mais l’UPR compte 11895 adhérents ce mercredi 1 septembre à 00h00. Soit
environ +10/jours. L’UPR est le seul parti de France à donner ce nombre en
temps réel. Il suffit d’aller sur le première page : https://www.upr.fr/
Concernant le dynamisme, sachez que l’UPR s’est présenté aux Européennes,
et dernièrement au Régionales où 1971 candidats ont été présentés dans 12
régions de la métropole et en Outre-mer à la Réunion et où les adhérents ont
fait adhéré avec leur matériel, leur moyen, toutes les affiches électorales
nécessaires sans oublier de commune. Pour la présidentielle et les
législatives, permettez-moi de vous affoler mais nous serons présents. Pour ça,
il suffit de se retrousser les manches : collage, tractage, recherche de
parrainage, réponse à des articles propagandistes du type du vôtre (qui vous
paie pour cela ?). Même en bossant toute la semaine, on arrive à prendre
des heures après 21h et encore plus le WE. C’est ca le militantisme UPR, ne
jamais lâchez le morceau.
Quant au cybermilitantisme, il s’impose devant la propagande et les
contre-vérités de votre prose.
Asselineau
L’UPR est un parti qui rassemble tous les français au-dessus du clivage
droite-gauche. Il comprend des français de toute tendance politique (et très
légèrement plus à gauche), religieuse etc… avec environ 7% de français expatriés
donnant un rayonnement mondial à notre mouvement.
Le patronat est responsable par sa méconnaissance des traités car l’analyse
de l’UPR démontre que l’article 63 du TFUE oblige les entreprises françaises à
délocaliser ou à mourir, mais dans les deux cas, les français sont au chômage.
Cet article est aussi responsable de l’ultralibéralisation des mouvements de
capitaux. D’où l’objectif principal de l’UPR : Il est urgent de sortir de
l’UE, de l’Euro et de l’Otan par l’article 50 du TUE.
A demain pour la suite, car faut dormir tout de même.
Dans « De Gaulle, mon père », Philippe De Gaulle rapporte une
citation du grand Charles :
« C’est toujours une erreur primitive de se figurer qu’on vient à bout
des peuples civilisés par la terreur, c’est toujours le contraire qui se
produit. Ils deviennent encore plus déterminés ».
Cette détermination, dont on fait preuve les anglais, est portée en France par
l’Union Populaire Républicaine de François Asselineau qui compte 11482
adhérents le 13 juillet 2016 à 19 :25 et qui sera présente aux
présidentielles et aux législatives de 2017. L’objectif : le FREXIT.
4 Le MPEP dans sa tribune du 30 novembre 2015 indique :
" Pour sortir, la France
invoquera les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne du 23 mai 1969 sur
le droit des traités. Ces articles décrivent le droit de retrait d’un traité
international par un État, au motif notamment d’un « changement
fondamental de circonstances »."
Regardons cela de plus près :
Article 61. SURVENANCE D’UNE SITUATION RENDANT
L’EXÉCUTION IMPOSSIBLE 1. Une partie peut invoquer l’impossibilité d’exécuter
un traité comme motif pour y mettre fin ou pour s’en retirer si cette
impossibilité résulte de la disparition ou destruction définitives d’un objet
indispensable à l’exécution de ce traité. Si l’impossibilité est temporaire,
elle peut être invoquée seulement comme motif pour suspendre l’application du
traité. 2. L’impossibilité d’exécution
ne peut être invoquée par une partie comme motif pour mettre fin au traité,
pour s’en retirer ou pour en suspendre l’application si cette impossibilité résulte d’une violation, par la partie qui
l’invoque, soit d’une obligation du
traité, soit de toute autre obligation internationale à l’égard de toute
autre partie au traité.
Article 62. CHANGEMENT FONDAMENTAL DE
CIRCONSTANCES 1. Un changement fondamental de circonstances qui s’est produit
par rapport à celles qui existaient au moment de la conclusion d’un traité et
qui n’avait pas été prévu par les parties ne peut pas être invoqué comme motif
pour mettre fin au traité ou pour s’en retirer, à moins que : a) L’existence de
ces circonstances n’ait constitué une base essentielle du consentement des
parties à être liées par le traité ; et que b) Ce changement n’ait pour effet de
transformer radicalement la portée des obligations qui restent à exécuter en
vertu du traité. 2. Un changement fondamental
de circonstances ne peut pas être invoqué comme motif pour mettre fin à un
traité ou pour s’en retirer : a) S’il s’agit d’un traité établissant une
frontière ; ou b) Si le changement
fondamental résulte d’une violation, par la partie qui l’invoque, soit d’une obligation du traité, soit
de toute autre obligation internationale à l’égard de toute autre partie au
traité. 3. Si une partie peut, conformément aux paragraphes qui précèdent,
invoquer un changement fondamental de circonstances comme motif pour mettre fin
à un traité ou pour s’en retirer, elle peut également ne l’invoquer que pour
suspendre l’ap plication du traité.
L’analyse montre que ces articles 61 et 62 ne peuvent pas être invoqués. L’article
50 du TUE s’applique préalablement et son non-respect constitue une violation
du traité.
En conclusion, l’UPR a donc raison d’invoquer
essentiellement l’article 50 du TUE afin de sortir juridiquement et sereinement
de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, afin de ne pas violer le traité.
« CONCLUSION : EN 2017, MOBILISONS-NOUS POUR CHASSER CEUX QUI
TRAHISSENT LA France. »
10600 adhérents ce mardi 23 février au soir ont choisi de rejoindre l’UPR
pour sortir de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN par l’article 50 du TUE, et par
l’article 13 du traité de l’Atlantique Nord.
« CONCLUSION : EN 2017, MOBILISONS-NOUS POUR CHASSER CEUX QUI
TRAHISSENT LA France. »
10600 adhérents ce mardi 23 février au soir ont choisi de rejoindre l’UPR
pour sortir de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN par l’article 50 du TUE, et par
l’article 13 du traité de l’Atlantique Nord.