l’employeur.
Donc finalement c’est l’employeur qui cotise.
Or l’utilisation des machines et
ordinateurs augmentent considérablement le profit de l’employeur. Il n’y a donc
aucune raison pour empêcher l’employeur d’assurer cette cotisation pour sauver
les caisses de pension. Cela devrait être légalement rendu obligatoire puisque
cela n’appauvrira pas l’employeur mais diminuera seulement un peu son profit.
Alors Messieurs les responsables,
qu’est-ce qu’on attend ?
Je suis
absolument catastrophé de devoir constater l’extinction massive du
fonctionnement des neurones chez les journalistes, les politiciens, les
économistes et même Monsieur tout le monde.
Première
partie :
Il suffit
de réfléchir un peu : l’argent disponible correspond aux possibilités
d’échanges économiques dans une société. Si donc la population double, il
faudra créer de l’argent nouveau, sinon l’argent disponible sera réparti sur
toute la population qui va donc voir son pouvoir d’achat divisé par 2. Ce n’est
quand même pas difficile à comprendre…
Il y a
donc création permanente d’argent (cela s’appelle la création monétaire) avec
l’inconvénient majeur qu’il faut rembourser cet argent en payant un intérêt qui
ne profite qu’aux actionnaires ; rappelons qu’au départ c’est de la fausse
monnaie puisqu’elle n’existait pas encore avant sa reconnaissance sur le
marché. C’est tellement énorme qu’aucun parti, aucun syndicat n’ose en parler.
Conclusion :
on peut donc trouver l’argent puisqu’il est créé en permanence par le système
bancaire. Cela s’appelle d’ailleurs l’argent dette. La dette est une astuce
capitaliste pour obliger tout le monde à rester disponible sur le marché du
travail ; l’autre aspect de la dette et d’enrichir en permanence le
prêteur, même s’il est confirmé qu’il n’avait pas cet argent au départ du prêt.
(L’argent en dépôt représente actuellement quelque 20 % de l’argent prêté)
Je suis absolument catastrophé de devoir
constater l’extinction massive du fonctionnement des neurones chez les
journalistes, les politiciens, les économistes et même Monsieur tout le monde.
2e partie :
Il a toujours été admis que ce sont les
cotisations « des travailleurs » qui alimentent les caisses des
pensions. Il s’agit bien entendu des travailleurs « bipèdes ».
Or, les énormes progrès des technologies
remplacent de plus en plus des travailleurs bipèdes par des machines ou des
programmes informatiques. Il n’est pas nécessaire d’avoir un prix Nobel pour
comprendre qu’il y aura de moins en moins de cotisations et qu’à terme, si on
ne fait rien face à ce phénomène les cotisations seront progressivement
insuffisantes pour assurer le paiement des pensions. Là encore je suis
complètement catastrophé qu’aucun parti, aucun syndicat, aucun élu n’y ait
jamais fait allusion.
Évidemment, le monde capitaliste a
affirmé que cela va ruiner l’investisseur.
Encore une fois, il n’est pas nécessaire
d’être un génie pour comprendre que le salaire d’un travailleur (qui est
officiellement celui qui cotise) et d’abord en amont l’argent de l’employeur.
Donc finalement c’est l’employeur qui cotise.
Or l’utilisation des machines et
ordinateurs augmentent considérablement le profit de l’employeur. Il n’y a donc
aucune raison pour empêcher l’employeur d’assurer cette cotisation pour sauver
les caisses de pension. Cela devrait être légalement rendu obligatoire puisque
cela n’appauvrira pas l’employeur mais diminuera seulement un peu son profit.
Alors Messieurs les responsables, qu’est-ce
qu’on attend ?