Le consentement des hommes
Les relations entre les femmes et les hommes sont l'objet d'une attention que l'on n'avait jamais eue ; elles sembleraient même être le problème politique le plus grave et le plus urgent à résoudre. Cependant, les discours publiés sont dans des limites très étroites hors desquelles rien n'existe. Réprobation morale absolue et exclusion. Examen des faits, fort peu. Répétition de certains faits choisis, à saturation, voire à la nausée. Il n'y a pas d'ouverture au débat, c'est le moins qu'on puisse dire.
Une des limites du petit espace qui doit contenir tout discours sur les femmes et les hommes est que les différences de comportement entre les filles et les garçons viennent de l'éducation. Les inégalités seraient solubles dans une autre éducation ! Or, ce sont les femmes qui font l'éducation des enfants à une écrasante majorité. Comment se fait-il, si c'est l'éducation qui crée les comportements masculins et les comportements féminins que ces comportements soient aussi défavorables aux femmes tel qu'il est dit en ce moment ?
D'autre part, on ne peut raisonnablement penser que notre vie commence à notre vie sociale. Les différences de comportement entre les filles et les garçons sont dans les différences de leur corps. Il y a deux corps humains, deux corps d’humains : un corps de femme et un corps d'homme. Cela se voit, c'est l'anatomie. La tentation de le nier existe et certains tentent de considérer que quelques humains indéterminés, un peu entre les deux, entacheraient cette réalité. Certains s'opposent à ce constat parce qu'il serait binaire. Admettons. Ne leur demandez pas en quoi le fait que ce soir binaire invalide ce constat, ils ne vous le diront pas. Avec deux anatomies, il y a deux places, deux rôles dans la sexualité.
L'inventivité des humains a l'air de pallier cela et de rétablir un rapprochement des identités entre les deux sexes, (une femme peut pénétrer un homme avec un objet, pas avec son sexe ni dans le sexe de son partenaire), mais bon, les deux sont pénétrables ; égalité. C'est illusion de croire que cela annihilerait la différence des sexes dans leurs échanges. Le coït, qui peut être fécondant, est dissymétrique : l'homme doit s'exciter avant, c'est lui qui pousse, la femme ne peut pas tirer, (ce n'est pas une porte), elle ne peut pas toujours exciter un homme. Cet état des choses, indépendant de la volonté des humains, amène que l'homme peut obtenir un coït d'une femme qui n'en veut pas et que le contraire n'est pas possible. Ce constat pourrait être interprété comme une autorisation à le faire. Bien sûr que non, ce n’est pas une autorisation à le faire, forcer est un acte interdit et punissable. Mais nier cette dissymétrie fonctionnelle, comme il est fait, ne saurait permettre de comprendre les relations entre les femmes et les hommes.
Dans la gestation, le corps masculin ne sert à rien. Il peut accompagner psychologiquement, socialement celle qui porte son enfant, travailler pour deux si elle ne peut plus, la nourrir... l'entourer, lui faciliter la vie, mais il ne peut pas porter avec elle, ni accoucher moitié-moitié. Les petits humains savent très vite d'où ils participeront à la sexualité humaine. Comme ils veulent grandir, ils jouent à être grands ou grandes. Vouloir les empêcher ne peut que les faire souffrir. Vouloir les empêcher au nom d'une égalité formelle, c'est avoir mal compris l'égalité contenue dans les droits de l'homme, et en principe, dans tout notre droit : c'est le droit qui compense les inégalités de la nature, le droit ne poursuit pas dans la société l'égalité de la nature... Il y a dans cette croyance (que le droit poursuit l’égalité naturelle) qui a pignon sur rue, le franchissement d’une ligne blanche.
Vouloir empêcher les enfants nécessitera, si on veut en faire une obligation éducative généralisée, force contraintes éducatives, discours, répétitions du discours, punitions... Cela nécessitera beaucoup d’énergie pour contraindre les enfants à ce qu’ils ne veulent pas faire, et beaucoup d’énergie pour contrer les nombreuses révoltes qui en naitraient.
D'autres différences corporelles ne sont pas liées au sexe pur (au génital). Les poils sur le visage (barbe et moustache, ou rasage chaque matin, quelle plaie !), les poils sur le torse, les jambes… Les premiers symptômes de l'infarctus du myocarde ne sont pas les mêmes chez l'homme et chez la femme... Les femmes vivent plus longtemps, ce qui est perçu tout de même comme un avantage, et qui n’est pas commenté (mis dans les faits oubliés). La masse corporelle des femmes est de 28% de leur corps et celle des hommes de 35%. Il va de soi que les êtres de la nature suivent leurs éléments chacun selon son espèce : le serpent rampe, l'oiseau vole, le lion rugit, la pie jacasse... Ceux qui ont plus de muscles veulent faire agir ces muscles. Comme le dit le poète (Jean Richepin) : ce canard n'a qu'un bec et n'eut jamais envie ni de n'en plus avoir ou bien d'en avoir deux.
Ces infrastructures différentes créent deux superstructures différentes. On trouverait beaucoup de différences dont certaines n'ont ni usage ni inconvénient et ne sont pas remarquées.
Une des plus grandes différences est celle de la libido. Les jeunes femmes et les jeunes hommes sont à peu près à égalité, mais après la grossesse bien souvent, les femmes, en grande majorité, ont une baisse de libido.
Un signe involontaire mais très pertinent, très fort, de cet état de fait est que le consentement est demandé aux femmes et pas aux hommes. Nous avions autrefois, le devoir conjugal qui aidait à réguler cette différence de niveau : chacun prend sa part, l'homme se contraint et se prive un peu, la femme se contraint et se force un peu. Actuellement, l'homme doit endurer seul la frustration, tout le pouvoir est donné aux femmes sous cette appellation de consentement. Une religion de 1,8 milliard d’adeptes (presqu’un quart de l’humanité) prévoit le contraire : cacher les femmes sauf au mari, qui peut en avoir plusieurs, et qui a tous les droits sur elle(s).
Un féminisme partagé qui serait un chemin vers l'égalité, ferait converger les sexes vers cette accommodation de chacun/chacune à l'autre et non la reddition d’un sexe au « profit » de l’autre.
- Photo Orélien Péréol
62 réactions à cet article
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« Si le sexe fort s’entendait pour ne plus faire les avances, la femme, vaincue, prendrait bientôt le rôle de les faire. »
Ovide - Les Amours-
Orélien PéréolBonjour,
En terme génétique, les hommes et femmes sont pratiquement tous stérile, ou bien faisant conception d’organismes à multiple défaut.
C’est la fin de l’espèce humaine, dans ça parfaite lâcheté et intimité.
Une humiliation digne, réellement amusante.
Les gamins qui ont la 15 enes d’années, sont incapable de reproduction.
Leurs glandes sont inactives, et disparaissent.
La partie est terminé, le jeu s’arrête là.
Salut
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@pallas
Un petit blabla sur la dernière photo de street-art qui vous mettez dans votre article n’aurait pas été de trop.Il s’agit de Julien Malland alias « Seth » -
L’Amour, c’est ce que l’humanité a toujours cherché, il est le but de l’homme et le rêve idéal de la Femme, il est la grande force qui régit l’univers, il peut tout, le bien comme le mal, il domine les temps et les âges, il se trouve à la source de toutes les religions, il est la religion même dans son principe ; toutes les philosophies l’ont discuté, il règne dans l’histoire des rois et dans les légendes populaires, il a été, tour à tour, béni et maudit, permis jusqu’à la licence et défendu comme le plus grand des crimes. Il est la source de mille préjugés religieux ou sociaux qui, presque toujours, résultent du malentendu qui règne sur cette question entre les hommes et les femmes, acteurs indispensables de cette idylle, mais qui ne la comprennent pas de la même manière.
L’homme, malgré l’expérience de l’histoire, n’a pas encore compris que l’amour de la femme est un phénomène qui a une réaction spirituelle : c’est ce qui le sanctifie.
La femme, malgré les désillusions de ses aïeules, ne veut pas encore savoir que l’amour masculin est un phénomène qui a une réaction brutale : c’est ce qui le condamne.
Pendant que chez la femme le fluide d’amour aspire à monter, chez l’homme il aspire à descendre. C’est sur cette différence que fut basée la grande lutte de sexes dans l’antiquité ; elle dure encore.
Faire luire sur cette question la lumière définitive de la science, c’est donner à l’humanité le moyen de sortir de l’état de malaise général que le malentendu sexuel a causé dans le monde. Il faut, une bonne fois, que chaque sexe sache comment l’autre aime et pense, afin d’éviter les heurts qui blessent l’amour-propre et finissent toujours par faire de deux amoureux deux ennemis irréconciliables.
Et par conséquent, le mystère autour de la « chute » et du « péché originel » (le premier acte sexuel) a une importance capitale, c’est le nœud de notre condition qui prend ses replis et ses retours dans cet abîme.
Un choc perpétuel existe entre la raison et le cœur de l’homme, entre son entendement et son désir. Quand il atteint au plus haut degré des civilisations, il est au dernier degré moral ; il s’appauvrit en idées, en même temps qu’il s’enrichit en sentiments. Son péché s’étend comme un voile entre lui et l’Univers (et c’est ce qui cause la désunion de l’homme et de la femme). L’unité du monde a été vaincue et l’humanité doit en porter la peine.
L’homme est tombé dans la conception misérable du fini, alors qu’il était né pour l’infini.
C’est le problème fondamental, le problème humain et divin. C’est le dogme intérieur de l’humanité. Une crise terrible fermente en ce moment, parce que le dogme de la chute masque les plus grands problèmes philosophiques.
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@Étirév
Bonsoir,
C’est romantique, mais totalement faux.
D’une part sur la Femme et l’Homme.
Il est bien que des machines, des marionnettes posent question.
Salut.
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Bon article plein de sagesse et de réalisme.
L’homme propose, la femme dispose disait une sagesse populaire qui se perd ; c’est ainsi que la nature a réparti les pouvoirs entre les sexes et que celui de la femme n’a jamais été le moindre, l’un ayant toujours usé de sa force physique et l’autre de sa séduction.Quant à l’égalité entre les sexes, elle relève de l’usage que chacun d’entre eux fait de ses pouvoirs, les tentations d’en abuser existant également chez les deux.Seule la raison devrait régler les problèmes qui se multiplient, mais celle-ci est-elle encore de mise, quand la libération des mœurs a conduit à tant de dérèglements, de mauvais exemples et d’ excès ? Et à défaut, pouvons-nous raisonnablement penser que la loi y remédiera ?-
@Antoine
Plutôt que l’échec de la loi, n’est-ce pas celui du mâle, qui a fait la loi ? -
@Antoine
Mâle ou homme, le Patriarcat a laissé faire, ou s’est laissé évincer, dans le confort du progrès que lui ont offert les pouvoirs qui ont été élus par lui ou sous sa responsabilité. Et ça n’est pas fini, pendant qu’il se vautre sans discernement, dans « le pain et les jeux » et les facilités de la libération des mœurs. -
@Antoine
Nous sommes plutôt d’accord, y compris sur la conclusion je crois, qui est que l’homme démissionnant et la nature ayant horreur du vide, la femme est bien partie pour le remplacer, au train où vont les choses. Ce qui au demeurant pourrait avoir du bon, la cause fondamentale de tous les maux de l’espèce humaine étant, selon moi, sa prolifération et la femme tenant de ce point de vue le manche, si je peux me permettre cette tournure quelque peut salace. Mais est-il encore temps ? -
@Claudec
Remplacer l’homme par la femme pas demain la veille et c’est tant mieux.Pour instant l’essentiel de la marche du monde est encore assuré par l’homme .L’essentiel des nouveautés est toujours assuré par l’homme et çà ne risque pas de changer .C’est bien l’homme qui sait transgresser les choses pour découvrir des nouveaux horizons pour l’humanité. -
« Un féminisme partagé qui serait un chemin vers l’égalité »... Au 21e siècle, les féministes n’en ont rien à cirer de l’égalité ni du partage. Ce qui les motive est de rafler tout.
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J’avais déjà écrit : « Les réactions du public sont assez pénibles. Tout ce qui est du côté du négatif de l’homme (lâcheté, tyrannie, indécision) est souligné par des grognements, des petits rires narquois. A la femme, il est tout pardonné, elle a mêmes des rires de sympathie quand elle dit qu’elle rêve qu’elle tue son mari, dans le genre « on sait bien que c’est comme ça. ». Les créateurs du spectacle ne sont pas créateurs de ce positionnement stéréotypé des relations entre les hommes et les femmes. »
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De mes quelques expériences de couples, j’ai remarqué que que les couples les mieux assortis sont ceux dans lesquels l’homme a intégré sa part féminine et la femme l’inverse. Non dans le sens de la copie ou des clichés, mais dans la relation interpersonnelle surtout mentale. Le mieux étant alors que chacun s’apanouisse en fonction des ses qualités personnelles. Anima et animus bien assimilés. Les féministes veulent faire comme les hommes, mais en perdant toute leur part fémine et le hommes craignent d’intégrer leur composante fémininee de peur d’être perçu comme « passif » (dit platement : en position homosexelle). Et dans tous mes couples, j’ai toujours disposé
face à un homme qui propose.-
@belin
Ce qui n’empêche nullement la complémentarité. Au contraire, elle ne reste pas figée dans les clichés qui bien souvent aboutissent à la fin d’un couple (le moment où le désir s’émousse par manque de mystère ou à l’approche de l’âge dit mûr, fatal aux couples liés par les enfants,...). Par féminité je sous-entend intérêt pour les activités que l’on dit du domaine féminin : imagination, délicatesse, écoute, sensibilité, ’empathie, intérêt pour autrui, intériorité. Et masculinité ; le fait d’être active, prendre des initiative, créer, entreprendre,... -
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Bullshit. -
@belin
Il y a une grande différence entre, contraire, opposés et complémentaires (les deux parties d’une pommes coupée sont complémentaires,..). -
Je ne vois comment un homme peut vivre en couple avec un autre être (le plus souvent, une femme), s’il ne connaît pas son fonctionnement psychique ?
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Comme vous l’aurez je suppose compris, je fait allusion au qualité psychiques. Pas les différences biologiques que les fameuses « théorie du genre » veulet pervertir,....
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Les rapports homme-femme c’est un peu comme la conduite automobile, chacun adapte sa conduite à la route choisie. Quand les couples réussissent à se former c’est que chacun a sut adapter son comportement à la personne désirée même si la route reste dangereuse avec le temps, les désillusions, les problèmes. Analyser de façon scientifique les rapports humains me parait un vrai casse-tête, une diversion, un autre sujet de division et une manière de nous prendre pour des débiles.
On se plait, on se cherche et chacun fait se qu’il peut pour arriver à son rêve de vie.
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Du bon sens et de la « réalité » biologique pour l’essentiel, ça fait plaisir.
Surtout ça change des conneries LGBT... , d’Osez le féminisme et autres groupuscules bas du front.
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Il n’y aura jamais d’égalité entre homme et femme leurs attributs sont asymétriques.
Seuls les féministes misandres font semblants d’y croire mais en réalités comme disait un internautes plus haut elles veulent rafler tout.-
« Les relations entre les femmes et les hommes sont l’objet d’une attention que l’on n’avait jamais eue ». Non, parce que vous ne connaissez pas l’histoire des mouvements féministes. L’amplification dont vous parlez n’est due qu’aux réseaux sociaux et aux médias. Le fond reste le même.
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Notons que pilules et moyens moderne de contraception ont un impacte mauvais sur la libido féminine.
La TV est aussi un facteur de crise de couple important.
Souvent le maris est accusé a tord de faits commis par un acteur dans une série.....Et il le paye durement.-
con senti , con a laver ....
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Je reviens quand même sur un point, contrairement aux idées reçues, les femmes aiment autant le sexe que les hommes.
Cette vision que les hommes seraient attirés par les femmes et celles-ci accepteraient de se faire prendre juste pour être gentille est totalement décalée.
Cette vision a été inculquée à tout le monde par les religions juives, chrétiennes et musulmanes.
Si les femmes n’aimaient pas le sexe, on ne seraient pas là pour en parler.
Elles sont tout autant attirées par les hommes que l’inverse. Simplement c’est très mal vu pour une femme de se montrer intéressée. La sexualité féminine, son attirance pour les hommes est perçue comme une perversion, un truc presque « diabolique ». Pourtant c’est juste quelque chose de tout à fait naturel et fonctionnel. La reproduction est un acte nécessaire dans la nature.Désolé si j’enfonce des portes ouvertes mais quand on regarde la télé et qu’on écoute les gens, on a une visions totalement caricaturale comme quoi les hommes seraient des obsédés sexuels et les femmes des vierges marie. Le concept d’immaculée conception fait toujours des dégâts.
Les féministes des 70’ avaient porté à l’époque l’idée de la libération sexuelle des femmes ou comment les laisser assumer une sexualité normale, c’est à dire ni débridée volontairement ni honteuse ou quasi interdite.
Aujourd’hui, c’est le retour du puritanisme le plus dur, on veut maintenant imposer aux hommes les même interdits qu’on impose aux femmes.
Aujourd’hui, les femmes n’ont de fait pas trop le droit de draguer ou d’assumer leur attirance sexuelle.
Maintenant, on veut criminaliser les hommes pour leur attirance sexuelle pour les femmes.Pourtant l’un comme l’autre sont parfaitement naturels.
En tout cas, c’est pas comme cela qu’on relancera la natalité.
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@_Ulysse_ : « LES femmes » ? De tous âges ? De toutes santés ou maladies mentales ? De toutes familles avec toutes pathologies familiales ? De toutes expériences ? De tous entourages, des plus sages aux pires pousse-au-crime ?
Ton étude de marché manque de finesse. Euphémisme. -
@arthes
Vous faites de la sur interprétation. Les femmes comme les hommes ont du désir sexuel, cela ne veut pas dire qu’ils ont du désir pour n’importe qui !
De la même manière qu’un homme n’a pas envie de coucher avec n’importe quelle femme, une femme n’a pas envie de coucher avec n’importe quel homme.
Mais les femmes oui, ont beaucoup de désir aussi, suffit de savoir le réveiller en toute intimité. Quand une femme se lâche elle a bien autant de désir qu’un homme, si ce n’est plus !
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@JC_Lavau
Il ne s’agit pas d’une étude de marché.
Si les femmes n’avaient pas d’intérêt pour le sexe, elles n’accepteraient jamais qu’un homme mette son pénis dans son vagin pour être clair. Faire cela juste pour faire plaisir c’est n’importe quoi.Tout de même, rassurez moi quand vous couchez avec une femme, vous n’avez jamais remarqué qu’elle en avait envie ?
Je comprend peut être mal le français mais quand une femme supplie un homme de la prendre tellement elle est excitée, je crois pas que ce ne soit que de la simulation !
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@ arthes
L’érection du reveil est mécanique et n’a rien à voir avec la sexualité.
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@_Ulysse_. Les québécois plaisantent :
Madame voudrait que Monsieur change, et il ne change pas.Monsieur voudrait que Madame ne change pas. Et elle change. -
@arthes
J’ai pas parlé de vouloir à tout prix réveiller le désir chez l’autre, vous faites encore de la sur interprétation, comme si d’avance le séducteur faisant face à une femme non intéressée allait forcément insister... et obtenir ce qu’il veut ce qui dans la vraie vie ne marche pas.
J’entendais par là, un homme qui sait attiser le désir chez une femme au plus grand bonheur de celle-ci, ça existe aussi
.Bien sur, on est tous différents, les gens ont plus ou moins de pulsions sexuelles.
Mais j’insiste les femmes ont en moyenne tout autant de pulsions que les hommes. Simplement, de par notre culture et notre éducation elle ont appris à refouler beaucoup leurs pulsions perçues comme trop « animales » voir « diaboliques ». L’origine est pour beaucoup religieuse.Quand je vois les nouvelles féministes sur les plateaux parler de sexualité, je me demande sérieusement si elles ne sont pas vierges. Elles n’ont vraie
ment pas l’air de savoir de quoi elles parlent.Quand à l’érection matinale, elle n’est pas due à une quelconque excitation sexuelle même si ça peut exciter madame parfois
. Les femmes se posent toujours beaucoup de questions à ce sujet. Les petits garçons ont des érections aussi c’est normal. C’est pas une pulsion sexuelle, c’est fonctionnel cela sert à entretenir le pénis, pour qu’il fonctionne bien.Croyez moi en tant qu’homme on perçoit très bien la différence entre les deux
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@JC_Lavau
C’est ça
.Disons que contrairement aux idées reçues, les femmes se lassent un peu de leur partenaires avec le temps, tout comme les hommes. Elles sont d’ailleurs bien plus excitées sexuellement à l’idée de coucher avec un inconnu plutôt qu’avec leur compagnon de toujours.
Pourquoi croyez vous que les cocus existent ? -
@kalachnikov
« ...L’érection du reveil est mécanique et n’a rien à voir avec la sexualité.... »
+1000Remarque étonnante de ta part (arthes)
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@Ouam
Ma copine me pose la question régulièrement, beaucoup de femmes n’arrivent pas à croire qu’un homme puisse avoir une érection sans excitation sexuelle. On leur met tellement dans la tête que les hommes sont des animaux de ce côté là...
Certaines mères paniquent pratiquement à la vue d’une érection chez leurs enfants mâles pré pubères
On se détend, c’est normal il n’y a pas de pulsion sexuelle là dedans.
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@_Ulysse_
Certaines femmes ont des orgasmes au moment de l’accouchement. Est-ce à mettre en rapport avec le physique du gynéco ??? Le fait de faire des rêves érotiques ne signifie nullement que vous trompez votre compagnon, mais que vous êtes en harmonie avec votre anima ou animus. -
@_Ulysse_
Ah mais mon eréction le matin est archi sexuelleAlors pour ces dames (un peu d’éducation pour elles)
Je bande comme un âne à l’idée du bon café que je vais me coller dans le museau....
Apres je sur-bande comme fou à l’idée de l’amour extraordinaire que m’apporteronts toutes ces bonnes gouttes d’eau chaude sur mon petit corp completement ensuqué ( plus c’est long + c’est bon....)(etc... dans l’idée)
Pour ce qui est prurement Q, le matin si la dame une à une envie pressante, ben va falloir qu’elle s’attelle à la chose et fasse le travail.... et tout le travail...
parce que vu l’etat ensuqué de la b^te, va pas falloir trop m’en demander....
vl’a quoi !
Et je suis sur que je ne suis pas « l’exeption » mais plus vers « la majorité » ici
(pour les mecs et ce cas précis ) -
@ Ouam & Ulysse
Ca m’est déjà arrivé de pratiquer à ce moment-là et franchement : calvaire, difficulté à arriver à l’orgasme et franchement déplaisir. En fait, beaucoup de mecs profitent de ça pour faire dans la performance. ’tu vois, chérie, je me contrôle.’ Tu parles !
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@kalachnikov
on va faire un club (lol)C’est un peu comme si au reveil, on te fous le q sur le vélo, et on te dis vas y mon gars , enquilles toi tes 100 ou 200bornes, ben c’est plus du tout du plaisir ...
Tu te demandes ce que tu fous la et tu préfère etre ailleurs...
Brassens aurais du faire une face B à l’album 90% des femmes s’emmerdent en baisant -
@_Ulysse_Vous écrivez : « Je reviens quand même sur un point, contrairement aux idées reçues, les femmes aiment autant le sexe que les hommes. »
Le point fondamental de mon article, c’est de remarquer que le fait de poser comme problème le consentement de la femme disait, sans le vouloir, la différence d’appétence libidinale des femmes et des hommes (il n’y a pas de problème avec le consentement des hommes).Tout en le niant dès qu’on fait remarquer que c’est bien cela qui est dit.Pour le dire autrement : le fait qu’il y ait un consentement des femmes qui doit être obtenu par l’homme et que la femme n’ait pas à obtenir le consentement de l’homme signifie la différence d’énergie libidinale.C’est vous qui êtes dans l’idée reçue avec cette phrase. -
@Orélien Péréol
Vous vous trompez, la libido féminine est tout aussi forte sinon plus de celle des hommes mais elle est très refoulée car la sexualité des femmes est mal vue chez nous. Une femme qui aime le sexe est automatiquement perçue comme une salope et les femmes n’ont pas envie d’avoir ce genre de réputation.
L’image de la mère ayant enfanté sans coucher a la vie dure.
On a beaucoup dans la tête et cela vient de la religion que la sexualité féminine serait une anomalie, qu’une femme normale n’a pas de pulsion etc etc. C’est tellement ancré que la sexualité est dégradante pour les femmes.
Pourtant des études tout à fait sérieuses montrent au contraire de fortes pulsions sexuelles chez les femmes en réponse à divers stimuli.Selon les cultures, cela varie, il y a des pays où les femmes abordent les hommes comme en Finlande, d’autres comme en Colombie où elles veulent que les hommes les regardent et les sifle dans la rue.
Vous allez sans doute me dire qu’elles ne sont pas « normales »
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@_Ulysse_ Mais non. Il suffit d’être dans le monde pour savoir que la libido féminine est d’une intensité très basse par rapport à celle des hommes.
La sexualité des femmes est mal vue par qui ? Montrez où et comment s’il vous plait ?Les femmes font payer les hommes pour du plaisir sexuel depuis longtemps et encore pour longtemps très certainement. Maintenant un discours tyrannique, dictatorial répète que c’est une indignité faite aux femmes. Vous êtes là dedans apparemment.Cette répétition est tout à fait symptomatique des idéologies.J’ai argumenté que la dissymétrie du consentement était un aveu de la dissymétrie du désir. Pourriez-vous répondre à cet argument ? -
@ arthes
Ce que j’aime dans la relation sexuelle, c’est l’unisson des âmes, quand les instruments s’accordent à la divine symphonie.
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@_Ulysse_
« Vous vous trompez, la libido féminine est tout aussi forte sinon plus de celle des hommes... »
Je plussoie à fond ! -
@arthes
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Vu que t’est la, c’est mieux ? -
C’est le paradoxe de l’humain. Pour vivre, il a besoin de l’autre. Pour survivre, il doit s’individualiser.
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
très juste, et la 1ere option n’est pas 100% obligatoire....
La deuxième est incontournable. -
@Ouam
Pour l’humain, au moins jusqu’à 11-12 ans. Ce qui le différencie des animaux. SA beauté et en même temps son destin tragique. -
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
oui évidemment (ta réponse)Dans ma réponse je pensais à l’adulte, enfin t’a compris
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@Self con troll
Pour moi, c’est avoir la capacité de se détacher de la matérialité, du concret (du moins partiellement,...) et rentrer dans le monde spirituel qui nous permet de communiquer avec les autres, même à distance géographique. -
@Self con troll
L’individualisation suppose une qualité que peu de personne possèdent et qui remonte à la toute petite enfance dans le relation entre le mère et l’enfant. Ce n’est pas parce que la mère n’est pas présente physiquement qu’elle est partie ou même morte. Elle est en nous à chaque instant. Il en de même des personnes que nous avons aimé. Elles sont présentes en nous, même décédées. Si la fusion avec la mère fut primordiale dans les premier moments de la vie, il faut aussi passer par le deuil de celle-ci et la symboliser. Même si ce désir de fusion persiste,... il faut des frontières. De nombreuses personnes préfèrent encore ne pas prendre le risque d’aimer, parce qu’elle craignent de se perdre dans ces allées (Don-juan). Celui qui a atteint le stade de l’individualité est le seul à pouvoir rencontrer l’autre sans se perdre,... -
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
".... De nombreuses personnes préfèrent encore ne pas prendre le risque d’aimer, parce qu’elle craignent de se perdre dans ces allées (Don-juan)..."
Ce postulat posé...
On fait quoi ?
On reste terré sans ton trou en attandant le définitif ?
Tu n’a qu’une vie, ceuxs qui te font croire qu’il y en a plusieurs sonts des escrocs, sauf si tu me démontre l’inverse -
@Self con troll
Toutes mais rencontres étaient synchrones. Chacune avait un lien très fort avec la précédente. Parfois de manière totalement incroyable. Exemple : la personne avec laquelle je vis actuellement a passé toute son enfance dans l’immeuble en face de mon premier petit ami à 18 ans. Son amie de classe fut ma collègue à l’université (le monde est petit, d’accord, mais à ce point là,... !!!). Je pourrais écrire un roman sur le sujet. Et en plus, les synchronicités dans les prénoms,....Un peu comme un collier dont on enfile des perles,... -
Les femmes sont plus excitables à deux moments de leur cycle. Avant les règles et au moment de l’ovulation. Cela signifie-t-il qu’il faille dès lors inviter le facteur dans son lit à ces moments là ? Certains ont de fortes pulsions sexuelles qu’ils doivent canaliser et gérer. Digne paradoxal d’une bonne santé physique (mais risque de MST) et d’autres sont moins portés, mais sont souvent condamnés dans la vie à des emplois que l’on dit subalternes : fonctionnaires,... Ainsi est le monde. Complexe et complémentaire. Chacun sa route,...
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
C’est quoi le %
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
A finalement, les femmes peuvent être excitées quand même.
A en lire certains on a l’impression que les femmes n’ont aucune pulsions sexuellesEt le meilleur moyen de donner envie à une femme de re coucher avec vous c’est qu’elle n’oublie pas sa nuit avec vous ! Renseignez vous sur le sujet, aujourd’hui avec internet on a la chance de pouvoir profiter de la forte expérience de bon séducteurs.
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@_Ulysse_. Tu oublies systématiquement le misandrisme victimaire hégémonique, école de malveillance et de déni d’autrui, qui joue systématiquement des jeux à somme négative : « Qu’importe combien j’y perds, pourvu que lui y perde davantage ! ».
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@JC_Lavau
Il viendra un moment où ces femmes misandres payeront plus que les hommes il faudra bien sûr un sursaut d’orgueil des mâles, c’est possible même tout à fait souhaitable.C’est pour ça il faut soutenir toutes des actions qui leurs coupent l’herbe sous les pieds. -
@antiireac. Rien de tout cela. Les grands marionnettistes ne les financent pas pour rien. Elles sont payées pour détruire le pays entier, et elles avec, mais ça elles sont trop bêtes et trop fanatisées pour le percevoir.
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@Ouam
Astrologue à mes heures, je peux vous dire que si vous avez de nombreuses planètes en scorpion, il y a beaucoup de chance que vous êtes branché sexe (pour le meilleurs ou le pire). Exemple célèbre : Dutroux : scorpion ascendant scorpion. Autre exemple , mais qui a canalisé sa libido. Freud : Taureau (les pulsions), ascendant scorpion. Scorpion : du pire au meilleurs,... -
Autant dire que ces histoires de phéronomes me font bien rire,...Nous ne sommes pas des animaux,...
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Elle est bien bonne ! -
En commentaire d’un article du monde : « Violences sexuelles : la Suède satisfaite des effets de sa loi sur le consentement ». (Comme si l’amour était un acte administratif qui doit être notarié pour être valable) :
"Désormais, il doit expliquer ce qui lui a fait croire qu’elle était consentante."
"Nous devons passer d’une culture du viol à celle du consentement."
Les réactions sexuelles sont un viol, sauf si la femme consent. L’homme désire, la femme consent. Après combien de répétitions de cette idéologie faut-il pour en arriver à voir les choses ainsi ? Aussi loin de ce qui se passe vraiment dans les couples, aussi loin de la beauté des relations humaines, du plaisir, de l’amour ?
Dans ce système, qui décide du consentement de la femme ? La femme. L’homme qui a cru qu’elle était consentante doit expliquer ce qui l’a leurré et on va juger de la validité des signes qu’il a interprétés aussi mal !
Nous avons inversé la libération sexuelle de mai 68 et sommes revenus en arrière à une situation pire que celle qui prévalait au XIXème siècle et début XXème. La sexualité est le terrain du mal, de la culpabilité, de la punition judiciaire. Où est la vie ?
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