Les commentaires de Serge ULESKI

Rajout et synthèse à l« attention de ceux qui ont pu trouver mon billet abscons : 

En service commandé au »Molières 2024" ...

Sophia Aram, c’est le syndrome de la femme battue qui pardonne encore et encore jusqu’à ce qu’elle y trouve la mort dans ce qui s’avèrera être son dernier pardon (mort symbolique ou métaphorique en ce qui concerne Aram puisqu’il s’agit d’une mort d’ordre éthique et moral) ; Sophia Aram c’est aussi le syndrome de l’enfant maltraité qui cache sa maltraitance pour mieux entretenir l’espoir d’obtenir un jour ce que tout enfant est en droit d’attendre : l’amour d’une mère et d’un père. 

Sophia Aram leur a donc donné ce soir-là, ce que de guerre lasse, tous les agents de l’humiliation des minorités issus d’une histoire coloniale et impérialiste, exigeaient d’elle : la prise en charge de la perpétuation de son humiliation par ses propres moyens et ses propres soins, et ce pour un quignon de considération qu’elle n’obtiendra que dans le mépris d’une exigence de soumission : c’est là leur seul droit à tous... celui de marcher droit mais derrière, loin derrière... toujours ! 

@docdory

 ??????

Faut vous calmer là ! Je sais que Israël est la béquille de tous les recalés de l’intelligence et de la morale (en particulier de l’excellence juive européenne qui s’est effondrée depuis une trentaine d’années — depuis qu’il n’y a plus rien à sauver d’Israël, Etat hors la loi depuis 1967)... mais là, vous en faites trop, vraiment trop... 

Je suis gêné pour vous. Je suis sûr que vous pouvez trouver une autre raison d’être au monde... 

Ou bien alors, je vais devoir vous demander de quitter mon billet et de cesser de le salir avec vos commentaires de groupie désoeuvrée... 

Vous êtes insupportable... 

Allez faire une randonnée ...

@docdory

N’empêche...

Les opinions publiques n’ont pas pour autant pu décider de la victoire d’Israël à ce concours — si telle était leur intention.

Quand le moment venu il sera question de poursuivre Israël pour « crimes de guerre »... là encore, les opinions publiques ne décideront pas du jugement final.

Seul le résultat compte.

@Giordano Bruno - Non vacciné

Je vois que vous ne savez pas « lire » (comprendre) un « on »...

Vous ne semblez pas plus être capable de distinguer « ce qui est » parce que c’est légitime que ça le soit et « ce qui est » parce qu’un certain rapport de force l’impose. 

@Serge ULESKI

Rajout : 

Voltaire, millionnaire, était un bavard égo-centrique et intéressé (vénal) ; il était sa propre cause bec et ongles. Homme de salon, s’il se disait tolérant... il défendait la parole de ceux dont il était assuré de ne faire qu’une bouchée.

Pour preuve, ce qui suit : avec J.J. Rousseau, il sera d’une intransigeance et d’une intolérance cruelle ; il sera son bourreau. Rien de surprenant : Rousseau conspuait l’argent. Voltaire s’est senti à la fois visé et menacé moralement.

De sa génération, Bernard Pivot était (avec Jacques Chancel) sans doute l’un des professionnels les plus doués du petit écran : il était « fait pour ça ».

A la tête d’une émission littéraire, on n’avait pas besoin de savoir lire pour ne pas rater une seule des émissions qu’il animait - c’est vous dire ! - même s’il n’était jamais que la courroie de transmission des éditeurs de deux arrondissements de Paris ; le protecteur des intérêts des multinationales qui en étaient les propriétaires.

Pivot annonce aussi « l’animateur vedette » qui, à la longue, finit par « voler la vedette » à ses invités ; il annonce les Drucker, les Ardisson qui font carrière sur le talent et le génie des autres, une fois ce talent et ce génie confirmés commercialement : il faut donc être « connu » pour « passer » chez eux. C’est la raison pour laquelle, avec Pivot, on ne découvrait aucun auteur qui n’ait pas été déjà découvert.

Pivot a réalisé quelques « coups » médiatiques… comme interviewer Soljenitsyne même s’il n’avait pas vraiment le niveau pour le faire - connaissance de l’histoire de toutes les Russies ; connaissance géographique de son immense territoire ; connaissance de la Révolution russe et ce qui l’a provoquée et comment ; connaissance de l’oeuvre de Lénine et de la religion orthodoxe… il est vrai que l’important était de s’être retrouvé face à cet auteur en exil, caméra et micro en mains.

A ce Pivot, on lui doit un événement peu glorieux… dont il se rendra complice (sans doute sur « ordre » des éditeurs) ; il s’agit de ce qui demeure à ce jour, la plus grande escroquerie intellectuelle de ces années-là : la promotion du pseudo-courant de non-pensée qui avait pour accroche marketing “Les nouveaux philosophes” ; produit qui n’accouchera d’aucun philosophe digne de ce nom. Il s’avérera qu’il s’agissait simplement d’agents protecteurs des intérêts américains et israéliens (BHL et Glucksmann père), grands pourfendeurs de toute idée d’alternative à un néo-capitalisme naissant (néo-libéralisme) qui allait décimer des sociétés (classes ouvrières) et des régions entières avec pour cibles privilégiées : Arabes et Musulmans.

Force est de reconnaître en toute lucidité et honnêteté ceci : à leur sujet, l’avenir ne démentira pas ce diagnostic. Oh ! que non.

@ZenZoe

Je me mets à niveau ; à votre niveau.

@mursili

Merci pour ce rappel ; merci pour eux.

Science et Art, la musique dite « classique » (musique écrite, lu et interprétée), c’est de la dialectique... dialectique et rhétorique musicales s’entend.

Musique-argument, musique-raisonnement, musique dite « savante » dont il faut pouvoir suivre le cheminement, le développement jusqu’à sa conclusion définitive ou provisoire, la science de cette musique est dans sa dialectique et son Art dans sa rhétorique ; elle est donc là, bien là, l’exigence de cette musique, de Bach à Debussy, de Wagner à Pierre Boulez ; cette exigence, c’est sans aucun doute ce qui la distingue de la musique dite « populaire » (musique de variété, music pop, rock et autres) ; d’où sa marginalité et son isolement.

Chez ceux qui sont à l’origine de la criminalisation de la dénonciation du massacre de masse des Gazaouis et pour lesquels il n’y a pas de souci pour le sort cruel et injuste des Palestiniens - il n’y a que la haine du Juif -… force est de soupçonner l’interrogation suivante : « Mais qu’est-ce c’est que ces gens qui se soucient du sort d’infra-humains appelés Palestiniens ? Qu’est-ce que c’est que ces Européens qui refusent de considérés ces trous du cul de Palestiniens pour ce qu’ils sont : une quantité négligeable ? »

Le soutien que recueille Israël des Etats occidentaux et le sort qui est fait aux Palestiniens l’attestent sans ambiguïté depuis des décennies.

Il n’y a donc pas de cause palestinienne ; qui plus est… de cause humaine ; il n’y a que de la haine du Juif ; et les mêmes de poursuivre : « Il ne peut pas en être autrement ! Car enfin, qui peut bien vouloir se soucier d’un Palestinien !!!! C’est grotesque ! ».

Et c’est alors que tout est permis au nom de la lutte contre l’antisémitisme : les convocations, les intimidations dans le cadre professionnel (les enseignants des universités ; le personnel des médias ; industrie du divertissement ; l’art et la culture), les atteintes au droit de réunion et de manifestation.

Ceux qui sont à l’origine de cette criminalisation et ceux qui l’accompagnent sont maintenant tout nus. Et c’est sans surprise que l’on découvre chez les uns, de l’opportunisme éhonté ainsi qu’une lâcheté sans nom (personnel des médias, classe politique) et chez les autres… des porte-parole d’une idéologie d’un anti-humanisme sans égal depuis la fin de la seconde guerre mondiale : l’être humain… s’il n’est pas soumis, n’est qu’un rebut d’humanité.

Avec ce soutien des Etats européens à Israël, sachons reconnaître que nous sommes tous menacés à terme.

@Serge ULESKI à @ZenZoe

Merci de vous êtes soucié de ma santé mentale.

@ZenZoe

Non mais.. tout va bien.

La France de Diderot, Victor Hugo, Jean Jaurès, Jean Moulin, Claude Debussy, Picasso, Bernanos, Claude Lévi-Strauss, Aimé Césaire, Edgar Morin, Pierre Boulez, Léo Ferré.... j’en redemande. 

La vôtre de France ?! Je vais vous dire : mon premier pipi et mon premier caca lui sont destinés chaque jour.

Merci pour votre attention.

@Areole

Au moins, vous connaissez maintenant vos limites...

(Il ne vous en fallait pas beaucoup... soit dit en passant... )

Rajout : 

Chez ceux qui sont à l’origine de la criminalisation de la dénonciation du massacre de masse des Gazaouis et pour lesquels il n’y a pas de souci pour le sort cruel et injuste des Palestiniens - il n’y a que la haine du Juif -… force est de soupçonner l’interrogation suivante : « Mais qu’est-ce c’est que ces gens qui se soucient du sort d’infra-humains appelés Palestiniens ? Qu’est-ce que c’est que ces Européens qui refusent de considérés ces trous du cul de Palestiniens pour ce qu’ils sont : une quantité négligeable ? »

Le soutien que recueille Israël des Etats occidentaux et le sort qui est fait aux Palestiniens l’attestent sans ambiguïté depuis des décennies.

Il n’y a donc pas de cause palestinienne ; qui plus est… de cause humaine ; il n’y a que de la haine du Juif ; et les mêmes de poursuivre : « Il ne peut pas en être autrement ! Car enfin, qui peut bien vouloir se soucier d’un Palestinien !!!! C’est grotesque !  ».

Et c’est alors que tout est permis au nom de la lutte contre l’antisémitisme : les convocations, les intimidations dans le cadre professionnel (les enseignants des universités ; industrie du divertissement ; cercles culturelles), les atteintes au droit de réunion et de manifestation.

Ceux qui sont à l’origine de cette criminalisation et ceux qui l’accompagnent sont maintenant tout nus. Et c’est sans surprise que l’on découvre chez les uns, de l’opportunisme éhonté ainsi qu’une lâcheté sans nom (personnel des médias, classe politique) et chez les autres… des porte-parole d’une idéologie d’un anti-humanisme sans égal depuis la fin de la seconde guerre mondiale : l’être humain… s’il n’est pas soumis, n’est qu’un rebut d’humanité.

Sachons que nous sommes tous menacés.

De sa génération, Bernard Pivot était (avec Jacques Chancel) sans doute l’un des professionnels les plus doués du petit écran : il était « fait pour ça ».

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@Serge ULESKI

Or, CNEWS refuse de l’assumer.... c’est bien là que repose notre critique.... 

@Tolzan

D’où ma conclusion : cnews n’a rien à voir avec le métier de journaliste... Cnews n’explique rien de rien... 

@Jean J. MOUROT

L’important c’est d’assumer... or, il n’est pas certain que vous sachiez réellement ce qu’il est question d’assumer avec CNEWS ; pour preuve, le fait que vous n’acceptez pas mon analyse au sujet de ce média. 

@Boaz

L’important c’est d’assumer... or, il n’est pas certain que vous sachiez réellement ce qu’il est question d’assumer avec CNEWS ; pour preuve, le fait que vous n’acceptez pas mon analyse au sujet de ce média. 

@Boaz

Il n’y a pas de journalistes à CNEWS........