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Les commentaires de Jason



  • Jason Jason 1er février 2023 18:09

    @Ruut

    Vous oubliez l’exploitation de l’homme par l’homme.



  • Jason Jason 1er février 2023 18:05

    @Armelle

    Je ne hais pas les riches, ça n’est pas de leur faute s’ils sont installés dans votre système et y vivent comme les asticots dans le jambon.

    J’aimerais avoir votre bonne conscience. Vous avez la foi du charbonnier dans l’escroquerie mondiale.



  • Jason Jason 1er février 2023 16:38

    @Armelle

    Si on n’est pas d’accord avec vous on est un infâme communiste. Je n’en dirai pas plus.



  • Jason Jason 1er février 2023 16:33

    @Armelle

    « On voit bien là, que jamais de votre vie vous n’avez eu à gérer un entreprise ». Si, justement, au sein d’une multinationale, et là, ce n’est pas beau à voir.



  • Jason Jason 1er février 2023 16:28

    @Armelle

    ".La concurrence ça vous parle ?

    " Un lieu commun de plus. Il y a des volumes écrits sur le sujet ! Allez vite y voir de près.



  • Jason Jason 1er février 2023 15:20

    @Armelle

    Excusez-moi de vous déranger, mais votre diatribe pêche un peu.

    La propriété privée, c’est la liberté. Vous parlez d’une liberté métaphysique qui met sur le même plan d’ égalité le savetier du Pakistan et le nabab de New-York ?

    Rien ne vous empêche de créer votre propre emploi.

    Les perspectives de chacun sont vendables.

    Celui qui bosse trois fois plus que son voisin (et qui gagne dix fois moins).

    Débilité communiste... et capitalisme d’état.

    Histoire de midinette.

    Nul n’est méchant volontairement, dit le philosophe. Mais, une telle collection de clichés laisse rêveur. On peut se demander où classer vos propos.



  • Jason Jason 1er février 2023 12:49

    Tout ça n’a rien de bien secret, ça crève les yeux. L’idée centrale du bazar planétaire (mais pas tout à fait, car il existe d’autres modèles limités et peu connus), ce sont les pratiques courantes du commerce. Il suffit à quelqu’un de vendre des produits avec une marge qui excède les besoins du vendeur pour que la spirale du profit non justifié s’enclenche.

    Le reste suit. Et personne ne trouve à redire que ces opérations sont non seulement parfaitement immorales, mais qu’elles sont la fondation des économies modernes. Et cela touche tous ceux qui se livrent à des transactions menant à des détournements de ressources ; qu’ils soient milliardaires ou savetiers.

    Ca fait 6000 ans que ça dure, et ce n’est pas près de s’arrêter.



  • Jason Jason 31 janvier 2023 11:43

    @Spartacus Lequidam

    Je suis heureux pour vous, votre naïveté et votre bon droit vous conforteront dans vos croyances. Continuez à avaler des couleuvres. 
    Jalousie, frustration sont des sentiments ; je me rattache aux faits.



  • Jason Jason 30 janvier 2023 08:52

    @Spartacus Lequidam

    Jetez-donc un coup d’oeil à cet article : https://laviedesidees.fr/Genealogie-de-la-morale.html Ca éclairera votre lanterne.



  • Jason Jason 30 janvier 2023 08:41

    @Spartacus Lequidam

    Les poules ne savent pas lire, et ne sont pas les seules.



  • Jason Jason 30 janvier 2023 08:40

    @Spartacus Lequidam

    Le plombier, le terrassier, l’électricien, bref, les métiers du « bêtiment », « donnent le meilleur d’eux-mêmes ». C’est évident selon vous. L’artisanat est un sacerdoce, mais aucun de ces soi-disant professionnels qui usurpent le titre d’artisan ne se dérange s’il ne gagne 1000 € par jour. Vous appelez ça gagner dignement sa vie ; j’en pleurerai presque.

    Le client qui achète et le vendeur qui se goberge, c’est normal. Regardez les chiffres d’affaires de bon nombre de ces intervenants, c’est sur la toile. Je connais un terrassier qui a accumulé un patrimoine d’un million d’Euros en 15 ans. Le pognon, il vient d’où, d’après vous ?

    M. Piketti a mis en relief notre société inégalitaire (de revenus) d’aujourd’hui, qui est la même que celle de la Belle Epoque (1880-1914), et qui reste la plus scandaleusement inégalitaire du XXème siècle. Quel progrès !

    Le France est le pays d’Europe qui compte le plus de châteaux au Km². Le pognon venait sans doute des « honnêtes » commerçants ? On ne va tout de même pas abandonner cette tradition ?

    Tout baigne, vous dis-je. La société bisounours pour tous, c’est la démocratie avec sa foule de « petits » commerçants « honnêtes » qui font leur pelote bien à l’abri des lois qu’ils n’observent même pas. Il n’y a pas d’abondance sans larcin, dit un proverbe. Comme la France est un pays riche, on y vole beaucoup.

    Je n’enfoncerai pas le clou, ni briser votre rêve.



  • Jason Jason 29 janvier 2023 15:14

    @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

    Le libéralisme cache un point aveugle : « cui bono », à qui cela profite-t-il ?

    La liberté d’entreprise ce n’est rien d’autre que de s’approprier une partie du bien-être de l’autre, au delà de ce qui est nécessaire à l’entrepreneur pour ses besoins quotidiens. L’entrepreneur avance masqué, dissimulé derrière le droit des affaires et le droit tout court quand il en profite. Il génère sa puissance phénoménale d’intoxiquer le public avec toute une culture de la soumission dès le bas âge.

    Ah, mais, l’entrepreneur investit pour démarrer son activité, il prend des risques, il a ratissé des fonds à droite à gauche, dans l’accumulation primitive de capital, mais qui vient d’où et gagné comment ? Il fait preuve de créativité, d’inventions qui bénéficient à ses semblables, bref, c’est un bienfaiteur de l’humanité. Au passage, il se sert largement et exploite les autres, c’est normal, c’est le libéralisme et la liberté dans toute sa violence, sociale, économique, culturelle, symbolique, psychologique, etc.

    Cependant, rassurons-nous, ça fait 6000 ans que ça dure. Question d’habitude...



  • Jason Jason 29 janvier 2023 13:00

    Vive le renard livre dans le poulailler libre. Les libéraux n’acceptent les lois de l’Etat que quand elles leur sont favorables (et surtout son pognon). Enlevez le commerce, il n’y a plus de libéralisme, le politique (ne visant qu’à leur avantage), le social (darwinisme à 2 balles) ou économique.

    Je m’étonne qu’on parle encore d’une fumisterie pareille avec le sérieux d’un cuistre patenté ! !



  • Jason Jason 28 janvier 2023 11:30

    @Tolzan

    Non à la guerre, c’est bien dit. Mais, allez convaincre Pourine, bon courage.



  • Jason Jason 28 janvier 2023 11:16

    @Géronimo howakhan

    « Il dit à chacun, personnellement, que votre, nous comprenons « MON », intérêt personnel est au-dessus de tout. »
     
    C’est la base même du commerce, cet immense détournement de ressources que personne ne remet en question, car il a pour lui la durée et fait marcher les sociétés dans une fuite en avant permanente. Les besoins élémentaires nécessaires à la survie sont captés par les plus malins ou les plus violents, légalement. Le tout encadré par des lois dites « démocratiques ».

    La stabilité (ou ce qu’on nomme tel) sociale repose sur une immoralité gigantesque que personne n’ose analyser avec toutes ses conséquences.



  • Jason Jason 27 janvier 2023 19:14

    N’oubliez pas que vous vivez en démocratie. Vous savez, ce machin qui donne des avantages à quelques-uns sous couvert du bonheur pour tous.

    Le commerce, le travail, et d’autres habitudes ancrées dans nos sociétés, ça dure depuis plus de 6000 ans. Ca sera dur de changer.



  • Jason Jason 27 janvier 2023 19:07

    @Réflexions du Miroir

    Ceci est bien dit, mais qu’est-ce qu’on fait avec les autres ? Les autres ? Connais pas... Et pourtant, ce sont les autres qui s’occupent de votre quotidien.



  • Jason Jason 27 janvier 2023 19:04

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    Rassurez-vous, personne ne vous le proposera. Ni à moi non plus ; Tant mieux !



  • Jason Jason 23 janvier 2023 18:22

    Bonsoir,

    Et merci de ce constat accablant. Je suis très pessimiste sur l’avenir de notre société et je ne vois pas apparaître la fameuse et tant attendue conscience de classe. Si le peuple reste un puissant levier menant à une transformation de l’économie prédatrice, je ne vois pas, par contre, la naissance d’un mouvement qui pourrait effectuer un changement radical des institutions.

    La lutte des classes n’est le plus souvent qu’un combat de chapelles, d’ambitions pour les places, de luttes d’égos, où l’usure, le découragement atteignent trop d’acteurs. Comme le disait un député : « Si les dégoûtés s’en vont, il ne restera plus que les dégoûtants ».

    Pour reprendre la belle définition de Piere Rosanvallon, le capitalisme est (et reste) un opportunisme de classe. Il est protéiforme et s’accommode de tous les régimes, y compris de nos pseudo-démocraties.

    Les définitions de la (des) démocratie/s existent dans les textes et les discours. Le contrat de confiance sur lequel ce système politique repose est vicié car il s’agit le plus souvent d’un contrat dans lequel l’élu ne doit rien à l’électeur. Dans la mesure où ce contrat ne peut être révoqué, si l’élu peut trahir son mandat, alors, tout est permis. De plus, le clientélisme fait des ravages avec ses enfumages permanents.

    On ne peut pas revenir à l’existence des clubs comme en 1789, où les motions présentées devant le parlement (Constituante, Convention) faisaient et défaisaient les majorités. Et pourtant, il appartiendrait aux partis et aux associations syndicales de développer dans tout le pays des tribunes de discussions et d’apprentissage de la lutte politique. Au lieu de cela, le pouvoir monarchique existant se contente, de manière surplombante, de demander des cahiers de doléances dont il ne tient pas compte. Et pour cause : il s’agit de jouer la montre.

    L’avenir reste sombre.



  • Jason Jason 23 janvier 2023 13:52

    On vit toujours sous la férule du commerce depuis Turgot et sa fameuse formule : « Le commerce ne connaît d’autre lois que celles de son propre intérêt ». Mais, qu’on se console, ça fait 6000 ans que ça dure, comme le patriarcat, l’esclavage sous toutes ses formes, le racisme, le sexisme, les pouvoirs arbitraires, et autres notions puissamment enracinées dans la psyché des sociétés.

    Questions de pouvoir pour les uns et d’habitudes pur tous. Et le terme galvaudé de démocratie n’y changera rien. Y a-t-il une porte de sortie ?