A la recherche des VERITES sous-jacentes dans les paroles politiciennes et scientifiques sur la CoViD-19
Les communications gouvernementales dans la crise de la COVID-19 apparaissent souvent à géométrie variable et dénuées de fondements scientifiques : en fait les conseils émis sont manipulés par les communiquants politiques et médiatiques ; les conseils scientifiques sont souvent les "dindons de la farce". Dès l'affaire des masques en début de pandémie, la trituration de la vérité a jeté un voile d'incompétence sur des élites incapables de se défendre car submergées par les contradictions de la parole politique. Il est salutaire de se pencher sur les dérives conduisant au délitement de la confiance dans la parole officielle des scientifiques, des politiques et de leurs relayeurs médiatiques.
Le vaudeville des masques :
acte 1 : il faut des masques
Les soignants de Chine, de Corée du sud, du Japon, portent des masques et des combinaisons de protection pour se protéger des virus exhalés par les malades.
Les malades Chinois de la Covid-19 portent tous des masques pour éviter de contaminer leur entourage.
Les Chinois des zones contaminées (ville de Wuhan) pour éviter d'être contaminés, sont rapidement confinés à leur domicile et portent des masques chez eux et lorsqu'ils sortent pour recevoir de la nourriture des équipes de protection (avec masques, cagoules et combinaison de protection).
Les masques utilisés contre le coronaviurs sont de type FFP2 (ou équivalents), contrairement aux masques portés par les populations asiatiques pour se protéger des poussières et particules souillant massivement l'atmosphère ; ces derniers de type FFP 1 ou simple composition en tissus filtrant, ne sont pas adaptés à la filtration des virus. Les masques FFP 1 sont utilisés en France et UE contre les poussières émises en usine et ateliers.
En France actuellement, deux types de masques sont utilisés :
- les FFP2 sans valve/clapet d'expiration, bien ajustés contre le visage, à 95% d'efficacité contre les poussières fines, les virus (et donc plus pour les bactéries), assurant une bonne protection de l'utilisateur et des proches (extérieur) pour les sans valve d'expiration ; (aucune protection vers l'extérieur si la valve est en place et fonctionnelle) ? Ces masques sont épais et freinent le passage de l'air ; ils sont chers et sont surtout réservés aux professionnels de la santé !
- les masques dits chirurgicaux, en pliage d'accordéon à face blanche et face bleue ; ils sont efficaces contre les bactéries >95% (type I) et > 98% (type II) et sont couramment utilisés en bloc opératoire et lors des soins sur les bléssés et opérés. Ces masques sont assez efficaces contre les "gouttelettes contenant des virus" émises par le porteur pour protéger l'entourage, mais insuffisants pour arrêter des virus en air libre ou sur des nanogouttelettes d'eau émises par les malades. Lorsque les masques "chirurgicaux" sont utilisés par la population pour suivre les consignes, ils sont mal appliqués sur le visage, alors une partie de l'air inspiré ou expiré ne passe pas à travers le media filtrant ! L'efficacité est donc réduite. Cet état de fait, a amené les scentifiques médicaux a mettre en garde contre l'efficacité supposée des masques chirurgicaux (et assimilés) contre les virus ; seuls les FFP2 (à bec de canard) pouvaient offrir une protection dans les deux sens contre le passage des virus ! Les "communiquants gouvernementaux" se sont bruyamment appuyés sur cette mise en garde pour claironner l'inefficacité des masques classiques ! Les responsables médicaux ont peu après réclamé fortement des masques pour le personnel en contact avec les malades ainsi que des blouses/combinaisons pour se protéger des coronavirus. Le manque crucial de ces matériels élémentaires de protection s'est traduit par de nombreuses contaminatons et par des décès de plusieurs soignants ! ( Actuellement on ne voit les FFP2 qu'en nombre limité en milieu hospitalier).
Les contradictions gouvernementales au sujet des masques (inutiles puis indispensables) du fait de la rupture initale de approvisionnements ont portés atteinte au sérieux de la parole des intervenants du monde médical.
acte 2 : le nécessaire confinement
Depuis des siècles si ce n'est des millénaires les "autorités médicales et administratives" ont toujours fermement réagi aux épidémies contagieuses telles la peste ou le choléra, en imposant une quarantaine fortement contrôlée, contre les navires obligés de mouiller dans les eaux du port, loin des quais pendant 40 jours, avec parfois une possibilité de ravitaillement par du personnel du port, fortement protégé. Si l'épidémie se répandait "à terre" alors quartiers, villes ou villages étaient isolés du reste de la population, les occupants confinés chez eux, durant une véritable quarantaine. Parfois en cas de nombreux cécès, les occupants morts par l'épidémie, et leur maison étaient brûlés !
Cette méthode était la seule efficace en absence de toute possibilité de traitements. Mais il faut noter que tous les mis en quarantaine en présence de contaminés ne contractaient pas la maladie ou en guérissaient d'une façon naturelle non expliquée à l'époque. Aujourd'hui, on sait ou on feint d'ignorer que pour les épidémies à bactéries, se développent avec retard des virus bactériophages facilitant ainsi la disparition de l'épidémie !
Le confinement à la chinoise :
Les médecins chinois, démunis en moyens de traitement curatifs ou de prévention, ont mis en application, avec l'aide ferme et précieuse des Autorités Administratives de la Chine Populaire, des confinements et des quarantaines fortement contrôlées : les confinés étant soit approvisionnés par des escouades de livreurs sous combinaison, masque et cagoule étanches (avec lunettes intégrées), soit autorisés à sortir 2 fois par semaine pour des courses locales avec un contrôle informatique par des QR code sur téléphones portables suivis par des centraux, et en étant équipés des protections indispensables.
Ce grand confinement a duré 3 mois en moyenne (au lieu de 40 jours) et a été étendu d'abord à toute la ville de Wuhan (11 millions d'habitants), à sa région (40 millions) et à des grands quartiers de mégalopole (Shangaï, Pékin, Chongquin etc...). Les malades détectés étant sur le champ regroupés en hôpital classique ou de campagne provisoire (lit de camp et dispositifs mobiles d'oxygénation). De plus, toute la Chine a fermé ses frontières terrestres, maritimes et aéroportuaires, avec mise en quatorzaine rigoureuse pour les entrants autorisés, chinois ou étrangers
Pendant le confinement, et après, les tests PCR et épigéniques (sur l'ADN) sont effectués sur la population qui présente des symptômes et sur la population sans symptôme mais susceptibles d'avoir été contaminées. Un résultat imprévu est la découverte de cas asymptomatiques avec l'apparition d'anticorps développés du fait de la présence antérieure de coronavirus ! Un autre est la présence de faibles contaminations à peine ressenties par le contaminé ; ce dernier risque cependant d'être contagieux !
Les résultats du confinement à la chinoise sont merveilleux : pour 1400 millions de Chinois, en fin janvier 2021, il n'y aurait eu que 89000 cas positifs détectés, isolés en milieu médicalisé et 4635 décés !!! Même si les statistiques de la Chine sont contrôlées par le gouvernement on a peine à croire que les nombres réels seraient 10 à 100 fois supérieurs (100 fois pour devenir comparables aux valeurs des USA ou de pays européens dont la France).
Les quelques pays occidentaux qui ont mis en place des confinements rigoureux, avec fermeture des frontières (Nouvelle-Zélande,...) ont réussi à préserver la santé de leur population.
Les confinements à la Française :
Le gouvernement Français n'a pas envisagé, dès le début de la pandémie et même ultérieurement, de prendre des mesures strictes à la chinoise : ces mesures appliquées dès les premières contaminations apparues en France, n'auraient concerné que des zones géographiques bien délimitées, plus la fermeture des frontières. Un réseau d'approvisionnement par des personnels protégés aurait pu être mis en place, avec certes l'implication de l'armée pour les contrôles et certains transports et la répartition des vivres. Dans ce cas des résultats efficaces, à la chinoise, auraient enrayé l'épidémie.
Au lieu de cela les mesures tardives, incomplètes et contradictoires n'ont eu qu'une faible efficacité, avec un grand nombre de malades et de décès ; à ce jour près de 120 000 décès pour près de 7 millions de cas positifs !
Pour les 2 premières vagues il n'y avait aucun effet possible dû à la vaccination (pas encore débutée) et pour la troisième vague le taux de français complètement vaccinés était encore faible pour modifier les résultats ! Donc soit les mesures prises (confinement, couvre-feux, gestes barrières, masques...) sont efficaces ( en proportion de la rigueur de leurs applications), comme pour la Chine, soit le développement des contagions et infections du virus, puis leur décroissance suivent des cycles de forte activité de 2 à 3 mois, suivis de périodes de "repos" : dans l'état actuel de la science de la virologie des coronavirus, il n'est pas possible de se prononcer même si la dernière hypothèse semble "peu convenable" !
acte 3 : Les traitements classiques à l'aide de la pharmacopée existante :
Les traitements à base d'antiviraux existants pour d'autres infections, tel le Tamiflu utilisé contre la grippe, n'ont rien donné. Les Autorités Médicales et "la Profession" se sont retranchés sur 2 propositions :
1- Le ou les vaccins étaient la vraie solution contre le SRAS-CoV2 ;
2- Les médicaments existants autorisés pour d'autres pathologies ne pouvaient être envisagés que dans le cadre de la Convention d'Helsinki, à savoir une utilisation en absence d'autres traitements spécifiques,(avec l'accord éclairé du patient) dans la phase critique de l'évolution de la maladie (assez près de l'extinction de la vie !), lorsque les ressources naturelles du patient pour combattre la maladie étaient épuisées.
Naturellement les traitements expérimentaux à l'initiative des médecins devaient suivre les consignes du cas 2, alors qu'au vu de l'évolution de la maladie c'est en phase initiale qu'il faut aider le patient contaminé a bien lutter contre son infection. Un peu partout dans le monde des initiatives de traitements ont été prises hors convention d'Helsinki. Les essais de traitement avec l'hydroxychloroquine (avec un accompagnement possible de l'azythromycine) à faible dose (inférieures à celles préconisées dans la lutte contre le paludisme), ont donc été interdits en France. Les propositions des Autorités de Santé Françaises, faites à des laboratoires universitaires, de tester cette médication "honnie" en phase critique des malades, selon Helsinki, n'ont pas suscité de nombreuses candidatures et les rares mises en oeuvre n'ont pas révélé un médicament miracle. Il faut préciser que dans la phase critique les phases de contamination/contagion sont quasi terminées sous l'action des lymphocytes T4 et T8 du système immunitaire, le malade luttant alors contre les séquelles plus ou moins graves de son infection (pneumonie, détresse respiratoire) : alors un médicament se proposant de réduire l'évolution de la charge virale dans les premiers jours de l'infection, donc daugmenter les chances de guérison, sera inéfficace en fin d'infection ! Aux USA, certains essais encourageants de médicaments (relayés dans les medias) se sont poursuivis dans des tests officiels normalisés et selon Helsinki : tests alors souvent décevants !
Seul l'antidouleur Doliprane (ou Paracétamol), réduisant les douleurs ressenties dans les symptomes a été autorisé à faible dose (difficille de l'interdire), sans savoir s'il pouvait contribuer à la lutte contre les virus.
Depuis quelques semaines des médicaments à base d'anticorps monoclonaux sont testés en première phase de contamination et même avant sur les cas "contacts" dont on ignore s'ils ont été réellement contaminés : certains auraient déjà de 50 à 60% d'efficacité pendant quelques semaines ou 3 à 4 mois (avant optimisation du traitement), selon les critères retenus pour les vaccins !
Acte 4 : La vaccination
La vaccination se propose de booster le système immunitaire en lui injectant des logiciels de production d'anticorps spécifiques et de lymphocytes tueurs de virus, après leur détection lors d'une infection.
La vaccination n'est pas un médicament qui tue les virus : c'est un leitmotiv chez les concepteurs/producteurs de vaccins, énoncé déjà lors de la présentation des vaccins de Moderna en août 2020 ! et aussi confirmé par Pfizer ! Donc les protocoles de tests obligatoires pour recevoir l'AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) imposés aux médicaments (les 3 phases, avec deux lots égaux de malades parfois répartis selon l'âge et les commorbidités et le niveau de développement de la maladie) en comparatif d'efficacité entre les malades traités selon le nouveu médicament et les malades traités avec un placebo d'aspect semblable mais sans aucun principe actif, ne peuvent s'appliquer aux vaccins concernés ! Les "pronostics d'efficacité" affichés reposent sur des protocoles dénués de la rigueur scientifique imposée aux médicaments !
Pour un médicament les tests de phase III relèvent les pourcentages de guérison, de non guérison, de décès, pour les deux lots de malades selon le traitement suivi : principe actif ou placebo !
Les vaccins mis au point contre le coronavirus ne sont pas destinés aux malades déjà contaminés mais aux bien-portants non contaminés : l'efficacité serait un pronostic du pourcentage de bien-portants ayant subi une contamination ne déclenchant pas la maladie ; cette efficacité est parfois modulée pour les infectés selon le niveau de gravité évité, à savoir selon le déclenchement d'une maladie bénigne, moyenne ou grave (avec nécessité de soins intensifs) et même avec décès !
Les deux premiers vaccins à ARMm ont été annoncés avec leur efficacité (autour de 95%) pour éviter la déclaration nette de la maladie ou pour éviter une forme grave de la CoViD-19, soit en France pour éviter une hospitalisation en soins intensifs. Il y a donc un manque important de précision ! Les découvreurs/fabricants des vaccins n'ont pas modéré leur coefficient d'efficacité en fonction de l'âge et des commorbidités des personnes soumises à une infection ! En France, ces variations non quantifiées ont été mises en avant pour inciter à la vaccination de masse de plus fragiles, et pour désengorger les services de réanimation ou de soins intensifs trop vite saturés. Il y a déjà un stock probable d'au moins 5% des vaccinés qui seront susceptible d'être contaminés, comme les non-vaccinés, et de développer une forme grave de la Covid-19, avec réanimation et risques de décès.
Pour ces deux premiers vaccins et pour les suivants il a été clairement précisé que ces vaccins n'empêchaient pas la contamination pour les 95% de vaccinés, prétendus protégés, mais que du fait du renforcement du système immunitaire contre l'invasion et le développement des coronavirus, la contamination était combattue dès l'apparition des virus dupliqués dans le corps humain : d'où une maladie moyenne, faible ou insignifiante et non perçue ou asymptomatique, mais cependant avec une exhalation de virus donc une contagiosité faible mais existante vers l'extérieur ! C'est pour ces raisons très peu explicitées que les Pouvoirs Publics et le Monde Médical, recommandent vivement aux vaccinés de porter des masques et de respecter les gestes barrières pour éviter de contaminer l'entourage et pour éviter d'être contaminé ! Des mesures quasi identiques à celles imposées aux non-vaccinés qui eux à la fois courent de gros risques de déclencher des formes graves pour eux-mêmes et d'avoir un niveau élevé de contagion pour l'entourage ! Au vu du nombre important de décès et des souffrances subies par les malades, la vaccination reste cependant recommandée.
Adaptation des vaccins aux variants
Les vaccins ont été mis au point pour lutter contre le coronavirus de base. Pour le variant anglais dit alpha l'efficacité reste bonne. Pour le variant indien dit delta, à plus forte contagiosité, devenu majoritaire en Europe et dans d'autres pays, les vaccins initiaux sont encore efficaces. Cependant les hôpitaux, du moins en France, précisent (ou prédisent !) l'efficacité des 2 vaccins à ARMm, du moins pour inciter à se faire vacciner :
- huit malades hospitalisés graves sur dix (soit 80%) ne sont pas vaccinés donc deux sur dix étaient vaccinés et sont malades ; c'est le message promotionnel pour la vaccination ! Soit une pseudo-efficacité de 80% ! Valeurs été 2021.
- sur des messages particuliers d'épidiémologistes ou de professeurs hospitaliers les valeurs sont de 85 sur cent et de 15 sur cent (de vaccinés) ; soit une pseudo-efficacité de 85 % !
- dans divers messages de pays étrangers, des taux d'efficacité tombent vers 60% sans assez de précision sur les variants concernés ! En Israël, avec plus de 60% de vaccinés la vague importante de l'été 2021 répartit les hospitalisations à 40% des cas positifs pour les vaccinés et à 60% de cas positifs pour les non vaccinés.l Mais ces valeurs en baisse portent sur des contaminés ayant été vaccinés depuis plus de 4 mois et même plus de 6 mois : l'efficacité de la vaccination baisserait avec le temps et exigerait donc des injections de rappel tous les 4 à 6 mois !
Le bienvenu vaccin Janssen !!!
Johnson &Johnson& a mis au point le vaccin Janssen à une seule dose (comme l'Astra Zenica qui a rapidement proposé une deuxième dose de rappel). Les Agences Européennes de Santé au vu de certains résultats préconiseraient une seconde dose du fait d'une efficacité insuffisante : des valeurs ont été publiées et relayées médiatiquement sans la moindre analyse.
Sur un million de vaccinés 32 ont contracté la maladie, avec 29 cas graves (hospitalisation en soins intensifs) et 4 décès ! Sur des personnes relativement agées sans précision sur leur état de santé, de fragilité et de commorbidités. Soit un taux de 32 cas par million de vaccinés (taux devant augmenter avec le temps, car tous les vaccinés n'ont pas été soumis à des contaminations) ;
Pour les 40 millions de vaccinés Français (2 doses plus délai de 2 semaines pour bien assimiler les effets du vaccin) (30 en moyenne sur tout l'été) quelles seraient les valeurs ? Cet été les nouveaux malades infectés étaient par jour de l'ordre d'une dizaine de milliers et dont probablement un millier étaient hospitalisés avec plus d'une centaine par jour entrant en soins intensifs. Selon la propagande officielle 15 à 20 % étaient des vaccinés : sur deux mois d'été cela correspond à plus d'un millier (environ 1500 ) de vaccinés. Pour faire une comparaison entre les vaccins, 20 millions de vaccinés par Janssen auraient conduit à 20x32 = 640 cas d'hospitalisation graves au lieu des 1500 estimés pour les vaccins à ARMm ; Janssen n'est pas si mauvais que claironné ! D'autant plus si une dose de rappel devient hautement recommandée ou obligatoire dans le protocole.
Quant au nombre de décès, il n' y a pas de statistiques fançaises publiées selon la vaccination ! La seule référence vient d'Israël qui publie le nombre de vaccinés et de non vaccinés ayant contracté le delta, ainsi que le nombre de décès correspondant : et malheureusement il y en a aussi quelques-uns parmi les vaccinés à l'ARMm !
En conclusion provisoire le Janssen a une bonne efficacité qui devrait être augmentée (moins de cas graves et de décès) avec une seconde dose.. Quant aux statistiques françaises publiées par les organismes officiels, elles restent profondément orientées vers la bonne promotion de la vaccination : la louable préconisation n'exclut pas un langage de vérité. Sans cela c'est la suspicion qui se maintient !
Efficacité pour les autres variants
Pour les variants beta, gamma, lambda, epsilon, mu et autres à venir, dont la contagiosité et la virulence ne sont pas encore bien évaluées, les vaccins actuels prétendent à une certaine efficacité, réduite. Les concepteurs/fabricants actuels des vaccins à ARMm se disent prêts pour développer des modifications adaptées. Mais ils attendent car le delta est super dominant dans le monde, chacun des autres variants ne concernant qu'environ 1% des cas positifs : pourvu que cela dure !
Acte 5 : le pass sanitaire à la française
Pour à la fois éviter un nouveau confinement et pour lutter efficacement contre la phase 4 de cet été,
Pour justifier le bien fondé de la vaccination et donc pour inciter fermement à la vaccination du plus grand nombre,
Alors les Autorités françaises ont décrété l'instauration d'un pass sanitaire qui en plus de regrouper tous les vaccinés (2 doses plus délai de 2 semaines ?), ajoutait des non vaccinés soit ayant déjà contracté la covid-19 ( et en étant sortis guéris), soit ayant subi un test PCR négatif de moins de 72 heures (supposant que pendant les 72 heures l'individu concerné n'a pas pu contracter la covid-19 !!!). Dans les autres pays européens le pass sanitaire est un pass vaccinal ne comprenant que les vaccinés et les anciens malades, ce qui est plus logique !
L'envie de vivre à peu près normalement, de sortir et de se regrouper, a effectivement conduit une majorité de Français réticents à la vaccination, de franchir le pas des vaccinodromes. Sur ce point le pass sanitaire est efficace.
Sur les plans scientifiques et médicaux, la relative modération de la vague 4, comparable en nombre de cas positifs de la vague 1, s'est surtout traduite par un nombre plus limité de malades en réanimation et de décès. L'effet partiel de la vaccination efficace pour éviter les cas graves, est confirmé !
Par contre le nombre de cas positifs est resté élevé : le pass sanitaire n'a pas répondu aux fausses attentes des politiques, des médias et de certains membres du corps médical. C'est une évidence prévisible et "masquée".
Les vices cachés du pass sanitaire à la Française :
+ Les vaccinés (pour 95% d'entr'eux ou moins) ne sont protégés que contre les formes graves de l'infection et évitent le passage en réanimation.
+ Les vaccinés peuvent être contaminés et contagieux pour leur entourage ! Même si les charges virales sont réduites.
+ Mélanger des non vaccinés ( PCR négatif récent ( <72 heures)) avec des vaccinés sans protection efficace, favorise la contamination des non vaccinés !!! Bravo pour la soi-disant protection des autres par la vaccination ! C'est un non-sens de faire ce mélange !
+ Le pass sanitaire ne dispense pas des masques et gestes barrières, précautions indispensables trop souvent négligées ou refusées dans des assemblées !
La seule grande utilité du pass sanitaire :
Cette utilité est enfin reconnue explicitement, à savoir d'inciter massivement les Français à se faire vacciner pour principalement éviter la saturation des lits de réanimation et ainsi permettre aux hôpitaux un fonctionnement normal pour les autres pathologies ! Ce désengorgement libérateur de lits et de personnels est conforme au plan toujours d'actualité de réduire les dépenses de santé à l'hôpital et ailleurs. La "disparition" cet été d'environ 13% des soignants, augmentée de plus de 3000 soignants mis à pied ou licenciés pourr absence de vaccination, n'a pas l"air d'inquiéter les Autorités de santé et les directions d'hôpitaux. L'annonce de la création de 2300 postes d'infirmières dans les EHPAD et Etablissements Médicalisés de Santé, pour assurer un suivi médical des patients "graves" de la Covid-219 va dans le sens du désengorgement des services de soins intensifs hospitaliers.
Acte V : la post vaccination
Progressivement l'absence de certitudes médicales et scientifiques ne peut plus être masquée.
La présence des anticorps due aux vaccins diminue avec le temps, à partir de 4 à 6 mois selon les vaccins.
Alors d'autres vagues sont possibles ou probables cet hiver, avec la prolongation des mesures dites de protection.
Donc une dose supplémentaire de vaccin est recommandée, d'abord pour les plus fragiles dont le système immunitaire n'est plus naturellement performant ; ensuite pour les autres !
Et le risque d'une pandémie à résurgence annuelle comme la grippe n'est pas exclu !
Le pire n'est pas inéluctable !!!
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