L’Empire :
(côté
obscur de la force) complexe
idéologique fasciste militaro-politique anglo-saxon visant à s’approprier la
planète Terre par la force. Aidé par ses vassaux européens, son but est d’anéantir toute résistance démocratique, éradiquer toute idées souverainistes et mettre les
peuples en esclavage. Peuples qui, in finé, ne pourraient plus se revendiquer d’aucune
nation, patrie ou religion. Une population mondiale de consommateurs abrutis et
soumis.
La République :Une
partie de la population planétaire refusant de se soumettre à L’Empire.
Ces « rebelles » rejètent et combattent l’hégémonie des fascistes assassins
anglo-saxons. Ils résistent à ce Nouvel Ordre Mondial totalitaire organisé par une
poignée de salopards bien planqués quelque part sur le continent d’amérique du
nord.
Très attaché à la
liberté, et à la vrai démocratie (qu’il faudra refonder et édifier comme règle
universelle de l’humanité ), j’ai choisi le camp de : LA REPUBLIQUE.
Islamo-gauchisme + islamo-capitalisme = haine de
l’identité française
C’est
bien vu, mais, somme toute, insuffisant. Car Julliard comme Keppel et, dans une
certaine mesure, Michel Onfray paraissent reléguer l’islamo-capitalisme – cette
autre face de l’islamolâtrie à la mode – dans un impensé politique d’autant
plus regrettable qu’il est, chronologiquement, à l’origine de l’islamisation de
la France et de l’Europe.
Dans
le souci inconséquent d’augmenter ses bénéfices tout en pesant à la baisse sur
les salaires des travailleurs indigènes, le grand patronat apatride n’a-t-il
pas encouragé, dès les Trente Glorieuses, avec la complicité aveugle des
politiques, à ouvrir toujours plus largement les vannes de l’immigration ?
Avec, qui plus est, la bénédiction de ces mêmes gauchistes impénitents qui,
sous couvert d’antiracisme militant, furent les idiots utiles de ce capitalisme
nomade.