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CommunArt

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  • Premier article le 14/01/2014
  • Modérateur depuis le 04/07/2018
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Derniers commentaires



  • CommunArt CommunArt 7 janvier 2014 16:00

    Très bon article, merci et bravo smiley

    En ce qui concerne les limites biblico-historiques de la terre promise à Israël, je me permets de préciser que les « sources à ce sujet » sont loin d’être floues pour les israéliens d’aujourd’hui.
    Ayant récemment repris des cours de théologie ( eh oui, y’a pas d’âge…), il est facile de confirmer que les frontières promises au peuple d’Israël sont très précises dans ce que l’on nomme soit la Bible hébraïque, soit le Pentateuque ( ou 5 premiers livres de l’Ancien Testament )
    Ces frontières iraient en effet de l’Euphrate au Nil ( d’Est en Ouest ) mais également du Liban ( Phénicie ) à la Mer Rouge pour ce qui est du Nord au Sud. Cela comprend également une partie de la Syrie, et bien sûr le territoire de Gaza au passage…

    Le plus surprenant n’est pas la politique outrageusement colonialiste de cet état ( après tout, ça n’est pas le premier ) mais bien le fait que cette politique repose sur un texte religieux dont la véracité historique est plus que douteuse quand on prend le temps de s’y intéresser.

    Pendant qu’un état fonde sa légitimité sur une interprétation littérale de la Bible, nous autres offrons l’asile politique et des subventions aux femen pour qu’elles viennent pisser dans les églises.

    J’ai beau m’interroger, tout cela est assez difficile à comprendre...






  • CommunArt CommunArt 2 janvier 2014 14:12

    Je suis né en 1974, et quand j’étais gamin, les blagues sur les juifs dans la cour de l’école avaient de quoi choquer nos censeurs d’aujourd’hui… Comme un grand nombre de mes concitoyens, j’ai été littéralement traumatisé par les images des camps nazis, qui ont, de force, placé un marqueur symbolique au mal absolu. Il m’a fallu de longues années non pas pour me débarrasser de ce marqueur, mais simplement pour me libérer, et encore en partie seulement, de ce traumatisme qui s’apparente parfois à une prise d’otage affective.

    On aurait pu croire que, le temps passant, la nécessité de l’oubli ( tel que le prône Paul Ricoeur par exemple) prendrait le dessus, mais il n’en est rien puisqu’en 2004 toutes les écoles de France se sont vues décorées de plaques commémoratives sinistres.
    Les 26 millions de morts soviétiques de la seconde guerre mondiale doivent se sentir bien seules, partageant la même page que les victimes carbonisées d’Hiroshima et de Nagasaki dans un coin de nos livres d’Histoire.
    Depuis plus de dix ans, Dieudo dénonce l’horreur de toutes les barbaries humaines et cette volonté d’oubli salvateur.
    Car soit on n’oublie tout, soit on n’oublie rien, et à ce titre, il faudrait peut-être réfléchir à instaurer de nouvelles lois mémorielles ( pourquoi pas ? ) et censurer les centaines de western américains présentant les indiens comme des cafards nuisibles qu’il fut nécessaire d’exterminer pour construire ces magnifiques centres commerciaux, grand héritage culturel s’il en est.


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