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Les commentaires de Jean-François Dedieu



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 8 avril 17:34

    @Durand
    formidable ! et de toute façon, le grand air et non la pollution de la grande ville... même si pour se faire connaître et être diffusé, Paris était (j’ose espérer que cela l’est moins...) un passage obligé. 

    Mon cher Durand, pardon d’en devenir familier mais j’avais un Durand bon copain, Jean-Claude, au collège de Pézenas... bien sûr Vincenot, et aujourd’hui j’ai une pensée pour Louis Pergaud, mort le 8 avril 1915. 

    À y être, à tout hasard, j’ajoute Clavel, Lacarrière, Genevoix, Jakez-Hélias... ce n’est pas parce qu’on se sent sudiste (Chamson, Carrère, Carrière, Pagnol, Daudet, Giono, Bosco...) qu’on se ferme aux autres latitudes... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 8 avril 17:15

    @eau-mission
    je vais encore me mêler de ce qui ne me regarde pas... la faute vous en incombe puisque vous êtes une eau-de-vie ! 

    Je regardais si je n’avais pas encore fourré avec Scipion, le souvenir de mon grand oncle Noé, un homme admirable de truculence et de bons mots. Lors des repas de famille nous lui faisions chanter sa complainte préférée “ Sur la routo de Perpinya ” ; le manque d’à propos ne nous ayant pas fait demander d’où il la tenait, le mystère ne s’est éclairci que grâce au Net. Une des versions semble être allée jusqu’en Espagne puisque la ville de Lerida est mentionnée mais l’origine en serait une vieille chanson ardéchoise...

    Si ça vous dit : 

    Partager le Voyage : Fleury en Languedoc / MITHRIDATISÉ, OUI, MAIS A QUEL NIVEAU ? (dedieujeanfrancois.blogspot.com)

    je vois que mon paragraphe date de dix ans, déjà... donc, peut-être une autre quête à mener pour éventuellement en savoir davantage... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 8 avril 10:25

    @Durand
    bien sûr, tout pardonné... au contraire, merci pour le partage. 
    Il n’empêche, les glaces fondent, le niveau marin augmente, dans le Pas-de-Calais, ils perdent jusqu’aux maisons devenues invendables alors que la course, hier, du Paris-Roubaix, soulevait des nuages de poussière... et à Fleury-d’Aude, mon village natal, heureusement que quelques millimètres ont fait du bien ces derniers temps, sans quoi nous n’allions pas tarder à rejoindre le Roussillon pour une sécheresse au moins exceptionnelle... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 8 avril 10:16

    @eau-mission
    n’étant pas destinataire, je me suis, dans un premier temps, abstenu d’aller voir. Maintenant j’ai vu le moulin de St-Lys et apprécié d’autant plus les détails donnés qu’au village voisin du mien, les Amis de Lespignan, après l’avoir restauré, viennent d’installer la meule dormante (une vidéo a été tournée), je pense, une étape en vue de faire de la farine un jour, comme à côté de Toulouse. 
    Sinon, pour quelle raison serait-on rebuté par un accent différent ? Quel que soit le sentiment ou ressentiment à l’encontre des Sudistes, personnellement, tous les accents de France, pour ne rester que chez nous, je les trouve beaux... mais ne me parlez pas de Destouches et Derrida... dire que même le grand Hugo s’est laissé aller à un a-priori peu aimable et primaire contre nous...  



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 7 avril 05:39

    @Durand
    en toute modestie, dans le cadre d’un projet d’édition même à petite échelle, à la suite des articles sur Marcel Scipion, me donneriez-vous la permission de faire figurer votre réflexion en vous citant en tant qu’auteur ? 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 7 avril 05:27

    @Durand
    merci Durand même si votre prolongement est si triste et alarmant alors que l’information basique, pour une conscience lambda, en reste à la chimie empoisonneuse, au varroa (ah ! j’apprends qu’il faut deux “ r ”” ), et au frelon asiatique.
    Si je comprends bien, ce que vous avez à dire, au point de révéler une réalité, rejoint le côté sombre des exploiteurs, ces agro-industriels par ailleurs voleurs d’eau, addicts aux produits suite à la lâche politique de marché ouvert aux truands mondialistes, de la part de nos gouvernants complices. 
    Dépassant le credo sudiste qui me pousse ponctuellement à louer plutôt culturellement tout le Midi, des Pyrénées à la Durance et aux vallées occitanes d’Italie, en ne disant pas le lapidaire « c’était mieux avant » mais plutôt qu’il est suicidaire de ne pas tenir compte des apports du passé, je reste interloqué par vos révélations ! 
    Encore merci d’ouvrir les yeux aux candides encore crédules que nous sommes, au troupeau que de fait nous formons !  



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 5 avril 07:21

    À taper fort, autant ne pas picorer des économies de bouts de chandelles. Qu’en est-il des milliards aux entreprises paraît-il sans contreparties ? Quant à la lutte contre l’évasion fiscale... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 18 février 07:04

    @mmbbb

     soyons clairs, l’outrance était dans la forme et c’est bien parce qu’elle est du passé que la possibilité et l’intérêt de l’échange peuvent revenir. 

    de même me concernant, je ne me sens pas plus responsable de la situation de Mayotte que d’un monde économique suicidaire même si ponctuellement les étrangers nous dament le pion, un mal bien français soit dit entre nous. 

    Et qu’est-ce que vous ne comprenez pas si ce n’est que les entreprises sont présentes à Mayotte à hauteur de ce que cela peut leur rapporter ? 

    Sinon ne résumez pas jusqu’à la caricature, je ne suis pas plus pour l’attaque des entreprises florissantes que pour un collectivisme idiot, et si ça peut vous rassurer, moi aussi j’exècre cette gauche extrémiste parce que décérébrée (Mélenchon ? seulement un gourou, pro de la politique parasite) ; j’espère seulement une répartition plus juste entre la base et le patronat puisque cette inégalité criante reste vectrice d’une lutte qui aurait dû en finir depuis longtemps pour l’acceptation de chacun dans l’impact économique qui est le sien. 

    et pour finir, bien sûr que cette immigration débridée mine aussi une France d’Europe, ce qui se passe à Mayotte prédisant ce qu’il adviendra du pays profond.  



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 18 février 06:42

    @mmbbb

    merci pour ce rappel même s’il m’était superflu. 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 16:58

    Flipper « GAUCHO » du même fabricant, très cousin du vôtre (années 60). 

    dans un des cafés, le juke-box et le baby-foot étaient dans une salle à part, pour ne pas gêner les vieux joueurs de cartes. dans celui que je fréquentais, nous pouvions jouer au billard français, dans des soirées au prix d’un café parfois « arrosé ». 

    A 15-16 ans, Madeleine (c’était beau et pas que chez Laurette) nous servait la bière sans problème... 

    Merci Fergus pour cette nostalgie positive... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 16:43

    @Decouz

    les chansons, expressions artistiques à part entière, accompagnent nos vies et en marquent les époques rappelant parfois des épisodes durs à passer. 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 16:00

    @Hieronymus

    Giscard avait promis la nationalité française aux 70.000 voix pouvant se porter sur son nom à l’élection présidentielle. 

    Stirn à l’Outremer, le Quai d’Orsay et Giscard étaient pour Mayotte comorienne ; 

    C’est au sénat de Poher et à la « finesse » consistant à écrire un pluriel au lieu d’un singulier « les populations et non »la population" devant être consultées qu’on doit Mayotte française. 

    Seule votre affirmation sur les femmes-coucous venant accoucher est valable. Mettez-vous à jour puisque vous aimez la géopolitique... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 15:38

    @ETTORE

    dépêchez-vous de changer d’animal fétiche... le gecko margouillat se plaît beaucoup à Mayotte ! non mais... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 15:36

    @mmbbb
    mais qu’est-ce que vous attendez pour mettre un dictateur au pouvoir ?! 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 15:34

    @mmbbb
    ... alors ce serait plus facile pour les capitaux étrangers d’investir en France ? 

    Les patrons plus à plaindre que les footeux ? Allez dire ça à Lactalis, 40 milliards avec Léo Brumaire fermant les yeux !

    quant à « tirer l’économie vers le haut », ce qui est sûr est qu’ils en tirent le produit vers les paradis fiscaux... 

    Et pour Mayotte allez donc dire aux grands groupes installés pour la nourriture, le BTP, Total même qui voulait les stations d’essence gratos, qu’ils sont tarés ! 

    Et pour ce qui est d’avancer n’importe quoi, je vous renvoie d’autant plus le compliment que d’écrire sous pseudo ne peut que disqualifier vos outrances. 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 09:15

    Article symptomatique de l’arrogance déplacée d’une certaine gauche bourgeoise boboisée... certainement bien représentée chez les députés NUPES comme chez Hidalgo, sur-représentée comme le sont Paris et la Francilie même si ce n’est de ma part qu’un ressenti anti-jacobin et qu’il faut se méfier des ressentis comme pour l’insécurité ou l’immigration... 

    Étonnant comme Estelle Youssouffa dénote dans la caste feutrée des prétendus représentants du peuple ; ce n’est pas pour rien que les plateaux-télé se disputent cette représentante qui chez les “prétendus” plaide tant sur le fond que sur la forme pour les Mahorais. 

    Une satisfaction aussi, de la voir clouer le bec à ces soi-disant progressistes de la nupes dont ceux de la Réunion, la grande soeur colonisatrice de Mayotte qui ne voudrait surtout pas, mesquine et égoïste, avec un député tel que Frédéric Maillot (tout comme Marion Maréchal, Yvan Rioufol en métropole), partager le trop-plein d’immigrés à Mayotte si la fin du visa territorialisé se concrétisait...

    Rappelons que lors de la crise de l’eau 2018 (annonciatrice de la catastrophe 2023-2024), quand la ministre Bareigts a proposé l’envoi d’un tanker d’eau depuis la Réunion, l’île lumineuse de son multiculturalisme a refusé... Il faut dire que lorsqu’on la prend en exemple, il faudrait penser au grand mensonge du « melting pot » qu’on nous assénait (années 60) afin d’ériger les States en exemple d’une harmonie interculturelle... 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 08:13

    @Spartacus Lequidam

    il n’empêche, il est logique de stigmatiser le patronat pour la possibilité infinie de faire des milliards, la réussite, la richesse restent disproportionnées avec ce qu’elles valent. 

    Un certain patronat qui délocalise tient cependant à revenir vendre sa camelote à ceux qu’il a mis au chômage, en comptant sur l’argent distribué par l’État, donc, une forme de parasitisme de leur part. 

    Le patronat est toujours aux sources de l’immigration pour faire chantage et obstruction aux hausses de salaire. Qu’en est-il du ruissellement ? 

    Si vos traits contre une gauche malsaine sont partagés, d’honorer un grand patronat (parce que les PME, elles, qui donnent du travail localement, trinquent) est à « gerber » pour employer votre vocabulaire...  



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 15 février 09:33

    @Francis, agnotologue

    J’oubliais : merci pour l’agnotologie. 



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 15 février 09:30

    @Francis, agnotologue

    Staline, résultante à visage humain si on peut dire, du fascisme sinon d’un nazisme et du totalitarisme. 

    Pour les arbres, vous avez raison, c’est une logique qui m’échappe... je ne connais d’eux que le schéma naissance, croissance, mort, tendant à convaincre que la croissance économique, elle aussi, est limitée



  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 15 février 07:11

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

    Tout cela, on s’en doute, on le sait serait-ce vaguement... gentil ton Touati mais il fait son beurre parce qu’il sait trouver des chiffres pointus pour lesquels nous ne sommes pas motivés à chercher. La roue tourne, à la préhistoire, technologiquement l’Afrique était première pour les outils... 

    Moralité, puisque l’idée de la solidarité, de la mise en commun de l’UE est mort-née, sans que cela devienne autarcique, regardons ce à quoi notre pays peut subvenir... Quand on a du mal à acheter à manger, on essaie de faire pousser quelque chose au jardin et non chez les Brésiliens ou les Thaïs ! bradées depuis 40 ans au nom de l’économie mondialiste, les industries devraient fournir en rapport au pouvoir d’achat et non plus au bénéfice malhonnête et sans limites de la bourgeoisie d’affaires. 

    Tu évoquais Francis qui lui-même parlait sans trop de logique des arbres... Les arbres justement s’arrêtent bien de croître à un moment, pourquoi en serait-il autrement de la croissance économique ? Non à la décroissance aussi nulle et ringarde que le droitdelhommisme décati de gauchos qui en sont restés au XIXe siècle. Regardons en quoi le pays peut subvenir à nos besoins, que nos paysans puissent ressusciter. 
    Partant de là, je ne suis pas en accord avec ce que tu dis :  

    “ vous n’aurez rien a attendre de la France sauf a vous débrouiller vous memes et avec l’autre qui en plus vous crée un appel d’air en autorisant les migrants a partir en métroplole... ” 

    L’appel d’air, justement, qu’il s’inspire de pays tels que l’Australie ou la Nouvelle-Zélande qui ont une politique ferme et malgré cela un rang démocratique bien au-dessus du nôtre ! 

    Si, justement, quand le sens de l’Histoire tourne, retourne-toi vers ce dont tu es capable plutôt que de compter sur le proxénétisme mondialiste (Macron est l’homme des investissements étrangers qui affluent chez nous ! Et alors ! la belle affaire ! Au bénéfice de qui déjà ???). La France est présente dans tous les océans, qu’elle anticipe (vœu pieu je sais !) la défense de ses acquis (donc de Mayotte) car en tant que bête blessée, elle va être agressée de partout et que si elle laisse tomber, à terme, après avoir été grignotée, c’est son cœur métropolitain qui sera envahi (Crécy, Azincourt, Sedan, Paris 1871,14-18, 39-45... tu me diras, on a l’habitude... ) 

    Quant à la dette, quitte à se mettre à dos une communauté internationale prête à te tomber sur le râble, du jour au lendemain, pschit comme disait l’autre, on ne doit plus rien, on fait comme Philippe IV le Bel...