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Les commentaires de Alren



  • Alren Alren 18 octobre 2014 16:54
    Bonjour Layli Victor,

    Le problème du refroidissement des surgénérateurs par du sodium pose un problème de sûreté « a priori » qui deviendrait très important si le nombre de centrales installées dans le monde était multiplié par la demande impérieuse d’énergie de l’humanité.
    Le plomb pur fond à température relativement élevée, mais étant le déchet ultime de la décomposition radioactive, il est peu probable qu’il pose un problème de radioactivité en présence de neutrons. Des alliages à base d’étain deviennent liquides à plus basse température : il paraît même que durant la guerre un faussaire avait fabriqué un alliage qui fondait à 40°C ce qui lui permettait de copier à la perfection le tampon sec utilisé par Vichy pour les cartes d’identités.
    J’ai imaginé une autre solution et je ne sais ce qu’elle vaut. En voici le principe :
    le cœur est constitué de plaques entre lesquelles se déplacent des plaques de fer pur (métal au noyau très stable) en ressortant du cœur ces plaques à la très grande surface d’échange sont refroidies par un fort courant d’hélium. 
    Il n’y aurait pas ainsi le risque d’une solidification du caloporteur en cas d’incident.
     
    Cordialement, Alren


  • Alren Alren 18 octobre 2014 16:29

    À condition de pouvoir stocker l’énergie recueillie ! 

    Et de quelle énergie parle-t-on ? L’eau chaude peut conserver de la chaleur (à condition d’être dans un réservoir très isolant genre bouteille thermos) mais ne procurera d’énergie mécanique ou électrique qu’avec un rendement déplorable du fait des lois de Carnot sur les températures absolues.
    Le coût de batteries au lithium suffisamment puissantes serait exorbitant et la demande ferait flamber le prix de ce métal.
    Il reste à mettre au point un stockage bon marché de l’électricité non pas chimique mais physique : il n’y a guère que l’électrostatique et la haute tension qui peuvent être envisagées ...


  • Alren Alren 17 octobre 2014 19:33

    Combien de morts dans les mines de charbon (1100 à Courrière en France au début du XXème siècle) ? Combien de morts, ces dernières années dans les mines de charbon chinoises ?
    Combien de morts de personnes fragiles dues au fameux smog de Londres et d’ailleurs, causées par la présence de particules de charbon imbrûlées maintenues au sol par le brouillard ?
    Combien de morts dues au monoxyde carbone de l’ancien gaz de ville ou des poêles mal réglés ?
    Combien d’incendies mortels dus à la combustion nocturne non surveillée de combustible ?
    L’énergie nucléaire est « maudite » par certaines « belles âmes » non scientifiques et non responsables depuis Hiroshima ou Nagasaki et du fait qu’une guerre thermonucléaire généralisée ferait plusieurs milliards de morts.
    C’est oublier que le charbon et le pétrole ont tué les soixante millions de victimes de la Seconde guerre mondiale ainsi que les vingt millions de la première, pour ne citer que ces deux catastrophes.
    En effet les lois de la thermodynamique sont imparables : l’énergie chimique stockée dans les explosifs des bombes et des obus et libérée lors de cette violente réaction exothermique que l’on appelle explosion, doit avoir été fournie préalablement par une source d’énergie primaire dans un processus complexe de synthèse. Et cette source, c’était évidemment le charbon ou le pétrole.
    Je ne suis pas pro-nucléaire par principe. Entre deux maux je choisis le moindre et je sais que le nucléaire menace moins l’humanité que le charbon et le pétrole avec leur gaz carbonique.

    À propos des centrales solaires du désert : même si leurs coûts financier, écologique et énergétique étaient supportables, et une fois résolu (!) les problèmes du transfert et du stockage de cette électricité vers les pays consommateurs, cela donneraient aux pays détenant ces déserts ensoleillés producteurs de cette énergie vitale un pouvoir sur le reste du monde proprement insupportable pour les clients. 


  • Alren Alren 15 octobre 2014 18:09
    Quel plaisir de lire cet article ! Tout y est vrai !
    La planète ne pourra jamais satisfaire en énergie renouvelable 10 milliards d’humains qui voudront demain disposer d’autant d’énergie que celle dont jouissent actuellement seulement les habitants les plus aisés (comprenant la plupart des Français).
    Les calculs d’espace nécessaires aux panneaux solaires et aux éoliennes ridiculisent cette espérance.
    La raison profonde en est que les EnR sont diluées (du fait du mécanisme universel de l’entropie), à l’exception de la « houille blanche », l’énergie gravitationnelle des cours d’eau dont les capacités sont massivement exploitées déjà près des zones de grande population. 
    À l’inverse l’énergie nucléaire est la plus concentrée qui soit, révélée dans la célébrissime formule E=mc².
    Le problème du nucléaire fondé sur l’uranium est que la logique de la filière aboutit uax réacteurs à neutrons rapides et donc à la production massive de plutonium. Or c’est le matériau de base de la bombe A laquelle est « l’allumette » de la bombe H. 
    Compte-tenu des tensions entre les humains qui iront en s’aggravant avec la détérioration du climat et le manque d’eau, cette facilité, dans certaines régions du monde, à disposer de plutonium, risque d’entraîner des conflits nucléaires qui par effet boule de neige amènera à la destruction de la planète dans le pire cas ou, en cas de conflit plus limité, à une contamination radioactive dramatique du globe entier.
    La fusion nucléaire n’est pas pour demain, ni après demain. On parle d’abandonner ITER, pour absence de progrès vers les paramètres de fusion. Le confinement inertiel est une promesse qui semble se heurter à des phénomènes quantiques qui tiennent la filière en échec.
    La filière du thorium dans ce contexte difficile semble la plus raisonnable. J’aimerais bien avoir l’avis de l’auteur de l’article à ce sujet.



  • Alren Alren 21 septembre 2014 17:09

    Je trouve que les profs sont trop payés, mais pour mes enfants (mes petits enfants), je veux, j’exige des enseignants parfaits, surmotivés, très brillants intellectuellement (mais qui ne font pas grève !), en face de qui j’aurai toujours raison étant plus compétent(e) que lui en matière d’éducation et au final prêts à sacrifier leurs vies pour mes chéris.

    Si mon fils réussit c’est qu’il est intelligent. S’il échoue c’est la faute des profs.

    Allez, avec le chômage de masse, on trouvera bien toujours des poires pour faire ce métier, leurrés par la noblesse et l’importance sociale de leur mission !



  • Alren Alren 30 août 2014 16:56

    Les clients qui ne veulent pas de ce coûteux appareil seront-ils quand même obligés de le payer sous forme d’augmentation de l’abonnement ?
    Ce serait alors de la vente forcée.
    Si ERDF et EDF veulent économiser sur les salaires des personnes chargées jusqu’ici de relever les compteurs classiques, que ce soit à leur frais, comme INVESTISSEMENT PRODUCTIF !

    Il est ÉVIDENT que tout ce qui sera piratable en informatique sera piraté. Le banditisme sur internet est beaucoup moins dangereux pour les malfaiteurs que le hold up, le cambriolage, l’arrachage de sac ou le trafic de drogue. Surtout que les hackers seront installés à l’étranger ...
    internet et les transmissions radio pourraient être beaucoup plus sûres mais cela empêcheraient l’espionnage par les états, la NSA etc. Alors on les laisse volontairement vulnérables ...



  • Alren Alren 25 août 2014 15:51

    Xtf17, vous lisez donc dans les cerveaux pour dire ce que savaient les membres du PG lors de la création du FdG ?
    Peut-on vous demander de quelle planète Krypton vous venez avec ce matricule ?

    Un FdG en rupture avec le PPS (Parti Prétendu sScialiste) est la seule chance du PCF d’exister encore dans vingt ans. Un Pierre Laurent n’a visiblement pas l’envergure pour la saisir aux cheveux avant qu’il ne soit trop tard. Si en 2017, les communistes cafouillent comme pour les municipales, ils n’existeront plus à l’échelon national.
    Je pense que certains dirigeants du PCF et beaucoup d’adhérents de base avaient compris que le FdG était leur dernière carte, mais les apparatchiks, forcément vieux, puisque restés dans ce parti poussiéreux, ont voulu garder leurs mandats dont ils sont si fiers. Sans compter que les trésoriers ont fait valoir que la rupture avec le PS pourri coûterait très cher en matière de finance.
    Le parti présenté comme « révolutionnaire » en 1969 est devenu un parti vieillot et rabougri, de retraités.

    Le FdG n’est pas constitué des seuls PCF et PG : les autres organisations sont sur les positions du PG contre le PCF.



  • Alren Alren 25 août 2014 15:31

    Remarque mesquine préalable : il faut dire 79 centimes ou 0,79 euro !

    Bien sûr, Saltz a raison de dénoncer tout ce tortillage législatif qui n’a que deux buts :

    a) donner le moins possible aux chômeurs

    b) faire en sorte que la majorité d’entre eux ne fasse pas le calcul de ce qui leur revient afin qu’ils conservent une attitude de soumission passive devant le pouvoir ploutarchique ; lequel coiffe maintenant un gouvernement aussi complaisant que celui de Hollande-Valls.

    Ceci dit, est-ce certain que des législations aussi tordues soient l’apanage de la France ?
    N’est-ce pas un mouvement mondialisé que ce recul sournois de la démocratie ?



  • Alren Alren 25 août 2014 15:14

    Si tous ces missiles sol-air mis en place sont destinés à abattre un avion civil transformé en bombe volante du type attentat contre les Twin towers après que des avions civils ont « disparus » en Libye, la mesure est justifiée.
    Je ne vois pas en quoi ces déploiements, coûteux en termes financiers, peuvent servir au gouvernement royal à détourner l’attention du peuple marocain sur la crise économique qu’il subit.
    Que la lutte armée contre le terrorisme islamique soit de plus en plus pris en charge par des musulmans me réjouis, personnellement. car c’est la seule solution pour en finir avec ce nazisme vert. 



  • Alren Alren 24 août 2014 17:37

    « rien ne prouve que les « esprits désincarnés » ou poltergeist n’existent pas. »
    Quelle est leur source d’énergie ?
    Car dans dans notre monde de matière pesante, pour déplacer des choses possédant une masse, donc de l’inertie, il faut de l’énergie.



  • Alren Alren 20 août 2014 16:15

    Bonjour Morice,

    Nous sommes une minorité à approuver votre article et cela me désole.

    Il faut dire que l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage » contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.

    Pour que l’épandage chimique des avions de ligne soit visible en terme de création d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km). Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60 tonnes.

    Question N°1 : un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600 tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !)

    L’épandage doit se confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour ne pas être visible du sol.

    Question N°2 : Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de kérosène dans les ailes ?

    Question N°3 : Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des passagers embarquant dans l’avion ?

    L’épandage ne doit démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière. Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité » du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage.

    Question N°4 : Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante contre l’aviation commerciale sera déclenchée ?

    Le chargement en produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de carburant.

    Question N°5 : Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes de produit ?

    Sont-ils camouflés en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel qui effectue l’approvisionnement en kérosène ?

    La carte animée des transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter » que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas efficace !

    Stop ou encore ? 



  • Alren Alren 20 août 2014 16:10

    Bonjour Morice,

    Nous sommes une minorité à approuver votre article et cela me désole.

    Il faut dire que l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage » contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.

    Pour que l’épandage chimique des avions de ligne soit visible en terme de création d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km). Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60 tonnes.

    Question N°1 : un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600 tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !)

    L’épandage doit se confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour ne pas être visible du sol.

    Question N°2 : Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de kérosène dans les ailes ?

    Question N°3 : Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des passagers embarquant dans l’avion ?

    L’épandage ne doit démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière. Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité » du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage.

    Question N°4 : Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante contre l’aviation commerciale sera déclenchée ?

    Le chargement en produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de carburant.

    Question N°5 : Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes de produit ?

    Sont-ils camouflés en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel qui effectue l’approvisionnement en kérosène ?

    La carte animée des transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter » que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas efficace !

    Stop ou encore ?



  • Alren Alren 20 août 2014 13:04

    Bonjour Morice,

    Nous sommes une minorité à approuver votre article et cela me désole.
    Il faut dire que l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage » contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.

    Pour que l’épandage chimique des avions de ligne soit visible en terme de création d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km). Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60 tonnes. 
    Question N°1 : un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600 tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !)
    L’épandage doit se confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour ne pas être visible du sol.
    Question N°2 : Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de kérosène dans les ailes ?
    Question N°3 : Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des passagers embarquant dans l’avion ?
    L’épandage ne doit démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière. Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité » du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage.
    Question N°4 : Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante contre l’aviation commerciale sera déclenchée ?
    Le chargement en produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de carburant.
    Question N°5 : Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes de produit ?
    Sont-ils camouflés en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel qui effectue l’approvisionnement en kérosène ?
    La carte animée des transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter » que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas efficace !

    Stop ou encore ? 



  • Alren Alren 12 août 2014 16:57

    Ceux qui arrivent en bateau à Lampedusa sont partis de chez eux souvent depuis des mois.
    S’ils étaient contaminés par un virus qui tue en moins d’un mois et le plus souvent beaucoup moins, les migrants clandestins malades seraient morts en terre africaine, bien avant de s’embarquer.



  • Alren Alren 12 août 2014 16:49

    C’est JM Le Pen qui a souhaité clairement une réduction drastique de la population africaine par « sa majesté Ébola » de manière sans doute à ne plus avoir d’immigration dans son Vaterland !



  • Alren Alren 2 août 2014 17:25

    Bonjour à tous,

    Bien que mon commentaire arrive après une longue polémique qui a dû lasser les lecteurs n’y participant pas et qu’il a donc peu de chance d’être lu, je le rédige en espérant ajouter un peu de clarté au débat, pour ceux qui sont de bonne foi.

    D’abord deux préalables techniques avant d’aborder la question des obus de 35mm :

    La radioactivité de l’uranium « appauvri » est très faible, guère plus important qu’un terrain granitique.

    Je rappelle que l’uranium est constitué de deux composants : l’uranium 235 qui est radioactif et l’uranium 238 qui ne l’est pas.

    La plupart des gisements donnent un métal qui contient 0,3 % d’uranium 235. L’uranium 238 représente donc 99,7 %.

    Comme l’uranium des centrales nucléaires doit contenir 3 % d’U235, il faut faire un tri entre les atomes d’uranium naturel et faire deux masses dont l’une est constituée d’uranium appauvri en U235. Celui-ci ne représente plus guère que 0,1 % des atomes ( et non 0 % car le filtrage, sur le seul critère de la masse atomique, n’est pas totalement efficace).

    Ce résidu industriel n’a pas beaucoup d’usage si on ne le transforme pas en plutonium 239 fissile, radioactif. Il faut pour cela que le noyau d’U238 capture un neutron. La technique est si délicate qu’elle a été abandonnée même par la France qui comptait beaucoup dessus dans les années 1970-80.

    Ainsi le célèbre Éric Tabarly, officier de marine détaché, pu faire construire un de ses voiliers Pen Duick avec une quille lestée en U238. Elle était ainsi beaucoup plus fine à poids égal que les autres quilles lestée avec du plomb !

    Pour percer un blindage de char, deux techniques restent en vigueur, la charge creuse et l’obus-flèche, inerte.

    Pour que l’obus inerte perce un blindage en alliage d’acier très dur et épais de plusieurs centimètres, il faut qu’il soit propulsé à très grande vitesse, typiquement 1500m/s, voire le double semble-t-il sur les derniers systèmes ...

    Le projectile inerte doit avoir un petit diamètre pour être moins freiné par l’air et aussi faire un petit trou. Car plus le diamètre de celui-ci est grand, plus sa fabrication consommes d’énergie. Il faut aussi qu’il soit lourd, donc long par rapport à son diamètre et constitué d’un métal de grande masse volumique.

    Les obus flèche ont grosso modo la forme d’un crayon bien taillé. il faut aussi que ce métal ou plutôt l’alliage qui le constitue, soit très dur pour ne pas s’écraser comme une crêpe sur le blindage. Le métal choisi par les Allemands durant la Seconde guerre mondiale fut le tungstène. Mais ils connurent vite une pénurie de ce métal, indispensable par ailleurs pour l’usinage des pièces. Le principe fut récupéré par les Anglais qui au lieu d’utiliser le canon Gerlich à âme conique des Allemands, placèrent la flèche de tungstène dans un « sabot », un cylindre enserrant le projectile et se détachant après la sortie du canon. Ce sabot (aussi léger que possible) permettait de tirer la fine flèche avec un canon de calibre respectable. Avec une charge de poudre renforcée, celle-ci filait vers son but à la vitesse requise.

    Plus tard, on s’aperçut que l’on pouvait remplacer le tungstène avec de l’uranium appauvri. Cela présentait de nombreux avantages. L’uranium a une masse volumique plus élevée que le tungstène. Il forme un alliage au moins aussi dur que lui. Seuls les pays enrichissant l’uranium pouvaient en disposer.

    Le dernier avantage était majeur : fondu en fines gouttelettes, l’uranium brûlait dans l’air ordinaire !

    Pour que l’obus-flèche en U238 fonde, il faut qu’il soit porté à très très haute température. Et pour cela, il faut qu’il transforme sa formidable énergie cinétique en chaleur. Autrement dit il faut que la traversée du blindage le freine suffisamment pour qu’au débouché il se vaporise en fines gouttelettes enflammées qui détruisent tout à l’intérieur du char et notamment les occupants.

    L’obus-flèche a été miniaturisé pour être tiré par un canon aérien de petit calibre. Nombre d’entre eux ont été tirés contre les blindés serbes durant la guerre de l’OTAN contre ce pays. Pour des raisons de poids, un blindé ne peut pas être protégé par la même épaisseur de métal sur toutes ses faces. On favorise l’avant.

    Les chars serbes touchés au bon endroit par ces obus-flèche de petite taille, ont néanmoins été détruits.

    Mais si on tire un obus-flèche contre un véhicule non-blindé comme un avion, il traversera l’objectif en conservant l’essentiel de son énergie cinétique et ne sera pas plus destructeur qu’une balle de même calibre, c’est à dire de l’ordre de 10 mm.

    Les trous de 3 cm de diamètre observés sur l’avion de la Malaysian Airlines n’ont donc pas été causés par des obus-flèches tirés par un canon de 35 mm : ils sont trop grands.

    Un obus explosif de 35 mm en revanche fera un trou de la même section que lui (en entrée perpendiculaire) mais explosera une fraction de seconde après cette percussion. Et ce n’est pas la dépression soudaine à l’intérieur de l’appareil (différence entre la pression rétablie à 2000m à l’intérieur et la pression extérieure à 10 000m) qui est à craindre pour l’intégrité de l’appareil, mais l’irruption soudaine de ce gaz très chaud donc à très haute pression. C’est cette surpression à l’intérieur de ce récipient qu’est la carlingue que celle-ci ne pourra pas supporter sans se déchirer. Or il semble que l’on n’ait pas observé de telles déchirures qui auraient été plus nombreuses près des impacts.

    Je pense aussi que des témoins au sol auraient perçu le bruit des détonations en rafale si un double canon de 35mm avait été utilisé.

    C’est donc un missile qui a abattu l’avion, un missile lançant ses dards depuis l’extérieur de l’appareil. Ce missile n’est pas venu de Russie : les USA surveillent cette zone évidemment avec des satellites espions très puissants et un missile à longue portée aurait été repéré dès son départ avec son énorme signature infra-rouge.

    Les indépendantistes possèdent-ils le système capable d’abattre un avion volant à 10 000 mètres. (Comme il a été souligné, il aurait été criminel de la part d’un contrôleur aérien - innocent
    - de Kiev de faire descendre l’avion de 10 000 à 7000 mètres pile au-dessus d’une zone de combat. Il aurait fallu donner au commandant de bord une (très) bonne raison pour lui demander d’effectuer cette manœuvre, même provisoirement, car comme il a été dit, à cette altitude, la densité de l’air augmentée et les frottement proportionnés lui auraient interdit d’atteindre sa destination avec le volume de carburant embarqué.

    Il faut réussir la maintenance de radars, de l’informatique de calcul et du matériel d’action dont le missile. Tout ça ne peut pas rester exposé aux intempéries !

    Il faut un environnement et du personnel très formé. Si les séparatistes possèdent un tel matériel en état de marche, il faut que des militaires ukrainiens aient déserté pour se joindre à eux : bien sûr, si c’était le cas, le gouvernement de Kiev ne s’en vanterait pas !

    Un missile sol-air capable d’atteindre une cible à 10 000 mètres doit très vite atteindre mach 3 minimum afin de combattre la gravité. Sa structure doit être aussi légère que possible pour économiser la poudre de propulsion. S’il doit infléchir fortement sa trajectoire il ne résistera pas aux efforts qu’elle subira. Cela signifie que la direction qu’il doit emprunter (au départ en avant de sa cible) doit être calculée avec une extrême précision pour réussir le mortel rendez-vous dans les 4 dimensions, trois d’espace et une de temps, pour que la trajectoire soit la plus rectiligne possible.

    Il faut vraiment du matériel et du personnel au top !

    Je pense que, là aussi, les satellites espions étatsuniens qui doivent se relayer au-dessus de cette zone de combat après avoir un peu abandonné le survol de la Syrie, auraient détecté le vol de ce missile.

    Il est temps de se poser la question : à qui le crime profite-t-il ? Ni aux Russes mis au pilori, ni aux indépendantistes qui ont perdu le contrôle de la zone du crash et peuvent être noircis par les médias de la "communauté internationale". Que reste-t-il sur la liste ?

    Désolé pour la longueur. Cordialement, Alren

    PS Un avion US en vol supersonique au cours d’un exercice tirant ses inertes vers le haut puis plongeant a eu la surprise de recevoir un de ses propres projectiles en train de retomber sur le sol suivant une courbe parabolique. De là l’idée de ne pas tirer (n’importe comment) au canon en vol supersonique !



  • Alren Alren 2 août 2014 15:14

    Excellent résumé d’un ouvrage de qualité !
    J’en profite pour rappeler que la conquête de l’Égypte puis du Maghreb par la secte créée par Mahomet fut extrêmement sanglante.
    La « cohabitation heureuse » en Andalousie (la portion de la péninsule ibérique conquise par les mêmes troupes de Mahomet), cohabitation entre musulmans, juifs et chrétiens, tant vantée par certains qui lui opposent l’intolérance des dits chrétiens après la Reconquista, était due plus à un rapport numérique entre groupes qu’au respect d’une sorte de principe d’acceptation de la différence !
    En effet les chrétiens étaient de loin les plus nombreux car les invasions « agressives » étaient constituées essentiellement d’une minorité de combattants qui arrivaient dans des régions déjà peuplées de « civils ». Lesquels par leur travail créaient la richesses dont leurs nouveaux maîtres profitaient. Les massacrer eût été tuer la poule aux œufs d’or.
    Le même phénomène se produisit déjà quand les Francs et autres « barbares » envahirent la Gaule romaine.

    Cordialement Alren



  • Alren Alren 1er août 2014 17:56

    « peut-être considérez-vous ces gamins palestiniens comme des terroristes »
    Comme des terroristes futurs certainement. De la même manière les nazis exterminaient les enfants juifs par crainte qu’en grandissant, ils vengent leurs parents assassinés par eux ...



  • Alren Alren 1er août 2014 15:15

    Bonjour Hussard noir,

    En 1914, le Kaiser voulait la guerre contre le pays qui montait en Europe (grâce, entre autres, aux prêts français et à l’assistance technique française) à savoir la Russie.

    « L’éveil » de la Russie, comme on a glosé sur « l’éveil » de la Chine, dopé par l’ennemi héréditaire français, risquait de bouleverser les équilibres européens au détriment de l’Allemagne, laquelle rencontrait par ailleurs sur la mer et son désire de conquête de colonies, la concurrence sans faille de l’Angleterre et secondairement de cette maudite France. France qui avait su trouver une majorité d’alliés pour repousser l’Allemagne du Maroc les années précédentes.

    Les services secrets allemands ne finançaient donc pas les mouvements pacifistes en France, lesquels n’existaient d’ailleurs pas sous une forme autonome comme aujourd’hui.

    Ils savaient qu’en déclarant la guerre à la Russie, protectrice des slaves d’Europe centrale, des traités obligeraient la France à entrer dans le conflit. Mais ils pensaient pouvoir la vaincre en jaillissant par la Belgique. Ils furent bien surpris que l’invasion de ce pays neutre, dont la naissance fut voulue par l’Angleterre en 1830, déterminerait la grande puissance navale à entrer en guerre à son tour ...

    Le pacifisme de Jaurès découlait d’une analyse dans le cadre de la lutte des classes. En France on vivait, depuis les années 1880, une période d’affrontements sociaux qui voyaient des avancées pour les travailleurs et un recul concomitant du cléricalisme, principal outil de répression morale des dominants.

    Le patronat et leurs serviteurs de droite et d’extrême droite pensaient que la guerre étrangère permettrait de donner un coup d’arrêt à ce mouvement, lent mais réel. Ce qui fut effectif d’ailleurs. Il faudra des années, l’arrivée de Front populaire, pour que ces avancées sociales reprennent. (Pour une information détaillée sur ces phénomènes, on visionnera avec profit les vidéos d’Henri Guillemin sur Youtube, époustouflantes de précisions et d’anecdotes révélatrices)

    Ce que les ennemis du prolétariat n’avaient pas prévu, c’est que le coût exorbitant de cette guerre industrialisée contraindrait le gouvernement de guerre à instituer l’impôt sur le revenu, lequel frappait les possédants à mesure de leurs (énormes) richesses ! Et que ce principe d’impôt juste devrait être maintenu après la guerre vu la pauvreté du pays alors endetté jusqu’au cou.

    Ces analyses de lutte des classes passaient au-dessus de la tête de Villain, l’assassin de Jean Jaurès. Lui souhaitait la guerre, obsessionnellement, dans un seul but, « sacré » : que la France récupère l’Alsace et la Lorraine. Les tribunaux formés de juges « bourgeois » et de jurés manipulés l’acquitteront en 1919 !

    Cordialement, Alren