@LeMerou
Il s’agit d’employer les mots au plus près des choses. Voilà pourquoi il ne faut pas s’habituer à croire que l’on créé de l’énergie, on la disperse.
Mon article est sur l’énergie et sa dispersion, mon article est sur concentration-dispersion, pas sur le pétrole.
Je n’ai pas noté où (radio ou télé) un économiste qui disait qu’il fallait relocaliser l’énergie, c’était comme l’industrie, il fallait refaire venir les ateliers et manufactures qu’on avait laissés partir dans des pays à main d’oeuvre moins couteuse. Il voyait de la même façon l’énergie et la transformation des objets trouvés. On pouvait si on voulait les rapprocher de chez nous de la même façon, par la volonté politique.
@xavier dupret
Je ne vois rien de raisonnable dans cette réponse. Vous me dites que vous voulez être un brave serviteur de la comptabilité nationale ?
Sur France Culture, un économiste disait, à propos du coronavirus et de ses conséquences : « les économistes ont appris à parler sous l’autorité des médecins », avec un pointe d’étonnement et de regret, alors qu’il en est toujours ainsi. En général, les gens sont en assez bonne santé pour qu’on n’ait pas à y penser, mais c’est bien toujours comme ça.
On n’a pas une économie et des accidents qui rendent l’économie incompréhensible ! On un activité humaine de production, échange et consommation dans la condition humaine et terrestre
Un article ancien de ma plume à propos du volcan Eyjafjöll (2010)
« Pascale Clark, la journaliste de France Inter, dit : « un nuage est plus fort que la puissance économique ». Eh oui, nous oublions sans cesse que la nature est incorporée à la puissance économique. On n’avait jamais pensé que, pour que les avions volent, il fallait que les volcans ferment leur gueule ! »
Je volcan le volcan veut.
http://compact.over-blog.com/article-je-vole-quand-je-veux-l-invite-du-vendredi-49950013.html
« On rappellera que du point de vue des facteurs de production, le PIB est composé du travail et du capital. »
La nature est le facteur de production essentiel, sans lequel on ne pourrait rien produire.
La core inflation consiste à éliminer l’influence monétaire qu’il prend de plus en plus, vu la dégradation de son état. Une merveille de non-sens, ou de déni, comme on veut.
https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/la-banane-economique-235052
Les voeux du nouvel an viennent de faire leur entrer dans la politique. Cela provient du même groupe.
Je voudrais rajouter un mot sur le film « un héros ».
Un homme résout une situation très difficile pour lui par une bonne action, qui sort d’un hasard heureux. Ensuite, et beaucoup par ce qu’on appelle à tort les réseaux sociaux (netagora conviendrait mieux, dirait mieux ce que c’est), il est défait.
Sur la base d’éléments qu’il ne peut pas prouver, parce qu’il n’a pas pensé qu’on lui demanderait des preuves et il n’en a pas recueillies, il se trouve accusé d’avoir menti d’un bout à l’autre. Là, c’est la volonté de nuire qui l’emporte. Elle s’exprime sur le Net. Une institution et une association qui devaient parachever la sortie de crise pour cet homme ne veulent pas prendre le risque d’être contestées sans cesse pour avoir accepté le fait qu’il a réalisé une bonne action. Elles se rangent à l’avis que s’il n’a pas certaines preuves, c’est que les faits n’ont pas eu lieu et elles le renvoient au début (à la prison).
Cela passe pour un film sur l’Iran actuel, cela me semble plutôt un film sur les agoras du web (sa capacité de nuire et la facilité de nuire sans risque pour soi).
Le géant égoïste comme le portrait d’un pervers narcissique (le blond en colère et en premier plan sur l’affiche) tandis que le gentil grisailleux au second plan meurt à la fin en faisant la punition du blond, le gentil meurt à la place du méchant :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-geant-egoiste-le-gentil-le-146646
J’ai vu « les neiges du Kilimandjaro » comme le parcours des victimes (un parcours possible pour des victimes) se passant dans la classe ouvrière et non, comme Robert Guédiguian un film sur la permanence de la classe ouvrière et de la lutte des classes comme il a dit qu’il avait voulu faire.
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/les-neiges-du-kilimandjaro-104989
Je crois que j’ai écrit quatre articles.
Voir les films sous un angle psychologique est dans mon regard :
J’ai vu le film « Des nouvelles de la planète Mars » comme la tragédie d’un gentil :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/des-nouvelles-de-la-planete-mars-179356
@Fergus Merci. Tout-à-fait d’accord.
Joli article qui donne envie de lire le roman.
Mais il est inutile d’écrire « auteure ». Comme dit ma sœur : la valeur n’attend pas...
Une auteur va très bien, une autrice encore mieux (comme acteur-actrice).
Le « e » n’est pas la marque du féminin :
https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/le-e-n-est-pas-la-marque-du-225062
Une amie écrit « valeure ». Eh oui !
Une professeur, pas de problème, une médecin, pas de problème.
Que veulent celles et ceux qui affirment cette fausseté du « e » comme marque du féminin ? Signé : un père qui rêve de devenir une star (et non une stare)
@chantecler
Je ne comprends pas « simplement d’un virus ».
Sur la deuxième phrase, il me semble qu’une oeuvre d’art doit avoir une singularité. Et les intentions d’Ariane Mnouchkine en manquent.
D’autre part, d’une manière générale, la grille de lecture « peuple sain, dirigeants imbéciles ou pourris » ne conduit pas à la solution des problèmes :
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/tous-victimes-les-dirigeants-213792
Ariane Mnouchkine et Hélène Cixous présentent le moment covid en ces termes : « Comme on était malade, hier, vous vous souvenez — de la bêtise, de la médiocrité, comme on était mondialement malade, de la lâcheté, de l’empoisonnement de la vérité, des minables trafiquants des consciences et des sciences, de la complicité des pouvoirs avec toutes les forces de destruction, du délabrement volontaire de la langue, de la chute vertigineuse des lumières dans l’entonnoir des ténèbres ! »
Il me semble que c’est le point de vue qui court dans le spectacle et qu’il est très ordinaire et n’apporte rien à personne, on le trouve partout.
Puisque je suis dans les commentaires de mon texte, je me permets de mettre des liens vers des textes où j’exprime mon idée de ce sujet :
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/qu-apprendre-de-ce-moment-222594
D’une certaine façon, Ariane Mnouchkine pratique cette universalité humaine dans le croisement sur scène de toutes sortes de particularités nationales, ethniques... Mais « l’ile » n’est pas véritablement inscrite dans l’unité des particularités.
D’autre part, nous sommes inscrits dans le monde et notre monde ne commence pas à notre perception, notre action, nos courages ou nos lâchetés (nous n’avons pas été malades, de la bêtise, de la médiocrité...). Nous avons été malades, et nous le sommes encore, d’un virus.
J’ai écrit dans le domaine économique mais cela s’applique totalement au virus covid :
https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/la-banane-economique-235052
Mon article sur le précédent spectacle d’Ariane Mnouchkine :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/une-chambre-en-inde-impossible-de-202730
Sur France Inter, à l’instant, une juge qui se plaint dit « il y a un gap entre ce qu’on apprend et ce qui se passe quand on est en juridiction »
Un gap !?
@Orélien Péréol
Correction grammaticale : « Felwine Sarr écrit sur les polémiques qu’a provoqué, ce prix » et non « Felwine Sarr écrit sur les polémiques qu’ont provoqué... »
@Orélien Péréol
Pour savoir un peu qui est Felwine Sarr :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/liberte-j-aurai-habite-ton-reve-234564
et
https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/l-economie-a-venir-233348
Felwine Sarr écrit sur les polémiques qu’ont provoqué, au Sénégal, ce prix pour Mbougar Mohamed Sarr. En substance, il avait précédemment écrit un roman qui traitait de la condition faite aux homosexuels en Sénégal.
Felwine Sarr écrit : « Qu’un écrivain de 31 ans ait eu le courage et la lucidité, dans l’un de ses ouvrages, de tendre un miroir à une société qui se dit pieuse et pétrie de valeurs, mais qui déterre les corps d’individus accusés ou suspectés d’homosexualité, les profane, violente leurs cadavres, les traîne dans la rue et refuse l’ultime dignité d’une sépulture à un être désormais défunt, oubliant qu’enterrer nos morts, c’est ce qui fait de nous des humains, est salutaire pour nous tous. Écrire c’est rendre proche nos semblables, en reconnaissant leur humanité. Écrire, c’est parfois rappeler aux humains leur part lumineuse. »
https://www.seneplus.com/opinions/les-hurlements-de-la-meute Felwine Sarr désapprouve le titre « les hurlements de la meute » choisi et imposé par le journal.
Un point sur le manque de blé dans le monde :
https://twitter.com/LCP/status/1461415645732433921
d’un point de vue géopolitique.
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