bersace

Ave,

C’est dommageable également qu’on ne fasse pas le lien entre les violences sexuelles et l’omniprésence de la pornographie. Pourtant, le lien est étroit, en témoigne la récente affaire des deux garçons de 10 12 qui ont violé une petite fille suivant le schéma d’un film porno et qui ont été jusqu’à rediffuser leur explois grâce au téléphone portable.

Il y a un terrible aveuglement sur le sujet. Tant qu’on ne condamnera pas la pornographie, toutes ces imprécations contre les violences sexuelles seront vaines si ce n’est ridicules.

Cordialement,

Étienne.

Ave,

> Si l’on prend Charles Martel, rien de très glorieux mais un mythe régulièrement utilisé pour sa valeur symbolique.

De même, vouloir réduire l’ancien régime à un tissu de mythe, c’est ignorer notre héritage. Les monuments et la littérature française précédant la révolution ne sont pas des mythes et ne doivent rien aux valeurs républicaines.

C’est un travers si courant depuis la révolution de faire du passé table rase (cf. le calendrier révolutionnaire). Réduire la France aux valeurs républicaines et aux droits de l’Homme, c’est s’amputer de 1000 ans d’Histoire, c’est idéologique.

Cordialement, Étienne.

Ave,

> Or, les Français se souviennent de ce qui a fait la grandeur de la France : les valeurs républicaines et les Droits de l’Homme. Le peuple français ne se laissera donc pas déposséder de ses fondamentaux.

La France existait bien avant la révolution ! La grandeur de la France est aussi celle de Charle Martel, des cathédrales, des châteaux de la Loire, de Versailles, du Mont St Michel - dont on fête cette année les 1300 ans.

Cordialement, Étienne.

Est-ce que ce sera un minitel 2 ou un internet 2 ?

Est-ce que chacun pourra publier à partir de sa propre adresse, ou bien aura-t-on d’un côté des terminaux et de l’autre des gros serveurs appartenant aux entreprises et États ?

Étienne.

Ave,

Le péché est l’éloignement de Dieu, le détournement du Bien. C’est d’abord une rupture. Cela se produit par un acte/une pensée moralement mauvais. L’inverse étant la grâce, la miséricorde (et non la pénitence).

Étienne.