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Abolir la fraude fiscale : Projet d’Abolition de toute Fiscalité d’État et de Refondation du Capitalisme financées par l’Épargne

L'affaire des Panama Papers démontre la permanence de la FRAUDE FISCALE dans le monde ainsi que le fait que le cabinet d'avocats Mossack Fonseca ne représente que la partie involontairement émergée de l'iceberg.
Dans l'état actuel de leur législastion, les États s'astreignent à récupérer leur dû, à savoir la fiscalité devant frapper tous les capitaux.
Mais, si disparaissait la Fiscalité d'État, plus personne ne serait tenté par l'évasion des capitaux pour échapper à l'impôt.

 

1.Abolition de toute Fiscalité d'État

1.1.Introduction

En 2001, tous impôts et taxes confondus, les 60 millions de Français(es) ont payé 300 milliards d'Euros pour financer le budget de l'État (soit un budget de 5.000 Euros par an et per capita).

Et, ceci, à fonds perdus puisque cela recommence chaque année depuis des siècles.

En 2001, si les Français(es) avaient disposé d'un Fonds Souverain (FS) de 7.500 milliards d'Euros qui aurait généré un dividende annuel de 4 %, ce FS aurait produit les 300 milliards d’Euros nécessaires au financement du budget de l'État sans qu'il en coûtât un centime aux contribuables.

De plus, les Français(es) auraient préservé, conservé, 300 milliards d’Euros de pouvoir d'achat.

Il est parfaitement possible de générer un tel Fonds Souverain.

1.2.Mécanisme de recapitalisation

Les « Nantis » (patrimoines allant d’un million à plusieurs dizaines de milliards d’Euros ; environ 10 millions de personnes, soit 0,17% de la population mondiale), accroissent leurs fortunes, bon an, mal an, en recapitalisant une part (majeure ?) des profits réalisés annuellement par leur capital investi dans l'économie réelle marchande.

Il est parfaitement possible d’illustrer ce mécanisme de base, simple dans son principe, en prenant comme exemple non pas une personne privée (elles sont trop rares à parler ouvertement et clairement de leur fortune) mais en citant une institution mondialement connue, la Fondation Nobel qui fonctionne ainsi depuis plus d’un siècle (sans avoir connu de malversations financières).

La Fondation Nobel résulte de la volonté testamentaire d’Alfred Nobel qui, il y a déjà un siècle, fit don d’une part de sa fortune sous réserve de fructification de manière à ce qu’une partie des revenus issus de ce capital permette d’attribuer les cinq célébrissimes Prix Nobel (six, si l’on y ajoute le Prix Nobel d’Économie, institué et financé par la Banque Nationale de Suède, en 1968) et qu’une autre partie soit recapitalisée.

Au cours des années 1990‑1999, la Fondation Nobel a atteint une recapitalisation annuelle nette supérieure à 7 % en intérêt composé annuel sur 10 ans (exactement : 7,665 %). Son capital de 1,5 milliard de Couronnes suédoises, sous forme d’actions (57 %), d’obligations (37 %) et d’immobilier (6 %), s’en est trouvé doublé, passant à 3,1 milliards (303 millions d’Euros ; 1 Couronne suédoise = 0,0977199915 Euro).

Par ailleurs, il convient de savoir que, durant cette période de 10 ans, les prix attribués par la Fondation Nobel n’ont représenté que 9 % des profits issus de ses placements tandis que les frais de gestion de la fondation furent de 20 %. Ainsi, la Fondation Nobel a recapitalisé 71 % de ses profits.

Ces résultats, provenant tout simplement du mécanisme fondamental d’enrichissement des Nantis, constat d’une réalité tangible, demeurent applicables au concept de génération d'un Fonds Souverain.

Ainsi, sur la base du mécanisme de fonctionnement de la Fondation Nobel, il serait souhaitable d'être en capacité de mettre en œuvre un mécanisme de création et d’accumulation de capital, un Fonds Souverain qui, à terme, apporterait la possibilité d'abolir toute Fiscalité d'État.

1.3.Modalités de constitution du Fonds Souverain

Pour constituer ce Fonds Souverain Français (FSF), il conviendrait que les Français(es) décident, par référendum, d'un effort soutenu d'Épargne minimale à raison d'un Euro par jour et per capita, soit 365 Euros par an et per capita pendant cinquante ans. Soit 21,900 milliards d’Euros pour 60 millions d’habitants, aujourd’hui, et 25,550 milliards d’Euros pour une population de 70 millions d’habitants en 2050.

La collecte de l'épargne peut être calquée sur celle de l'impôt sur le revenu : les exemptés le demeureront.

Répartition : pour chaque foyer fiscal, calcul du pourcentage de l'impôt 2013 sur le revenu (62,241 milliards d'€) et application de ce pourcentage sur 24,090 milliards d'€/an. Globalement arrondi 65 / 25 = 2,6 => la participation de chaque foyer à l'épargne annuelle sera 2,6 fois inférieure à son impôt. Impôt 2.600 € = Épargne 1.000 €).

Par parenthèse, un foyer payant un impôt de 949 € participera à l'épargne pour le minimum annuel prévu de 365 €.

Le problème du financement de la période d’épargne peut paraître insurmontable. Mais, les Français disposent de plus de ressources qu’il y paraît. Tout d’abord, chaque année, les Français épargnent, en moyenne, 15 % de leurs revenus. Au-delà de cela, il convient de rappeler que, chaque année, les Français misent plus de 20 milliards d’Euros dans des jeux de hasard (soit quasiment les 21,900 milliards d’Euros nécessaires en première année de la phase d’épargne).

Concernant le taux annuel de rentabilisation du Fonds Souverain Français, nous avons retenu celui calculé par Jacques Marseille, historien de l’économie, décédé début 2010, dont les travaux démontrent que, depuis 1903, le rendement de la bourse s’établit à 4 % par an, dividendes inclus et net d’inflation.

Aux apports en capital (C), s'ajouteront des dividendes annuels de 4 % (R) et seront déduits des frais de gestion (FG)1 de 25 % des dividendes annuels (R), soit 1 % de (C). C'est-à-dire que les trois-quarts des dividendes annuels seront réinvestis.

En 2050, au terme de 50 ans d'épargne, le Fonds Souverain Français s'élèvera à près de 3.000 milliards d'Euros investis dans l'économie réelle marchande, banques incluses (la capitalisation actuelle du CAC 40 est d'environ 1.300 milliards d'Euros).

En 2065, sur la base de 5.000 Euros per capita et compte tenu de l'augmentation de la population, le Budget de l'État sera de 367 milliards d'Euros annuellement.

À cette date, les dividendes annuels du capital investi (près de 4.500 milliards d'Euros) seront de 186 milliards d'Euros dont 50 %, 93 milliards, seront réinvestis et 50 % seront affectés au financement du Budget de l'État. En conséquence, la Fiscalité directe ou/et indirecte sera réduite de 25 %.

Toujours sur ces bases, en 2108, le Fonds Souverain Français se situera à 10.875 milliards d’Euros et la Fiscalité directe ou/et indirecte sera réduite de 50 %2.

En 2133, le Fonds Souverain Français se situera à 17.623 milliards d’Euros et la Fiscalité directe ou/et indirecte sera réduite de 75 %3.

En 2151, le Fonds Souverain Français se situera à 25.085 milliards d’Euros et la Fiscalité directe ou/et indirecte sera réduite de 100 %4.

Durant les années suivantes, les dividendes annuels du Fonds Souverain Français permettront l'accroissement du Budget annuel de l'État au-delà de 5.000 Euros per capita sans qu'il en coûte un centime au citoyen-électeur qui ne sera plus contribuable !

De plus, dans les décennies suivantes, selon le même schéma que précédemment, le Fonds Souverain Français permettra l'Abolition progressive des impôts et taxes régionaux(collectivités territoriales).

2.Avantage collatéral de la constitution du Fonds Souverain Français

2.1.Refondation du Capitalisme

Précédemment, nous avons déjà utilisé les travaux de Jacques Marseille, historien de l’économie, qui a calculé que, depuis 1903, le rendement de la bourse s’établit à 4 % par an, dividendes inclus et net d’inflation.

Si l’on table sur un tel rendement pour le siècle à venir, les cinquante années d’investissement du Fonds Souverain Français généreront, en 2056, un capital cumulé de 3.605 milliards d’Euros, soit 10 % de la capitalisation boursière mondiale actuelle.

En 2170, ce capital cumulé s’élèvera à 36.536 milliards d’Euros, soit l’équivalent de la capitalisation boursière mondiale actuelle (il est quasi impossible d’évaluer à combien s’élèvera la capitalisation boursière mondiale en 2170).

Des prises d’intérêt d’un tel montant dans le capital des entreprises permettront d’influer sérieusement sur leurs stratégies et sur leurs politiques. À l’heure où l’on aspire à des « entreprises citoyennes », il semble que rien ne sera plus « citoyen » que l’influence que pourra avoir un tel Fonds Souverain Français privé géré de manière collective, associative, sur les entreprises.

Cet effort soutenu d’épargne et d’investissement à long terme, afin d’acheter ce capital financier des entreprises, banques incluses, permettra l’Acquisition Citoyenne et Collective du Pouvoir Économique.

Alors, les citoyens-électeurs-(contribuables) deviendront collectivement propriétaires du Pouvoir Économique qu’ils géreront via une représentation démocratiquement élue et absolument indépendante de l’État.

Par cette voie, les citoyens-électeurs-(contribuables) transformeront le capitalisme ordinaire que nous connaissons en un Capitalisme intrinsèquement Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.

En effet, de telles prises de participation (minorités de blocage ou majorités absolues) dans le capital des entreprises, banques incluses, permettraient aux peuples d’orienter leur Recherche & Développement vers des voies bien plus écologiques et humanistes qu’aujourd’hui.

Ce Fonds Souverain Français, sorte de coopérative-capitaliste, serasolidairement et collectivement géré par une structure spécifique, indépendante de l’État et représentative des citoyens-électeurs-(contribuables).

2.2.Fonds Souverain Français Virtuel : Bilan 2001 – 2014

Chers Sociétaires, Français(es),

En 2001, par référendum, vous avez décidé de vous astreindre à un effort collectif d'épargne de 1 Euro par personne et par jour, soit 365 Euros par personne et par an. Cela représentait un montant total annuel de près de 22 milliards d'Euros pour une population de 60 millions d'habitants. Cette somme a été collectée de manière proportionnelle parallèle à la collecte de l'impôt sur les revenus.

Par le même référendum, vous avez également décidé la création du Fonds Souverain Français (FSF), que j'ai l'insigne honneur de présider, où vous êtes démocratiquement représentés au sein de l'Assemblée Générale que vous avez élue.

Le Fonds Souverain a pour objet de collecter votre épargne annuelle et de l'investir dans l'économie réelle marchande, banques incluses, afin de la faire fructifier. Les profits annuels, les dividendes, sont systématiquement réinvestis (déduction faite des frais de fonctionnement du Fonds Souverain) afin d'optimiser l'accroissement du Fonds Souverain.

En effet, l'objectif premier est de constituer un Fonds Souverain collectif, un fonds souverain indépendant de l'État, devant atteindre une taille critique en détenant un maximum de majorités absolues, ou de minorités de blocage, dans le capital des entreprises, banques incluses, de l'économie réelle marchande. Parvenue à cette taille critique (et même avant) le Fonds Souverain sera en mesure d'influer sur les stratégies des entreprises ce qui constituera une Refondation du Capitalisme.

En 14 ans, de 2001 à 2014 inclus, les sociétaires du Fonds Souverain ont épargné 420 milliards d'Euros en capital qui a produit 107 milliards d'Euros de dividendes dont 84 milliards d'Euros, après déduction de 23 milliards d'Euros de frais de fonctionnement du Fonds Souverain (25 % des dividendes annuels), ont été réinvestis. En moyenne annuelle, la rentabilisation du Fonds Souverain a été de 4 % conformément au plan de marche établi en 2001.

Pour ses investissements, le Fonds Souverain a spécifiquement ciblé le CAC 40 français qui, aujourd'hui, s'élève à près de 1.300 milliards d'Euros, soit une majorité absolue théorique de 650 milliards d'Euros. Pour 2014, le CAC 40 a dégagé 46 milliards d'Euros de dividendes (3,57 % de sa capitalisation) plus 10 milliards d’Euros au titre des rachats d'actions (0,78 %).

Le Fonds Souverain dispose de 420 milliards d'Euros, soit 32 % de la capitalisation totale du CAC 40 et près de 65 % de sa majorité absolue. C'est à dire que, via ses représentants dans les Conseils d'Administration des entreprises concernées, le Fonds Souverain exerce déjà une sérieuse influence sur les stratégies de ces entreprises.

Nous pouvons nous satisfaire de ces résultats et espérer que les résultats futurs suivent la ligne de marche tracée en 2001. Si notre plan de marche originel peut être respecté dans les prochaines années, vous posséderez 52 % du capital des entreprises du CAC 40, soit donc la majorité absolue, en 2020.

Le Président du Fonds Souverain Français (FSF)
19 février 2015

3.Programme du Parti Capitaliste Français

3.1.Objectif Principal :

Le Programme du Parti Capitaliste Français a pour objectif principal d'abolir toute Fiscalité d'État et de refonder le Capitalisme, de générer un Capitalisme intrinsèquement Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.

3.2.Objectifs Spécifiques :

Pour atteindre son objectif principal, le Parti Capitaliste Français doit atteindre, successivement, plusieurs objectifs spécifiques.

  1. Obtenir une majorité parlementaire de gouvernement (ou faire partie d’une coalition parlementaire de gouvernement s’engageant à réaliser l’objectif principal et les objectifs spécifiques du Parti Capitaliste Français).

  1. Soumettre à référendum la création d’un Fonds Souverain Français dont la tâche consistera à gérer toutes les participations financières de l’État dans des entreprises publiques et privées (banques incluses).

  1. Voter l’exonération de ce Fonds Souverain Français en matière de tous impôts et taxes sur ses résultats financiers afin d'optimiser et d'accélérer le développement de cette entité en charge d'une mission de service public. Cette exonération devra faire l'objet d'une demande de dérogation exceptionnelle au principe de la libre concurrence de la part de l'Union Européenne ou/et d'instances internationales telles que l'OMC, par exemple.

  2. Voter simultanément le financement annuel de ce Fonds Souverain Français, pendant une durée de cinquante ans, à concurrence d’une moyenne de 365 Euros par citoyen français (soit 21,900 milliards d’Euros pour 60 millions d’habitants, aujourd’hui, et 25,550 milliards d’Euros pour une population de 70 millions d’habitants en 2050).

3.3.Statut du Fonds Souverain Français

Cette entité aura un statut de coopérative (avec tous les aménagements nécessaires). Toutes les citoyennes et tous les citoyens majeurs en seront automatiquement sociétaires et détiendront le pouvoir électif sur la base de « 1 citoyen = 1 voix » pour désigner les personnes destinées à constituer les instances dirigeantes.

Tout mandat électif au sein du Fonds Souverain Français sera exclusif.

Les détenteurs d’un mandat politique ne pourront être éligibles à un mandat électif au sein du Fonds Souverain Français que pour autant que leur mandat politique aura échu depuis une période au moins égale à la durée dudit mandat politique.

3.4.Objectif du Fonds Souverain Français

L’objectif du Fonds Souverain Français sera quadruple.

  1. Il devra gérer, de la manière la plus profitable qui soit, toutes les participations dans les entreprises publiques (privatisées, de facto) et privées qui lui seront transférées par l’État.

  2. Chaque année, il devra investir les fonds qui lui seront alloués par ses sociétaires de manière à prendre de nouvelles participations minoritaires (minorité de blocage au minimum) ou majoritaires dans des entreprises (banques incluses) présentant, à court, moyen et long terme, des perspectives de profits financiers raisonnables.

  3. Pendant la phase de capitalisation de cinquante ans, et au-delà, le Fonds Souverain Français recapitalisera et réinvestira, chaque année, l’ensemble de ses profits de manière à accroître et accélérer sa rentabilité.

  4. Lorsque ses capitaux accumulés et ses profits annuels parviendront à leur masse critique, le Fonds Souverain Français, d’une part, recapitalisera et réinvestira 50 % de ses profits annuels et, d’autre part, consacrera 50 % desdits profits à une participation au budget de l'État qui, en contrepartie, réduira strictement d'autant la Fiscalité imposée aux Français(es).

4.Conclusion :

Ce Projet de Fonds Souverain Français redonnera, annuellement, plusieurs centaines de milliards d'Euros de pouvoir d'achat aux Français(es) et leur apportera, en 33 ans, le contrôle de l'économie réelle marchande dans un cadre capitaliste humanisé et débarrassé de la « Lutte des Classes ».

En attendant que le Fonds Souverain Français produise ses premiers effets, réduction de 25 % de la Fiscalité, en 2065,  :l'État peut, dès maintenant, entreprendre une ambitieuse réforme fiscale.

5.Postface

5.1.Europe & autres Pays Développés

L'abolition de toute fiscalité d'État et la refondation du capitalisme proposées par le Parti Capitaliste Français est réalisable en Europe ainsi que dans tous les autres pays développés.

Sur les mêmes hypothèses de départ, le bilan en serait exactement le même en termes de calendrier et de résultats financiers.

5.2.Pays en Voie de Développement & Pays Émergents

L'abolition de toute fiscalité d'État et la refondation du capitalisme proposées par le Parti Capitaliste Français est également réalisable dans les Pays dits en Voie de Développement (PVD), pays dits « en développement », ainsi que dans les Pays Émergents.

Cependant, dans tous ces pays, la population pauvre est si nombreuse (près de 5 milliards) qu’il est fort probable qu’elle ne puisse financer les cinquante années d’épargne à raison de 1 Euro per capita et par jour, soit 365 Euros par an5 quand bien même on tiendrait compte d’une participation proportionnelle aux revenus accompagnée d’une certaine progressivité.

On constate que, chaque année, la Communauté Internationale des Pays Développés « investit » plus de 100 milliards d’Euros (20 Euros par capita annuellement) au titre de l’Aide Publique au Développement (APD) (Économique ?) de ces pays et que ces « investissements » se transforment en pur gaspillage intégral depuis les Indépendances, soit 50 ans environ.

En conséquence, ladite Communauté Internationale des Pays Développés devrait consentir à leur consacrer, annuellement, un supplément de 100 milliards d’Euros pour réaliser ce Projet d'abolition de toute fiscalité d'État et de refondation du capitalisme.

= = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = 

RÉFÉRENDUM VIRTUEL

En guise de sondage d'opinion, vous pouvez exprimer vos deux votes, en autres choses, dans un commentaire à cet article.

Première Question :

Acceptez-vous la réalisation du Projet d'Abolition de toute Fiscalité d'État et de
Refondation du Capitalisme financées par l’Épargne ? OUI NON

Deuxième Question :

Acceptez-vous de rémunérer 66 millions d'Euros le créateur de ce projet ? OUI NON

66 millions d'Euros (1 Euro par Français-e), une fois pour toutes et exemptés de toute fiscalité en première année6,
= 0,265 % de la première annuité d'épargne de 24,9 milliards d'Euros (365 Euros/an/per capita x 66 millions d'habitants).

Nota bene :
Les questions 1 et 2 sont absolument indépendantes l'une de l'autre.

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Post-scriptum :

Le créateur de ce projet se doit d'être fortuné, fortune investie dans le Fonds Souverain Français, de manière à pouvoir financer de très nombreux voyages et séjours dans les pays dits « en développement » afin d'y entreprendre, enfin, le vrai combat en faveur de la Sécurité Alimentaire.

En effet, en dépit de (milliers de) milliards d'Euros « investis », gaspillés, dans le cadre de l'Aide Publique au Développement (APD)[Économique ?] dans ce combat, depuis les Indépendances, dans les années 1960, aucun progrès n'a été réalisé en ce domaine.

Par exemple :
Sécurité Alimentaire, Commercialisation des Produits Vivriers dans les PVD : La question qui ne se posa jamais !
http://www.sincerites.org/2014/03/securite-alimentaire-commercialisation-des-produits-vivriers-dans-les-pvd-la-question-qui-ne-se-posa-jamais.html
Si vous rencontrez des difficultés à ouvrir le fichier ci-dessus, copiez son url et collez-la dans votre navigateur.

1 Ces frais de gestion seront plafonnés à 12 milliards d'Euros à partir de 2032.

2 Avec, année après année, tous les pourcentages intermédiaires de 25 % à 50 %.

3 Avec, année après année, tous les pourcentages intermédiaires de 50 % à 75 %.

4 Avec, année après année, tous les pourcentages intermédiaires de 75 % à 100 %.

5 N.B. : 5 milliards d’habitants x 365 Euros par an = 1.825 milliards d’Euros par an ! ! !

6 À partir de la deuxième année : imposition des dividendes produits par le capital.

 


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23 réactions à cet article    


  • Jo.Di Jo.Di 9 avril 2016 15:23

    Vous oubliez les droits de l’homme (acquis de la gauche) 1793
     
    Article 16
    Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
     
    Article 8
    La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.
     
    et celui là qui est le droit de l’ubériser pour info :
     
    Article 17
    Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens.


    • Jo.Di Jo.Di 9 avril 2016 18:42

      J’oubliais, l’article 17 des droits de l’homme (pauvre) lui permet de louer son utérus, son vagin, son anus et de vendre ses organes (à celui de gauche)
      C’est un droit naturel indispensable comme l’expliquait déjà Marx :
       
      « L’homme tel qu’il est membre de la société bourgeoise, l’homme non politique, apparaît nécessairement comme l’homme naturel. Les ‘droits de l’homme’ prennent l’apparence des ’droits naturels’, car l’activité consciente se concentre sur l’acte politique. L’homme égoïste est le résultat passif, simplement donné, de la société décomposée, objet de la certitude immédiate, donc objet naturel. La révolution politique décompose la vie bourgeoise en ses éléments, sans révolutionner ces éléments eux-mêmes et les soumettre à la critique. Elle est à la société bourgeoise, au monde des besoins, du travail, des intérêts privés, du droit privé, comme à la base de son existence, comme à une hypothèse qui n’a pas besoin d’être fondée, donc, comme à sa base naturelle. Enfin, l’homme tel qu’il est, membre de la société bourgeoise, est considéré comme l’homme proprement dit, l’homme par opposition au citoyen, parce que c’est l’homme dans son existence immédiate, sensible et individuelle, tandis que l’homme politique n’est que l’homme abstrait, artificiel, l’homme en tant que personne allégorique, morale. L’homme véritable, on ne le reconnaît d’abord que sous la forme de l’individu égoïste, et l’homme réel sous la forme du citoyen abstrait.
      Cette abstraction de l’homme politique, Rousseau nous la dépeint excellemment :
      Celui qui ose entreprendre d’instituer un peuple doit se sentir en état de changer, pour ainsi dire, la nature humaine, [ça c’est pour Chouard] de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solidaire en partie d’un plus grand tout, dont cet individu reçoive, en quelque sorte, sa vie et son être, de substituer une existence partielle et morale à l’existence physique et indépendante. Il faut qu’il ôte à l’homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères et dont il ne puisse faire usage sans le secours d’autrui.’ (Contrat social, livre II.) » 

      La question juive


    • Clark Kent M de Sourcessure 9 avril 2016 15:50

      Etes-vous minarchiste ou anarcho-capitaliste ?


      • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 16:01

        @M de Sourcessure

        Je tente d’être Capitaliste & Humaniste.

      • foufouille foufouille 9 avril 2016 16:25

        Les Prix Nobel ne seront pas épargnés par la cure d’austérité cette année. Les lauréats qui se verront décerner en décembre la prestigieuse récompense recevront une somme inférieure de 20% à celle de leurs prédécesseurs, a annoncé la Fondation Nobel ce mardi. Ce « coup de pouce » financier atteindra tout de même environ 8 millions de couronnes suédoises, soit 903.400 euros. Depuis 2001, les lauréats, jusqu’à trois par prix, se partageaient 10 millions de couronnes suédoises.

        « Cette mesure est nécessaire pour éviter de mettre en péril son capital sur le long terme », estime la Fondation Nobel dans un communiqué. La mission de l’institution est d’assurer « la perpétuité » de la remise des prix en toute indépendance. Or, les perspectives économiques se sont dégradées, précise aujourd’hui la fondation. De plus, ses dépenses de fonctionnement ont été, ces dix dernières années, supérieures au rendement de son capital. Les coûts administratifs et d’organisation de la cérémonie de remise des prix seront donc, eux aussi, revus à la baisse.

        les jeux ont un gain possible immédiat et souvent même petit. un placement rapporte chaque année, au mois le plus souvent.


        • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 16:37

          @foufouille
          1)
          un communiqué. : page not found
          2)

          Cette mesure est étonnante car le montant des prix demeure très en-deçà des dividendes annuellement recapitalisés par la Fondation Nobel.
          "
          Par ailleurs, il convient de savoir que, durant cette période de 10 ans (1989-1999), les prix attribués par la Fondation Nobel n’ont représenté que 9 % des profits issus de ses placements tandis que les frais de gestion de la fondation furent de 20 %. Ainsi, la Fondation Nobel a recapitalisé 71 % de ses profits."
          En économie, rien n’est jamais définitivement acquis...


        • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 16:49

          @foufouille
          « les jeux ont un gain possible immédiat et souvent même petit. un placement rapporte chaque année, au mois le plus souvent. »

          Pouvez-vous être plus clair ?



        • foufouille foufouille 9 avril 2016 17:21

          @Jean-Pierre Llabrés
          http://www.lefigaro.fr/argent/2012/06/12/05010-20120612ARTFIG00440-les-prix-nobel-sont-aussi-victimes-de-la-crise.php
          oubli du lien.
          je cherche comment est placé cet argent en fait.
          si les gens jouent aux jeux et pour certains sont accro, c’est qu’ils ne savent pas que le grattage est un peu truqué. les faibles gains sont assez gagnés et les autres affichés sur la vitrine.
          un placement, genre livret va rapporter tous les mois, donc immédiat. carotte rapide. un placement sur plus long terme rapporte toujours pour l’épargnant seul ou presque.
          épargant = souvent égoïste. les placements qui rapportent peu ne sont pas imposable donc à part pour un bobo écolo, c’est toujours pour le gain futur.
          si tu ne donnes pas une carotte à ton épargnant, ça marchera jamais.
          les gens non imposable peuvent aussi économiser un peu mais c’est des emmerdes actuellement avec des administrations comme la CAF qui estime que le rendement doit être au minimum de 3%.
          c’est pas pour rien que les cotisations retraites sont obligatoires.
          avec une carotte, même petite, ton idée sera plus séduisante.


        • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 17:34

          @foufouille
          « je cherche comment est placé cet argent en fait. »

          Quel argent ? Celui du Fonds Souverain ?
          L’argent du FS sera investi dans le capital des entreprises cotées en bourse, banques incluses.

          Je ne comprends pas la suite de votre texte sur les jeux, l’épargne, et cætera...


        • Ouallonsnous ? 11 avril 2016 09:37

          @Jean-Pierre Llabrés

          Changeons la donne ; partons du recensement des besoins du plus grand monde pour diriger l’économie !

          Même si cela a des relents de communisme,qui effarouchent vos intellects formatés, nous sommes surs d’arriver à un résultat satisfaisant pour la majorité des humains !


        • Diogène diogène 9 avril 2016 16:54
          Pour que ce fonds souverain fonctionne, il faut :
          - qu’il trouve des emplois (prêts, investissements...)
          - que le taux rémunérateur soit supérieur à l’inflation.
          Qui fixera ce taux ?

          Actuellement, l’impôt sert avant tout à rémunérer les créanciers auprès desquels l’Etat a contracté une dette destinée non pas à faire face aux engagements de l’état, mais à enrichir ceux qui avancent les fonds.

          Il faut voir dans la dette, non pas le fait que l’on vive au-dessus de ses moyens, comme on aime à nous le reprocher pour justifier les mesures qu’on nous impose, mais le résultat de la dynamique qui anime le système dans son ensemble. Comment pourrait-il ne pas y avoir de la dette, puisque sans dette il n’y a pas d’argent ? 

          Mais il est tellement plus simple et lucratif pour ceux qui en tirent profit de culpabiliser le citoyen plutôt que d’admettre que si la monnaie est effectivement une dette par nature, elle est une dette de la société envers sa population et non de la société envers les banques.

          La dette, au Nord comme au Sud, collective ou individuelle, est au cœur du modèle économique actuel. Elle permet de transférer et prélever, par les intérêts, la richesse du travail vers le patrimoine des plus riches, ceux qui peuvent prêter. 

          Pour réduire le paiement des intérêts de la dette, on met en place des politiques de rigueur au Nord et d’ajustement structurel au Sud. 

          Toujours plus le plus grand bénéfice d’une minorité.

          • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 17:10

            @diogène
            « Pour que ce fonds souverain fonctionne, il faut :

            - qu’il trouve des emplois (prêts, investissements...)
            - que le taux rémunérateur soit supérieur à l’inflation. »
            Ce FS sera investi (« employé ») dans le capital des entreprises cotées en bourse.
            La rentabilisation du FS sera le fait de l’économie réelle marchande. Le taux de rentabilisation de 4 % résulte des calculs réalisés, sur un siècle, par feu Jacques Marseille : dividendes inclus et net d’inflation.
            Ce taux n’est fixé par personne et ne dépend que de la (bonne) santé de l’économie.

            « 
            Comment pourrait-il ne pas y avoir de la dette, puisque sans dette il n’y a pas d’argent ?  »
            Faux. Des entrepreneurs investissent leurs fonds propres (leur argent) dans leurs entreprises.

          • Donbar 9 avril 2016 18:12

            Capitalisme populaire, ou plutôt national : idée qui mérite d’être creusée.
            Une objection à vos calculs : ils visent à la couverture des recettes de l’État, pas celle des dépenses. Comment comble-t-on le déficit public ?


            • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 9 avril 2016 18:23

              @Donbar

              À mesure que le Fonds Souverain parviendra à couvrir progressivement l’ensemble des recettes de l’État (jusqu’à libérer les citoyens-électeurs-contribuables et les entreprises de toute fiscalité), il appartiendra à celui-ci de procéder à des économies d’investissement ou/et de fonctionnement pour « rester dans les clous » de ce que pourra financer le FS.


            • Diogène diogène 10 avril 2016 09:05

              Il y a encore plus simple !

              Pour qu’il n’y ait plus de fraude fiscale, il faut supprimer les impôts.
              Il suffit de tout privatiser.
              Les écoles seront toutes privées et les parents paieront les études de leurs enfants qui eux-mêmes emprunteront et rembourseront plus tard.
              L’armée, la Police et la Justice seront remplacées par des milices privées qui se financeront par les contraventions et les condamnations.
              Les prisons privées seront rentabilisées par le travail des prisonniers.
              Suppression des service parasites comme l’inspection du travail ou devenus inutiles comme le trésor public.
              Les élus et leurs secrétaires seront tous bénévoles et les services comme l’état-civil payanyants ou assurés par les associations loi 1901 à vocation religieuse.
              Les routes, chemins de fer et aéroports seront tous privés et à péage.

              J’en ai oublié ?
              Si c’est le cas, les charges restantes seront couvertes par la mendicité, le téléthon et les restos du coeur !

              • Clark Kent M de Sourcessure 10 avril 2016 11:17

                @diogène

                C’est déjà fait ; ça s’appelle la Grèce :

                Vous prenez un pays endetté et trichez sur son endettement pour le faire entrer dans l’Union Européenne (ce que la Goldman Sachs a aidé à faire). Vous augmentez l’endettement du pays en question en lui proposant des prêts à répétition pour sauver ses banques, et exigez en contrepartie des mesures d’austérité pour la population. Enfin, vous imposez la privatisation de tout ce qui est public, des îles, des entreprises, de tout ce qui peut représenter des rentrées d’argent pour l’état.

                C’est ça, la recette de la moussaka à la Junker !

              • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 10 avril 2016 13:55

                @diogène
                « Il y a encore plus simple !
                Pour qu’il n’y ait plus de fraude fiscale, il faut supprimer les impôts.
                 »

                Avez-vous trouvé cela tout seul ?
                 smiley


              • devphil30 devphil30 10 avril 2016 09:58

                Ce n’est pas le but du capitalisme qui contrôle les rouages de l’état et dont la volonté est de capter un maximum d’argent en écrasant les états par la dette.


                Quand la situation devient impossible , c’est la faillite et / ou la guerre 
                Pour remettre les compteurs humains , matériels à zéro et régénérer de la croissance , de l’emprunt , de la dette etc ....

                Voila comment le monde fonctionne depuis des siècles... 

                Le principe est excellent , on se demande pourquoi tous ces énarques n’ont pas mis en place un tel système , on se demande pourquoi les banques détiennent le droit de créer de la monnaie par les prêts.

                Ce type de proposition va à l’encontre de la doctrine capitaliste et je suis bien certain que de telle somme mise à la disposition de politiciens corrompus ne pourrait pas perdurer.

                L’exemple de Nobel peux aussi être comparé aux banques , assurances qui investissent les appels de cotisations et les frais sont là pour les actionnaires et les salaires mais la gros de la manne financière provient de placement immobilier , bourse , obligation etc ....

                L’état subventionne des constructions neuves par des outils de défiscalisation onéreux qui encore une fois profite à ceux qui ont de l’argent.
                Avec cet argent l’état devrait construire et mettre en location ces logements , le loyer permettrait des rentrées d’argent et le revente des logements seraient toujours possible.
                Au lieu de cela les lois Pinel , Duflot permettent des exonérations fiscales , de l’argent qui ne rentre pas !

                Je n’évoque pas les ventes de bâtiments pour ensuite louer des bâtiments neufs auprès d’organismes privés , exemple le nouveau ministère de la défense à Balard , construction Bouygues BTP dont le début des travaux à commencer sous le mandat de Sarkozy ...étonnant 

                Les politiciens sont véreux , corrompus et ne font rien pour la majorité des Français , leur seul objectif est le pouvoir , l’argent et les combines entre amis.

                Merci pour votre article 

                Philippe



                • Clark Kent M de Sourcessure 10 avril 2016 10:58

                  @devphil30

                  bonjour Devphil,

                  Je partage le sens de votre commentaire et n’en rajouterai pas sur les contradictions que vous soulevez.

                  Juste une remarque ; vous écrivez :

                  « Ce type de proposition va à l’encontre de la doctrine capitaliste »

                  Le capitalisme n’est pas une doctrine, mais un type de système économique à géométrie variable, souple, qui n’a été mis en place par personne mais a été décrit et analysé en particulier par Marx qui a mis en évidence lesprincipes sur lesquels il se fonde.

                  Les différents « écoles » modernes (en particulier l’école dite de Chicago) n’enseignent pas des doctrines, mais tentent de mettre en évidence une optimisation de l’enrichissement privé à travers ce système et mettent en place des mécanismes de veille pour prévenir toute velléité d’épanouissement de leur cauchemar : une économie contrôlée dont le but serait la satisfaction des besoins de l’humanité et non pas la captation des richesses par quelques familles par des moyens plus ou moins mafieux.

                • devphil30 devphil30 10 avril 2016 18:00

                  @M de Sourcessure


                  Merci pour votre commentaire , lorsque j’évoque doctrine capitaliste il s’agit pour moi d’une forme de fonctionnement de société , de rapport humain.

                  Pour moi cette doctrine capitaliste va à l’encontre de la majorité pour le bien être de quelques uns.
                  Le fonctionnement profond du capitalisme est masqué sinon qui irait voter pour se faire dépouiller ensuite ?

                  La superposition de classes et de niveaux de vie différent pour chaque citoyen associé à un individualisme exacerbé depuis plusieurs décennies permet au capitalisme d’avancer en promettant à chacun de gagner plus , en montrant les « profiteurs » ceux qui n’ont pas grand chose ou même rien.

                  Par contre les vrais profiteurs qui bénéficient d’avantage fiscaux , de pouvoir de lobbys auprès des gouvernements pour infléchir de manière sournoise les décisions , ceux là ne sont pas visibles , ils en sont pas montrés du doigt car il parait qu’ils permettent d’investir.

                  L’investissement en savoir faire et en compétence est primordial face à l’investissement en capital , les banques peuvent prêter de l’argent pour un bon investissement.

                  Ceux qui investissent , ceux qui ont de l’argent ne prennent pas de risque , ils placent l’argent là ou cela rapporte le plus et changent rapidement si il le faut.

                  Nous sommes en face d’un discours politique qui est asservi au capital , à l’argent et aux lobbys contre la majorité des personnes qui travaillent sans espoir d’avenir et cela dans un contexte de choix électoral contraint et forcé au intérêt du capital.

                   Philippe

                • zygzornifle zygzornifle 10 avril 2016 13:45

                  il faudrait purger grave le PS et LR pour abolir la fraude fiscale....


                  • Le421... Refuznik !! Le421 10 avril 2016 19:14

                    Prenez un type qui ne doit rien à personne.
                    Quel est son statut ?
                    Homme libre.
                    Donnez-lui des besoins dont il n’avait que faire en lui expliquant que cela lui est indispensable.
                    Il n’a pas les sous, mais on lui prête bien volontiers.
                    Vous venez de créer un esclave corvéable à merci qui en passera par toutes les couleurs de l’arc en ciel pour rembourser.
                    Le jeu consiste alors à faire perdurer le système, créer un endettement permanent et une servitude qui en découle.
                    Voilà.

                    Mais je ne vous explique rien, vous le saviez déjà...


                    • zygzornifle zygzornifle 12 avril 2016 09:01

                      Panama c’est un nid de Macron de Copé Chirac Balkani et de Cahuzac .....

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