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Les commentaires de Alan C.



  • Alan C. Alan C. 15 avril 2012 20:34

    Article sans intérêt qui se résume à une démonstration de mauvaise foi.

    Je suis militant PG depuis 2008 et je peux objectivement affirmer que JLM a prononcé l’un des meilleurs discours de sa vie hier à Marseille.

    Nous étions LARGEMENT plus de 30 000, moi aussi j’y étais et les manifestations, je connais. Par ailleurs le nombre de participant a été mesuré conformément aux capacités d’occupant entre l’eau et la rue. Vu les proportions et la concentration de gens on était largement plus de 100 000. A la fin on ne tenait pas sur les trottoirs tellement ont était nombreux, on a coupé la circulation en regagnant les cars, la police n’avait quasiment rien anticipé.



  • Alan C. Alan C. 13 avril 2012 19:04

    @ Romain Desbois : si on applique votre raisonnement la victoire d’Hollande est assurée : il obtient le report de voix d’environ 80 % des électeurs de Mélenchon, 40 % de ceux de Bayrou et grosso modo 25 % de ceux de Le Pen... Bien sûr que si l’abstention peut varier entre les deux tours, en 2002 elle avait augmenté de huit point du premier au second tour !



  • Alan C. Alan C. 13 avril 2012 19:02

    Il ne pense justement pas que la croissance soutient les hommes. Il a même très précisément déclaré : « je m’intérdis le mot croissance ».



  • Alan C. Alan C. 13 avril 2012 19:00

    « a approuvé notamment par son vote de député les crimes de Nicolas Sarkozy en Libye ».

    Non. Jean-Luc Mélenchon, député européen et non pas député tout court, a voté la résolution de l’ONU prévoyant l’institution d’une zone d’exclusion aérienne. Il a en revanche toujours condamnée l’intervention militaire qui a eu lieu ensuite sous la direction de l’OTAN. N’écoutez pas les mensonges venus de l’extrême-droite.

    Quant à être de gauche et dire que la droite c’est le mal : franchement, quand vous voyez quelle politique mène Sarkozy et quels discours tient Marine Le Pen, vous trouvez ça cool la droite ??



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 22:58

    Ben écoutez vous pouvez avoir l’opinion que vous voulez sur ces sondages, mais ça ne vous autorise pas à vous en prendre à ma vie privée, je ne vous ai rien fait, si ?

    Les enquêtes d’opinion emploient la méthodes des quotas, qui est reconnue comme étant une méthode scientifique et est utilisée pour bien d’autres choses que des intentions de vote. Le seul problème de crédibilité qui se présente, c’est la taille des échantillon : avec moins de 1000 répondants, la probabilité de se tromper lourdement est plus grande.

    Ce ne sont donc pas des données « fausses », toutes ces enquêtes sont contrôlées avant publication par la commission des sondages, qui manque de moyens, on est bien d’accord...

    Après, comme je l’ai dis, je ne suis pas ici pour plaider en faveur des sondages. J’avance des chiffres, je mets en avant certaines évidences, comme la marge d’erreur (ou intervalle de confiance) et je compile des données. Après chacun est libre d’en faire ce qu’il veut ! Quand je dis que je tire des enseignements, c’est pas des sondages en eux-même, mais de ce que donne comme vue d’ensemble cette aggloméra de données.

    Quant à la capacité des sondages à « prédire » l’élection, je répète, une fois encore, que je rédigerai une note post-électorale pour évaluer leur validité...



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 18:04

    Tendance Claire du NPA qui ne compte que deux délégués au CPN, le moins qu’on l’ont puisse dire c’est que cette tendance est loin d’être représentative de la base militante du NPA...



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 18:00

    Dommage que certains n’utilisent Agoravox que pour faire de la propagande pour leur candidat.



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 17:58

    Certains scrutins ont déjà eu lieu en périodes de vacances et n’ont pas influencé plus que ça le niveau d’abstention. Les gendarmeries et les services municipaux parlent d’un grand nombre de démarches de procuration ces dernières semaines, donc les gens qui savent déjà qu’ils vont partir en vacances prennent leurs précautions.

    Par ailleurs l’organisation des européennes, des régionales et des cantonales hors périodes de congés n’a pas enrayé outre le mesure la flambée de l’abstentionnisme...

    Et une fois encore je ne formule aucun pronostic dans cet article. Vous remarquerez qu’à la fin de mon propos j’ai mentionné mon intention de confronter les chiffres de ces sondages aux résultats réels de l’élection. Qui vivra verra !



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 17:54

    La moyenne permet aussi de lisser les effets de conjoncture.

    Vous remarquerez aussi que j’ai mentionné des fourchettes pour les candidats obtenant les scores les plus importants, en appliquant pour tous une marge d’erreur de plus ou moins trois points.



  • Alan C. Alan C. 4 avril 2012 17:51

    @ Romain Desbois : Cet article a une dimension purement objective et n’a pas pour but de tirer des enseignements. Je me contenter de relayer des chiffres, et d’analyser les différentes dynamiques. Parce que s’il y a bien une chose qu’on peut déduire des sondages, c’est les progressions et les baisses

    Vous soulignez la prise en compte des marges d’erreur... Ça vous paraît anodin mais c’est pourtant essentiel, ça permet par exemple de comprendre pourquoi aucun sondage n’avait donné Le Pen devant Jospin avant le premier tour en 2002, alors que la marge d’erreur laissait envisager cette possibilité dans plusieurs enquêtes. Quand je dis que tel ou tel candidat se situe entre tel et tel score potentiel, je ne tire aucun déduction, j’applique la marge d’erreur !

    Par ailleurs concernant mon CV je vous serai gré de me témoigner un minimum de respect, j’en suis à ma 5ème année études et j’ai toujours de salaire, donc vos délire sur le marasme politicien ou je ne sais quoi ça va bien cinq minutes, j’ai travaillé pour en arriver là, je ne suis pas corrompu, merci...



  • Alan C. Alan C. 2 avril 2012 00:28

    Il est d’ailleurs tout à fait saisissant de voir le NPA ne s’en prendre qu’à Mélenchon... Franchement je n’ai pas entendu Poutou mentionner une seule fois Sarkozy depuis qu’il est candidat. A chaque fois qu’on parle de lui, c’est suite à ses critiques à l’égard de Mélenchon.

    Chacun ses priorités. En tous cas les militants s’y retrouvent : le NPA est tombé à 3500 adhérents quand le Parti de gauche en revendique maintenant 10000...



  • Alan C. Alan C. 31 mars 2012 18:47

    Petite rectification : un ami m’a fait remarquer à raison que dans la troisième circonscription de la Seine-saint-denis, Muguette Jacquaint était sortante, mais ne se représentait pas. C’est Gilles Poux, maire de la Courneuve, qui avait été investi pas le PCF. Mea culpa.



  • Alan C. Alan C. 31 mars 2012 18:44

    Attention, il y a politologue et politologue. On peut aussi dire politiste. Il s’agit de chercheurs en sciences politiques, qui peuvent être spécialisés dans des domaines bien particuliers (analyse électorale, militantisme, rapport entre partis et société, ou même spécialistes d’un pays tout entier, et on en manque pour certaines parties du monde). Un politologue est généralement également enseignant (dans le supérieur) et a reçu le titre de professeur (autrement dit une très grosse pointure qui a fourni des travaux d’excellente qualité). Bref, il y a ceux qui bossent vraiment, qui apportent des connaissances nouvelles, qui mettent à l’épreuve des concepts originaux pour expliquer certains phénomènes sociétaux, et ceux qui se contentent de blablater, de faire des commentaires du haut de leur statut social, et sont donc parfaits pour aller crâner sur les plateaux de télé, mais jouent un rôle très anecdotique dans la recherche en tant que telle...

    Attention également à ne pas confondre politologue et « observateur politique » ou « observateur de la vie politique », une notion floue sans valeur juridique qui désigne généralement des journalistes à la Duhamel, Apathie et consort, qui n’ont absolument aucune légitimité académique pour chercher à établir des faits quant à la vie politique en général. Je suis bien entendu prêt à retirer ce commentaire si l’un d’entre s’avère être capable d’évoquer la théorie des réalignements électoraux, la théorie des clivages partisans ou le concept de désafiliation partisane dans le Grand Journal...



  • Alan C. Alan C. 31 mars 2012 12:50

    Votre article ne vaux pas une thune, d’une part parce que vous cherchez à expliquer un phénomène sondagier qui n’a pas eu lieu (Bayrou baisse dans les intentions de vote et ses électeurs potentiels sont très volatiles), et surtout que vous tirez des conclusion des résultats d’une élection qui ne s’est pas encore déroulée ! Bref, c’est n’importe quoi, et ce genre d’enfumage ne va pas sauver Bayrou et sa droite molle en pleine décrépitude.



  • Alan C. Alan C. 27 mars 2012 14:42

    Franchement je n’aurai jamais imaginé avant qu’on aurait put trouver ce genre de plaidoyer à deux balles certifié par la pensée unique néolibérale ici... Avec quel argent ? Ben lisez le programme en entier, en particulier à la section relative à la fiscalité, et vous trouverez vos réponses.

    Vos solutions « réalistes » ça fait des decennies qu’on les applique, et maintenant on a droit à quoi  ? Une jeunesse sacrifiée, un retour sur les acquis sociaux, une crise économique à laquelle l’oligarchie politico-financière n’oppose que des plans de rigueur qui saignent les peuples... Si l’utopie c’est aspirer à une vie digne à notre époque, alors vive l’utopie !



  • Alan C. Alan C. 24 mars 2012 14:28

    « les intervalles d’erreur sont de l’ordre de 3 à 4% » : en fait non, généralement c’est plutôt de l’ordre de deux points, et ça varie en fonction des scores attribués aux différents candidats. Plus le score est élevé, plus la marge est importante...

    La dernière partie de votre article est consternante, il faut le vouloir pour raconter des choses aussi farfelues avec autant d’aplomb. Vous vous intéressez aux sondages, tout en omettant de relever que l’écrasante majorité des électeurs mélenchonistes se reportent sur Hollande au second tour : si la droite gagne concrètement quelque chose dans la percée de Mélenchon, il va falloir m’expliquer quoi. Vous parlez également de la « peur » que pourrait suscité JLM et le Front de gauche... Sauf qu’on est plus en 1981, que la Guerre Froide est finie, que le Front de gauche n’est pas financé par l’URSS ni soumis aux injonctions du Kominform et qu’il n’y a donc plus aucun risque de voir les chars soviétiques déferler sur Paris en cas de victoire de la gauche. Dans les années 70 et 80, une grosse partie de l’électorat était animée d’un fort sentiment anticommuniste. Cette époque est révolue : le FdG voit ses propositions monter en puissance, au point d’être reprises par les principaux candidats, et Mélenchon bat des records de popularité.

    Sarkozy et l’UMP sont dans un jeu politicien. Ils cirent les pompes de JLM parce qu’ils s’imaginent que celui-ci affaiblit un François Hollande qui, de ce fait, serait moins fort face à Sarkozy. Mais ces calculs médiocres ne doivent pas dissimiler une réalité indiscutable : le Front de gauche, de part ses propositions et son héritage historique, est le pire ennemi de la droite. Le rejet des politiques sarkoziennes est unanime, sans nuances, et sans équivoque au Front de gauche. Personne n’est dupe de la fausse bienveillance des grands bourgeois, parce que si le Front de gauche gagne ces élections, c’est eux qui auront le plus de soucis à se faire.

    Quant au dernier paragraphe, franchement, qu’est ce que c’est que ce délire ? Qu’est ce qui vous permet de dire que des opportunistes comme Hamon et Montebourg, qui sont des carriéristes qui ne vivent que pour grapiller des ministères, veulent construire un nouveau « grand parti de gauche » avec le Front de gauche ? Rien, aucune déclaration, aucun fait, vous nagez en pleine science fiction.

    Cet article est encore un énième plaidoyer larvé en faveur du vote utile. Sarkozy n’a pas à remercier le Front de gauche parce que quoi qu’il arrive, il se fera botter le cul au second tour. Vous l’avez fort bien relevé : le rejet du président sortant est très fort, et une majorité de français sont prêts à élire une chaise pour le mettre à la porte.

    Et ne spéculons pas sur l’ordre d’arrivée : en 1974, VGE était largement distancié au premier tour, il a finalement été élu. En 1981, Mitterrand est arrivé deuxième, puis a été élu. En 1995, Jospin est arrivé premier, puis a été battu. Ces histoires comme quoi l’élection se joue au premier tour sont une pure fumisterie, il n’en a jamais été ainsi, et c’est pas prêt de changer. Si Hollande n’était pas aussi nul et si le programme du PS n’était pas aussi droitier, Mélenchon n’aurait même pas trouvé le moyen de se présenter à cette élection.

    Le multipartisme, c’est la clef de la démocratie. Si vous voulez que le scénario soit perpétuellement écrit à l’avance sur fond de duel UMP-PS, militez pour qu’on impose le bipartisme. Dans le cas contraire, assumez la confrontation et le débat d’idée et cessez, depuis votre canniveau, d’inventer des histoires qui n’ont ni queue ni tête.



  • Alan C. Alan C. 23 mars 2012 23:29

    @ jaja : les 120.000 personnes qui se sont massées à la Bastille la semaine dernière s’en beurrent la raies de vos conseillers généraux communistes qui votent avec le PS dans deux ou trois départements.

    Et arrêtez de dire que les élus FdG votent les budgets du PS dans les régions : le budget d’un conseil régional fait l’objet de plusieurs votes, sur un grand nombre de thèmes. Il n’y a jamais de vote global. Et allez voir dans toutes les régions, pas seulement dans celles qui vous arrangent de votre point de vue partisan : dans le Nord-pas-de-calais et le Limousin, aucun élu FdG ne participe à l’exécutif. En IDF les élus PG et Alternatifs ont formé leur propre groupe justement pour se démarquer des élus PCF qui voulaient cogérer la pénurie régionale avec le PS.

    Si le NPA était dans le Front de gauche, il pourrait peser en faveur d’une « gauchisation » de sa ligne sur la question des rapports avec le PS. Mais vous avez toujours refusé de mener cette bataille. Vous préférez trouver des justifications absurdes à votre attitude plutôt que d’essayer de vous impliquer concrètement. Ça ne vous a apporté que des emmerdes jusqu’à maintenant. Qu’est ce qu’il vous faut de plus ?

    Les « exploités et qui souffrent » ils sont au Front de gauche en ce moment, pas dans un groupuscule étriqué replié sur lui-même. Il serait peut être temps d’en avoir conscience.

    Moi j’attends de voir vos gueules quand au lendemain des législatives, le Front de gauche, PCF compris, refusera d’aller à la soupe au gouvernement Hollandréou. Vous avez prédit notre explosion au lendemain des européennes : vous vous être trompés. Vous avez prédit notre fin à l’aune de la présidentielle : vous vous êtes encore trompés. Quand on vous aura donné tort sur absolument tous les points, qu’allez vous faire ? Réclamer de Mélenchon qu’il retire sa cravate ?



  • Alan C. Alan C. 23 mars 2012 23:20

    "Poutou est un simple ouvrier et dès les élections passées il retournera dans son usine où il se battra avec ses camarades comme il le fait depuis des années....« 

    On remarque au passage que le camarade Poutou aime beaucoup sortir de »son" usine pour aller se jeter à corps perdus dans l’arène électorale, entre une candidature aux législatives en Gironde, la tête de liste aux régionales en Aquitaine et maintenant cette candidature à la présidentielle... Il a de l’expérience votre bonhomme, c’est un historique de la LCR, un militant formé et aguerri, c’est pas le petit prolo qu’on a pris comme ça au hasard.

    Quand au programme, la quasi-intégralité est du copier-coller du programme du Front de gauche.



  • Alan C. Alan C. 23 mars 2012 23:15

    @ Carland : ben écoutez rigolez si ça vous chante, mais moi je maintiens que vous vous foutez de la gueule du monde. Jusqu’à preuve du contraire, Besancenot, Krivine et Poupin faisaient partie de la majorité, et ils ont soutenu la candidature Poutou dès le premier jour de son annonce ! Avec des poids lourds pareils je vois mal comment on peut parler de régicide. Par ailleurs la tendance unitaire s’est elle aussi considérablement renforcée lors de ce CPN, passant de 27 à 40 %. Avant le NPA était coupé en trois, il est maintenant coupé en deux suite à l’explosion de l’ancienne majorité dont la plus grosse partie a fusionné avec l’essentiel de la fraction la plus isolationniste du parti. C’est aussi simple que ça...

    Par ailleurs comme je l’ai remarqué les adhérents n’ont pas été consulté sur cette investiture, ce qui laisse tout-de-même songeur sur la validité démocratique de la candidature Poutou, qui résulte bien plus de sordides manœuvres d’appareil au sommet que d’un ardent désire des masses militantes.

    Reste enfin un fait indéniable : le NPA compte maintenant au mieux 4000 adhérents à jour de cotisation. Sur ce nombre déjà faible, 40 % sont en principe proches de la GA (puisque le CPN a été élu au suffrage direct). Bref, vous êtes en très grandes difficultés et la légitimité de votre candidat est faible. Vous pouvez être de mauvaise foi mais les faits sont là...



  • Alan C. Alan C. 23 mars 2012 11:18

    Votre analyse est totalement erronée : la GA n’est pas l’ancienne majorité, mais résulte au contraire de l’explosion de cette ancienne majorité, et d’un rapprochement de plusieurs de ses éléments avec les courants unitaires, tandis que d’autres fusionnaient avec l’ancien tiers isolationniste qui ne voulait même pas des fusions techniques avec le PS entre les deux tours aux régionales... Besancenot, Krivine et Poupin constituaient eux-aussi l’ancienne majo aux côtés de Grond et Martin. La « presse bourgeoise » attribuait même à Grond le titre de « bras droit de Besancenot »...

    Par ailleurs vous taxez ces trois militants d’arriviste. Ca laisse songeur quand on sait qu’ils ont passé plusieurs années à la LCR avant de participer à la fondation du NPA. Ils ne sont pas plus arriviste que Poutou et Besancenot, j’en ai bien peur. Au début les divisions au NPA opposaient surtout ex-LCR et nouveaux adhérents. Maintenant même les ex-LCR s’affrontent !

    Il n’y a donc pas eu de renversement de la majorité, comme vous le dites. Le NPA s’est simplement retrouvé coupé en deux au lieu d’être coupé en trois comme avant. Vous parlez aussi du « combat des militants ». Elle est bien bonne, quand on sait que Poutou a été élu par une petite centaine de délégués du CPN sans aucune consultation des adhérents...

    L’échec du NPA