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L’électorat de gauche doit faire son deuil de François Hollande - Partie 2

Alors qu’au lendemain de l’élection de F. Hollande à la présidence de la République française, j’avais appelé de mes vœux l’électorat de gauche à faire le deuil du nouveau Magistrat suprême français, voici venu le moment du bilan de son premier mois d’exercice. Bilan révélateur de la mainmise de certains réseaux sur la République française, qui n’a de République que le nom.

Les quelques lignes prédictives portaient essentiellement sur trois points : l’Europe, le combat contre la finance, et la politique étrangère. Et à mon grand désespoir, ce qui n’était qu’anticipation est devenue réalité.

M. Hollande, contrairement à ses affirmations péremptoires, ne veut en aucun cas d’une nouvelle Europe, mais cherche au contraire à poursuivre vers la voie d’un fédéralisme européen, aux mains des mondialistes bruxellois pilotés depuis Wall Street[1]. Car pour le triste sire la solution passerait par des eurobonds. Eurobonds qui ne seraient qu’une mutualisation de la dette des pays européens, ou en langage plus clair, une tentative de gagner du temps face à l’effondrement programmé de toutes les économies du vieux continent.

Pour ceux qui s’attendaient à une remise en cause du mécanisme de l’usure au niveau étatique, il faudra attendre cinq années supplémentaires.

Rien d’étonnant dès lors à ce que ce Président d’opérette, dans son engagement contre le monde de la finance, ne s’attache les services de combattants de choix.

Emmanuel Macron, secrétaire général de l’Elysée, et Stéphane Israël, directeur de cabinet d’Arnaud Montebourg, tous deux brillants et anciens banquiers de la Banque Rothschild[2].

Le Général De Gaulle, en partance pour Londres en juin 1940, s’était-il attaché les services du Maréchal Pétain, et du socialiste collaborateur Pierre Laval, pour lutter contre le IIIème Reich ?

Enfin, concernant la politique étrangère, un durcissement de la ligne française vis-à-vis de la Syrie était envisagé. Ce vœux pieux a semble-t-il été exaucé plus que de raison. A la faveur du massacre de Houla, les Kommandanturs européennes va-t-en-guerre ont fait front pour s’indigner à qui mieux mieux de la barbarie du Président Assad. Mais une analyse fine et éclairée du dossier syrien amènera tout honnête gens à penser, que, loin de la défense droit de l’hommiste autoproclamée, c’est bien l’affliction et la désolation que souhaitent répandre nos gouvernements[3].

Face à ce carton plein, il est dès lors nécessaire de s’interroger sur les tenants et les aboutissants de cette succession dévastatrice. Après le deuil vient la reconstruction. Et cette reconstruction peut se faire si, et seulement si, nous ne perdurons pas dans les mêmes travers. Car derrière l’alternance politique mensongère qui nous est vendue, se cache une réelle continuité destructrice. Cette continuité porte un nom, celle des sayanims[4] Attali et Henri-Lévy. Des personnes en dehors de toute légitimité politique nationale, mais qui influencent scandaleusement la politique de nos gouvernements successifs.

Jacques Attali : une brève histoire de la domination.

Jacques l’Incontournable ! Jacques le Bien-pensant ! Jacques le conseiller d’Etat honoraire comme il se décrit lui-même[5]. Entendez par là, le gouverneur d’Etat rémunéré. Jacques Attali est le personnage inévitable de la vie politique française. Celui qui reste quand les gouvernements se succèdent. Conseiller spécial auprès du Président de la République de 1981 à 1991, donneur de bons points sous l’ère Chirac, conseiller technique de Sarkozy avec la Commission pour la libération de la croissance française, et enfin mentor du nouveau

Président F. Hollande[6], Jacques Attali représente l’immanence. Telle la Reine d’Angleterre incarnant la permanence de la royauté britannique, Jacques Attali illustre une permanence à sa façon.

Mais de qui ? De quoi ?

Alors qu’il ne cesse d’arpenter les plateaux télévisés pour culpabiliser les français sur la situation économique désastreuse de la France, ce tartuffe d’écrivain passe allègrement outre le fait qu’il n’a cessé de conseiller les divers présidents depuis 1981. Preuve qu’il n’est pas innocent dans la bérézina actuelle. Mais qu’importe, car dans les faits tout roule pour Jacques. Il n’y a qu’à lire son écrit « Une brève histoire de l’avenir » pour en être conforté. Dans cet ouvrage, M. Attali, en tant que représentant d’une élite mondialisée, prône la disparition des Etats-Nations. Ces Etats-Nations, sensés représenter la volonté des individus qui les composent, une volonté une et indivisible au-dessus des communautés, sont envisagés par M. Attali comme des hôtels[7]. Des lieux de passage pour nomades financiers, venant faire quelques affaires dans ces tristes contrées.

Ces Etats-Nations qui doivent disparaitre pour laisser les hommes gouvernés par des institutions financières, avec en tête de file les compagnies d’assurance, que M. Attali érige en grande maîtresse de nos futurs destins.

Un livre faisant l’apologie de l’esclavagisme 2.0, car dans ce monde tant vanté par M. Attali, les hommes n’auront le temps de rien, sinon de travailler de façon bête et méchante. De se déraciner pour s’employer là où la nécessité financière l’oblige, de rompre ses liens familiaux et amicaux pour devenir un vulgaire instrument, une donnée parmi tant d’autre que l’on change d’une colonne à l’autre. Dans cette éloge du nomadisme, M. Attali l’écrit clairement : la valeur la plus rare pour les citoyens lambdas ne sera plus l’or, ou l’argent, mais le temps. Et si nous n’avons plus le temps de vivre, que nous restera-t-il ?

Bernard-Henri Lévy, grand maître du Quai d’Orsay

Bernard, l’entarté républicain, est sans nul doute la personne la plus influente sur la politique étrangère française. Alors qu’il était passé, sans l’ombre d’une remarque journalistique, au-dessus d’Alain Juppé sur le dossier libyen, ce faussaire intellectuel, comme l’a si remarquablement décrit P. Boniface dans son dernier ouvrage[8], continue de pousser la France vers la voie de la déraison, et de la destruction internationale. Quand Bernard parle, gare aux oreilles non averties. Elles se retrouveraient très vite embarquées dans les pires abominations, sous prétexte Droit de l’Hommiste bien évidemment. Car ce petit être belliqueux n’aime pas la guerre en général paraît-il. Mais il l’aime quand il s’agit de financer, armer, et entraîner des extrémistes sunnites égorgeurs, adeptes du nettoyage ethnique. Il l’a fait en Bosnie. Il a récidivé en Lybie[9]. Et il donne actuellement tout pour la Syrie[10].

Car dans le durcissement prévisible de Hollande sur le dossier syrien, nul doute que Botul[11] Henri-Lévy a joué un rôle clef. Le Président Hollande aurait peut être pu écouter le grand Général français qu’est Vincent Desportes, où bien le brillant géopoliticien Gérard Chaliand[12], sur la complexité du dossier syrien. Etudier les tenants et les aboutissants. L’imbrication des intérêts dans la région. Mais le Président français, préfère continuer dans la politique du pire. Celle vantée par BHL, poussant à implanter des extrémistes islamistes dans les pays jouxtant Israël[13]. On voit mal où se situe l’intérêt pour les israéliens du quotidien dans une telle démarche. Mais quand on connait les projets loufoques défendus par une certaine élite israélienne, profondément religieuse, la clarté chasse le questionnement[14]. Quoi de mieux pour instituer le Grand Israël biblique[15], que de s’entourer de fanatiques extrémistes islamistes. Quoi de mieux que de chasser les rescapés laïques du Moyen-Orient, pour justifier une guerre défensive sur le papier, mais d’expansion dans la réalité.

Voila ce qui a du se décider lors du diner « off the record »[16], entre le nouveau Président et l’éternel ministre des affaires étrangères : la confirmation de l’engagement de Hollande sur la pacification de la Syrie, et partant de là, l’alignement de la France sur une politique destructrice, véhiculée par une frange sioniste, dont les agissement se rapprochent jour après jour de ceux perpétrés lors des heures les plus sombres de notre histoire.

Le réveil français est aujourd’hui nécessaire. La République une et indivisible, au dessus des communautés n’est qu’une fumisterie. Nous devons opérer en France un rééquilibrage communautaire, pour que l’universalisme français redevienne un exemple. Pour que cette 3ème voie française vantée par le grand Charles, cette entente paisible et équilibrée entre Nations, se réalise. Pour que ce qui a pu être écrit un jour dans le marbre de 1789, passe enfin de la déclaration de principe à l’action.


[14] Voir à ce sujet, la montée en puissance de Moshe Feiglin au sein du Likoud, parti de droite en Israël


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17 réactions à cet article    


  • Maurice Maurice 8 juin 2012 11:01

    J’attends tout particulièrement les commentaires des messieurs Fergus, krys-prolls, et Traroth, qui m’avait dit dans la première partie de cet article, que j’allais vite en besogne.
    J’avais juré de manger mon chapeau si Hollande se révélait être ce Grand président, porteur de changement. Force est de constater qu’il est encore solidement vicé sur mon crâne...


    • Maître Yoda Castel 8 juin 2012 11:58

      Deux natifs du scorpion influencent lamentablement la politique et l’opinion, c’est triste
       smiley
      Il faudrait un jour que je fasse un article sur ce sujet histoire de mettre les choses au clair.


      • Maurice Maurice 8 juin 2012 13:03

        Bonjour Castel,

        j’attends avec impatience la description du pendant astrologique des deux tartuffes !

        Bonne journée


      • alinea Alinea 8 juin 2012 22:01

        Je suis scorpion, et je conchie ces deux-là, alors, dans votre étude, ne généralisez pas trop ! Merci !


      • Maurice Maurice 8 juin 2012 22:13

        Bonsoir Alinéa,

        ne vous inquiétez pas l’amalgame ne pourra être fait. Ces deux spécimens sont uniques, et mériteraient un signe astrologique à eux tout seul. Je verrai bien l’anguille pour le calendrier chinois...

      • Maître Yoda Castel 9 juin 2012 16:16

        Bonjour,
        Ce n’était pas du tout une généralité. Le scorpion a le sens de ce qui est caché, comme par exemple Coluche qui voulait dénoncer les magouilles des politiciens. De l’autre coté, celui du pouvoir médiatico- politique, il y a quand même Mitterrand, BHL et Attali. 4 scorpions, 4 personnes qui prennent les armes d’influencent les plus puissantes (les médias notamment). En astrologie, le scorpion est le symbole du fonctionnement sexuel masculin, celui qui prend un plaisir instinctif (puissance et position) à transformer les choses. Ce n’est ni bon ni mauvais. C’est en plus un signe fixe, qui aime perdurer. Mitterrand a tenu au pouvoir jusqu’à la fin.


      • Guy BELLOY Guy BELLOY 8 juin 2012 12:27


        Je n’ai pas lu la 1ère partie de votre article mais il me semble que vous devriez attendre que le nouveau paysage politique se dessine (législatives) pour commencer à critiquer.
        Et faire dans l’outrance « Le Général De Gaulle, en partance pour Londres en juin 1940, s’était-il attaché les services du Maréchal Pétain, et du socialiste collaborateur Pierre Laval, pour lutter contre le IIIème Reich ? »contribue à vous décrédibiliser.

        F.Hollande a clairement affirmé « Une intervention armée (en Syrie) n’est pas exclue à condition qu’elle se fasse dans le respect du droit international, c’est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité » de l’Onu«  tout en ajoutant :  »Nous devons trouver une autre solution. C’est pourquoi je réunirai au début du mois de juillet la Conférence des amis de la Syrie« , c’est-à-dire »tous ceux qui ont la même vocation, le même objectif (...) chasser ce régime-là". 
        http://www.france24.com/fr/20120529-france-hollande-intervention-armee-syrie-mandat-onu-russie-chinois-bachar-assad



        • Maurice Maurice 8 juin 2012 13:01

          Bonjour Monsieur Belloy,

          Merci pour votre commentaire.
          Je ne pense pas que les législatives vont changer beaucoup de choses. M. Hollande aura sa majorité et il pourra pleinement mettre en oeuvre sa politique.

          Je ne pense pas faire dans l’outrance par ma référence au Général. Bien au contraire. Même si nous ne sommes pas dans une guerre conventionnelle, nous sommes en guerre économique. Le président l’avait d’ailleurs affirmé clairement : mon ennemi est la finance. Si on désigne un ennemi, c’est que nous en sommes en guerre... Or, mettre deux « brillants » banquiers de la Rotschild à des postes clé, montre bien la forfaiture du sieur Hollande et de son gouvernement. Surtout celui de directeur de Cabinet du ministère du redressement économique : pour favoriser le productif, donc le sédentaire, il ne me semble pas opportun de placer des gens pour qui la prédation financière est gage de réussite...

          Ainsi, je ne sais qui est le plus décridibilisé entre Hollande ou moi...

          Concernant les amis de la Syrie. Monsieur Hollande est sur une position clairement belliqueuse vis à vis du régime d’Assad. Je ne dis pas que ce dernier est un grand démocrate, mais j’affirme clairement sans états d’âme, que les résistants syrien sont des terroristes. Vous n’avez cas lire mon dernier article à ce sujet (Syrie-France : quand les rôles sont inversés). Il me tarde de voir cette conférence des « amis de la Syrie ». Je pense qu’il s’agira davantage de la conférence des « amis terroristes de la Syrie ». Une grande exposition médiatique sera donnée à la dame du CNS, et pas grand chose pour ce qui est du gouvernement Assad. J’atetnds toujours que les médias français relaye les dizaines de massacres perpétrés par « l’armée syrienne libre », les nombreux attentats et voitures piégés dont sont vicitmes les cadres du régime d’Assad depuis un an.

          Ne comprenez vous pas où sont les véritables influences de Hollande. Attali ? BHL ? C’est quand même le sujet principal de l’article, j’aurais bien aimé que vous apportiez votre opinion la-dessus.

          Bonne journée


        • Maurice Maurice 8 juin 2012 13:20

          Monsieur Belloy,

          Pour compléter ma réponse au sujet de la Syrie. Voici la composition de la « Conférence des amis de la Syrie » :
          - Tunisie
          - Maroc
          - Canada
          - Etats-Unis
          - France
          - Qatar
          - Syrie : porte parole de l’opposition Basma Kodmani
          - Turquie
          - Arabie Saoudite
          -
          UE

          Cette conférence est une vaste blague, monsieur. C’est plus un Conseil de Guerre qu’autre chose. Une fois de plus je me permet de vous conseiller de lire mon dernier article au sujet de la Syrie, pour voir les différentes forces en présence, et les interventions de chaucun dans la région. Je sais que nous sommes mal informé sur la question, car la propagande médiatique marche à plein régime, mais je peux vous garantir que nous ne portons pas fièrement l’étendard des droits de l’homme la-bas. Bien au contraire

          Bonne journée


        • leypanou 8 juin 2012 14:35

          @Maurice :

          Si on connait tant soit peu le parcours du nouveau président (HEC plus ENA, FAF, 10ans premier secrétaire du PS, introduit puis adoubé par J Attali) on ne peut pas s’étonner.

          En politique étrangère, le PS lui-même est truffé d’« amis » du pays qui vous savez, et pas comme colleurs d’affiche. Donc, l’alignement à 100% sur l’atlantisme ne peut être étonnant, c’est plutôt le contraire.

          En économie, avec celui qui a la charge des finances et celui au travail : c’est le social-libéralisme dans toute la splendeur.

          En « sécurité intérieure », le grand copain de l’expert français en sécurité A B ne peut qu’aller dans la droite ligne indiquée (pour se renseigner un peu plus, cf le livre Les marchands de la peur, ou encore sur d’autres sites genre alter...)

          Si on y rajoute celle qui a en charge la santé, la privatisation de la santé n’a aucune crainte à avoir : je n’ai jamais entendu que les franchises vont être supprimées (le prétendu encadrement des dépassements d’honoraires n’est qu’une broutille par rapport à ce qui devrait fait) ou encore les doubles consultations dans les hopitaux publics où le pékin lambda doit attendre des mois en public pour un rdv mais celui qui peut payer rubis sur ongle seulement quelques jours).

          Bref, ce n’est pas les quelques postes plus ou moins bidons donnés à des personnes comme B Hamon qui vont changer grand-chose.


          • Maurice Maurice 8 juin 2012 15:41

            Bonjour leypanou,

            merci pour votre commentaire. Vous savez je ne suis pas étonné. Effectivement on aurait pu aller encore plus loin, pour appuyer la nécessité du deuil de FH, mais je me suis limité aux deux margoulins qui me semblaient symboliques ... Il serait temps que l’électorat du PS se réveille parce qu’ils vont tomber de haut les pauvres...

            Bonne journée


          • alinea Alinea 8 juin 2012 22:11

            Maurice : avez-vous eu le bonheur insigne de lire Jean-Claude Michéa ?
            « Le complexe d’Orphée » est pas mal pour éclairer l’histoire du socialisme ; « la double pensée » est bien aussi ...
            Quand on l’a lu ( s’il répond naturellement à quelques inclinations personnelles), on n’est pas déprimé, on n’est pas désabusé ..mais, sûr, on ne s’attend plus à rien !


            • Maurice Maurice 11 juin 2012 09:58

              Bonjour Alinea,

              je n’ai pas lu ce livre. Mais je vais m’y intéresser de ce pas ! Merci pour le conseil...

              Bonne journée


            • molloy molloy 9 juin 2012 01:35

              Je préfère aller dans le mur avec F. Hollande plutôt qu’avec l’ex petite frappe de l’Elysée. L’effet sera le même mais cela aura un peu plus de tenue. smiley


              • Maurice Maurice 11 juin 2012 10:00

                Bonjour molloy

                Pour cela vous avez raison. Et puis de toute façon Nicolas Sarkozy méritait d’être punis pour avoir cocufié à ce point les français, et notamment l’électorat gaulien. Mais pour François Hollande, c’est vrai que le retour de baton va faire mal. Gare à l’effet kisscool !

                Bonne journée


              • Francis, agnotologue JL1 9 juin 2012 08:16

                Tout à fait d’accord avec cet article.

                Hollande n’est pas moins que Sarkozy, le candidat du système. Mais la grosse différence, c’est qu’il y met les formes.

                "Nicolas Sarkozy croit que plus la société va mal et moins le risque social est grand" (D. De Villepin, FI 18/12/08) (C’est l’illustration de « La stratégie du choc ».)

                Sarkozy avait entrepris de nous mener au pas de charge vers le chaos libéral. Il y avait urgence à l’arrêter. Dont acte. Demain, un seul vote possible : le Front de Gauche.

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