Un nouvel éclairage à propos des médias-mensonges qui excellent dans
la propagation des impostures quant à la démocratisation des pays dont
« la démocratie » et « les droits de l’homme » ne sont pas standardisés à
leur guise et tels que les souhaitent leurs mentors et qui se
dissimulent derrière les fallacieuses et fumeuses organisations non
gouvernementales. Dans ce sens, le professeur Ahmed Bensaâda,
spécialiste des « printemps arabes » et les officines qui sont derrière,
apporte de nouveaux éclairages via une recherche rigoureuse et sans
ambages quant à cette nébuleuse qui se cache derrière une connotation
somme toute hypocrite et nuisible à la fois, à savoir les organisations
non gouvernementales (ONG).
Le professeur Ahmed Bensaâda a situé l’enjeu par rapport à cette
nébuleuse en soulignant à ce propos que « bien que leur genèse soit
beaucoup plus ancienne, les entités regroupées sous le vocable
d’organisations non gouvernementales (ONG) ont eu un essor fulgurant
dans les années 80 et 90 du siècle dernier et leurs domaines
d’intervention se sont diversifiés : urgence humanitaire, alimentation,
droits de l’homme ou environnement », a-t-il soutenu dans sa dernière
contribution qui a bénéficié d’une large publication dans des revues
d’envergure internationale.
Cela n’a pas été de bon augure pour certaines officines qui ne
trouvent pas ce travail à leur encontre comme prolongement de leurs
sbires dans les pays dont l’approche « printaniste » n’a pas pu
s’introduire et se réaliser même si ces officines ne veulent pas lâcher
prise en maintenant leur entreprise perfide en recourant à ces
organisations satellites sous le fallacieux intitulé d’« ONG ».
Dans ce sillage, les ONG sont considérées selon le professeur Ahmed
Bensaâda comme « un puissant levier du soft power. Elles sont utilisées
par les grandes puissances pour « ouvrir » les sociétés dans le sens de
« l’Open Society de Soros », et d’ajouter « elles sont aussi utilisées pour
casser les Etats-nations qui s’opposent au diktat des grandes
puissances », a précisé le professeur Ahmed Bensaâda au quotidien
L’Expression. Le travail de recherche réalisé par Bensaâda axe son
intérêt sur le rôle des ONG qui ont été à l’origine un instrument pour
imposer le modèle néolibéral, mais aujourd’hui, il a dépassé cette
logique en consacrant une approche qui consiste à faire asseoir un
« processus » qui s’appelle « régime-change », c’est une démarche qui se
veut comme une action dont l’objectif est de détruire les Etats qui
n’obéissent pas et qui ne se reconnaissent pas dans cette approche
néocolonialiste et de diktat et d’hégémonie qu’exercent les puissances
en mal de repositionnement géostratégique.
Et si l’on jouait à « l’épidémie est finie » ? Si c’était la fin de la fin du monde, et le début du faisons comme avant ?
Vous entendez, sans doute comme moi, cette petite musique joyeuse du déconfinement.
Alors passons en revue, ici, tous les éléments de la fin de crise sanitaire.
Qu’avons
nous dans la besace des optimistes ? Des décès en baisse, des services
de réa qui se vident, une vie qui partout reprend ses droits, des
transports qui reprennent vie, des limitations qui disparaissent, et
même prochainement des cafés et restaurants qui devraient rouvrir, sans
oublier les zoos ou les parcs d’attractions.
Nous avons également
des plans de relance pour nous faire consommer et acheter l’une des 400
ou 500 000 voitures actuellement en stock dans les concessions
françaises. Tant pis si c’est du diesel, faut bien faire repartir les
usines.
Ce petit jeu intellectuel de la crise est finie, l’épidémie terminée, est important.
Il faut envisager toutes les possibilités.
La semaine prochaine nous jouerons à l’inverse, mais cette semaine, soyons volontairement optimiste.
@Séraphin Lampion Pour protéger les animaux il vaut mieux que le sapiens porte un masque ! sauf que face au taureau il est conseillé d’éviter le masque rouge.