César JULES

@Octave Lebel
"Cette jeune femme est une tête bien faite, armée de savoirs« 
Et c’est bien là le problème, car les »savoirs" en question ne sont que ceux du moment, transmis par des personnes qui se veulent au goût du jour.
Tout le monde doit penser comme l’intelligentsia à la mode. Il s’agit de formatage de l’esprit et dans le cas de notre Camille, l’affaire a fort bien réussie (peut être grâce à son ambition) puisque elle a tourné sa veste très rapidement en perdant la fraicheur de ses montagnes au profit de l’impérialisme parisien.

@tashrin
ptetre, ptetre, ptetre

ben, mais je crois plutôt que le message n’est ptetre

pas plus expirant que ca...

Pas de commentaire pour le moment, est-ce à penser que mon message a été entendu et que tout les lecteurs l’approuvent ?

@Inquiet
"Pour moi, le caractère essentiel et non négociable de la mise en œuvre d’une démocratie, est d’aider en premier lieu les plus faibles.« 
La démocratie, depuis au moins les Grecs, c’est une organisation de sociétés humaines pour que le chef élu, il y a toujours un chef, ne soit pas un despote autoproclamé.
 »aider les plus faibles", ça c’est toujours fait avec tous les régimes : les hospices, les dames patronnesses etc..
La difficulté est : combien, à qui, quand etc..

@Elric Menescire
Mon propos est : « le mieux est l’ennemi du bien », l’histoire du communisme en est une magistrale démonstration.
Mais c’est aussi l’illustration de la différence entre richesse et valeur. On peut être financièrement riche mais pauvre dans notre esprit. (Les suicides de riches sont tout aussi nombreux que ceux des pauvres).
Être « plus » riches ne conduit pas à « plus » de bonheur, (demandez aux gros gagnants du loto)
La richesse se mesure avec des outils communs à tous, argent, train de vie etc..
La valeur, elle, est personnelle, chacun de nous attribue une valeur pour chaque chose. famille, réussite professionnelle, etc..
La parabole des talents rapportée par les évangiles illustre parfaitement cela. Si vous ne la connaissez pas je vous engage volontiers à la lire.