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Les commentaires de Benoît Delol



  • Benoît Delol Benoît Delol 28 octobre 2020 08:45

    @6 ruses de sioux
    Merci pour votre message !



  • Benoît Delol Benoît Delol 27 octobre 2020 08:51

    @MA’EL STROM
    C’est bien moi !
    Merci pour votre commentaire !



  • Benoît Delol Benoît Delol 27 octobre 2020 00:33

    @Philippe Huysmans
    Merci pour votre commentaire !



  • Benoît Delol Benoît Delol 27 octobre 2020 00:05

    @Bendidon
    Merci pour votre message et votre humour !

    Tout journaliste que je suis (encore, car j’ai développé d’autres activités), j’aime publier sur AgoraVox des articles plus personnels, d’opinion, sur des sujets que je choisis seul. Et j’apprécie les commentaires laissés à leur suite.

    Une explication concernant mes interventions comme modérateur et les neuf articles pour lesquels j’ai formulé un avis négatif : il s’agit, comme on le dit en matière de sondage, d’un biais de recrutement. A deux ou trois reprises, j’ai consulté la liste des articles soumis à modération et j’ai porté mon intérêt uniquement sur ceux qui patientaient depuis le plus longtemps et dont le titre lui-même semblait dénoter un problème. Résultat : je n’ai pu que confirmer l’opinion négative qui se dégageait à propos de ces articles. Je me suis, en revanche, efforcé de motiver mon avis et de donner, autant que je le pouvais, des conseils pour améliorer leur rédaction.



  • Benoît Delol Benoît Delol 26 octobre 2020 23:38

    @Adèle Coupechoux
    Merci pour votre commentaire, Adèle !



  • Benoît Delol Benoît Delol 9 mars 2020 23:21

    @Carburapeur
    Merci pour votre commentaire et les deux références indiquées !
    Le second document, très riche, est également plus ardu à comprendre...
    Mais d’après ce qu’il me semble, dès lors que la réflexion autour des masques n’est pas parasité par le constat de leur indisponibilité, leur port est considéré comme une évidence dans un contexte infectieux.
    Ce contexte est ici le milieu hospitalier (et non le métro, le bureau, etc.) mais seulement parce que c’est l’hypothèse de départ.
    Est-ce que vous confirmez ?



  • Benoît Delol Benoît Delol 26 janvier 2020 23:31

    @Pierre JC Allard

    Il aurait été plus habile de publier la photo avec la mention : « Recherché : témoin important présent sur la scène d’un crime »

    Si je devais donner un conseil aux commerçants (ou particuliers) qui disposent de vidéos équivalentes et qui souhaitent les publier, afin qu’ils puissent éviter l’accusation d’atteinte à la présomption d’innocence et / ou de diffamation, ce serait celui-ci. Vous avez très bien vu la chose.
    Dans la logique d’une publication plus engagée, on peut prendre le risque de choisir des formules plus directes...



  • Benoît Delol Benoît Delol 24 janvier 2020 00:04

    Mise à jour au 23 janvier 2020 :

    L’enquête de police a débuté !

    Deux semaines jour pour jour après avoir déposé plainte, Léa, la boulangère victime du vol, a été contactée par un enquêteur. L’extrait de sa vidéosurveillance montrant le cambriolage est désormais entre les mains de la police.



  • Benoît Delol Benoît Delol 20 janvier 2020 11:22

    @Zolko

    @l’auteur : très bon article, merci.

    Merci pour votre message !


  • Benoît Delol Benoît Delol 20 janvier 2020 08:26

    @zygzornifle

    On devrait diffuser les photos des flics auteurs de bavures avec nom et adresse...


    Sans chercher à exonérer qui que ce soit de ses responsabilités, je remarque que :
    - la diffusion de photos ou vidéos de voleurs suscitent toujours l’indignation d’une (petite) partie des internautes et amène les médias à systématiquement rappeler le contexte légal (d’interdiction de cette pratique),
    - tandis que la diffusion d’images de policiers dans l’exercice de leurs fonctions n’appelle jamais de questionnement sur le respect de leur vie privée (article 9 du Code civil).
    Par exemple, lors de l’affaire du croche-pied de Toulouse, la vidéo diffusée permettait de voir une partie du visage du policier et donc de l’identifier. Mais personne ne s’est étonné de l’absence de floutage de son visage...


  • Benoît Delol Benoît Delol 20 janvier 2020 08:02

    @CLOJAC
    Merci pour ces liens, qui me permettent d’avoir l’épilogue d’une affaire qui avait eu un retentissement national !

    Un jeune multirécidiviste aurait eu droit à une « sévère admonestation » lors de sa 10 ème ou 15 ème comparution.

    Vous n’étiez pas très loin !
    Un autre article de L’Est républicain, s’étonnant de la peine de 4 mois de prison ferme proposés lors de la procédure de plaider coupable (sachant que la voleuse avait un casier judiciaire vierge), écrit : « A titre de comparaison, la veille, un voleur déjà condamné 47 fois et sa compagne condamnée 26 fois ont pris « seulement » 6 mois de prison ferme pour avoir dérobé un téléphone portable dans un bureau de la cité judiciaire. »


  • Benoît Delol Benoît Delol 20 janvier 2020 00:52

    @CLOJAC

    Merci pour votre intérêt pour ce sujet !

     

    En préparant mon article, je me suis intéressé à de nombreuses affaires semblables, dont celle de Reims. Elle a eu un gros écho dans le média (TF1, France 2, RTL, France bleu, L’Union, l’émission « Touche pas à mon poste » et, donc, Le Point), sans doute, à l’origine, parce que ce commerçant est le père du maire de la ville.

    Ce monsieur a fini par flouter le visage du voleur, à la demande, semble-t-il, de la police. Les médias n’ayant pas suivi l’affaire, on ne sait pas si son voleur a été arrêté.

    L’article du Point s’inscrit dans la ligne légaliste adoptée en général par la presse sur ce sujet : le préjudice et l’état d’esprit du commerçant sont, certes, évoqués, mais un paragraphe est consacré à un rappel légal et une formule permet de dénigrer la démarche, ici : « un commerçant de Reims a décidé de se faire justice lui-même » (alors que la publication de la photo d’une personne impliquée dans un vol n’équivaut pas à prononcer et, a fortiori, à appliquer une condamnation, mais principalement à recueillir des informations susceptibles de permettre à la police d’arrêter le suspect).

     

    Je suis preneur de vos sources pour l’affaire de Nancy et d’autres, éventuellement (le second lien que vous avez indiqué n’étant que le reprise du premier) !

     

    Quant à la désobéissance civique que vous évoquez (je pense également à sa sœur jumelle, la désobéissance civile), nous y sommes, effectivement. « Balance ton voleur » vient d’ailleurs à la suite de « Balance ton porc », qui lui-même suivait les actions des lanceurs d’alertes.



  • Benoît Delol Benoît Delol 19 janvier 2020 18:27

    @pierrequiroule
    Merci pour votre message et vos encouragements !



  • Benoît Delol Benoît Delol 19 janvier 2020 18:26

    @CLOJAC

    La Ligue des droits de l’Homme est intervenue dans une affaire similaire dans la région de Roanne, en mars 2011.

    Le Progrès a consacré plusieurs articles à cette affaire, dont celui-ci : « Enquête après l’affichage des photos de présumés voleurs dans un magasin du Coteau ». Le quotidien écrit : « Le parquet de Roanne a ouvert aujourd’hui une enquête de flagrance après que la Ligue des droits de l’Homme (LDH) eut dénoncé la présence de photos de présumés voleurs affichées à l’entrée du magasin Besson chaussures, situé dans la zone industrielle du Coteau. »

    La presse n’ayant pas suivi l’affaire, nous ne connaissons pas l’issue de la procédure.

    Il faut noter le choix drolatique de ses mots par Le Progrès : la Ligue des droits de l’Homme « dénonce » ceux qui dénoncent leurs voleurs...



  • Benoît Delol Benoît Delol 19 janvier 2020 17:39

    @CLOJAC
    Merci pour votre éclairage sur les articles 121-4 et 121-5 du Code pénal !



  • Benoît Delol Benoît Delol 19 janvier 2020 17:35

    @quijote

    elle a la chance de s’être fait enrichir et elle est pas contente...

    Que voulez-vous dire par cette phrase ?


  • Benoît Delol Benoît Delol 18 janvier 2020 23:02

    @HELIOS
    Effectivement, parler de présomption d’innocence dans un cas comme celui-ci va à l’encontre du bon sens... Il faut espérer que, devant une juridiction, il soit possible d’apporter la preuve contraire, grâce justement à cette vidéo ! 



  • Benoît Delol Benoît Delol 18 janvier 2020 17:48

    @pierrequiroule
    Les journalistes ne sont pas au-dessus des lois. En publiant cette vidéo, je prends le risque d’être attaqué en justice par l’homme présent sur les images. Deux fondements sont envisageables : la diffamation (l’article 29 alinéa 1er de la loi du 29 juillet 1881) et le (non) respect de la vie privée (article 9 du Code civil). Il est également possible d’imaginer une action sur la base de l’atteinte à la présomption d’innocence.  



  • Benoît Delol Benoît Delol 13 novembre 2019 12:12

    @Gilles Mérivac
    Je partage votre analyse.
    J’essaye actuellement de terminer un article qui traite en partie de cette question...



  • Benoît Delol Benoît Delol 12 novembre 2019 16:26

    @Gilles Mérivac

    Nous sommes effectivement d’accord sur ce point (et je pense également que notre pays est en déclin).

     

    En ce qui concerne mon expression « Graziani et consorts », elle entendait décrire la vision de Clément Victorovitch, selon laquelle des éditorialistes isolés agissent, en réalité, de concert.

     

    Pour ce qui est de l’attitude de Julie Graziani sur LCI, je suis moins porté à la mettre sur le compte de son inexpérience. Elle a, semble-t-il, représenté son journal pendant un an sur les plateaux de télévision, ce qui aurait dû la « professionnaliser ». Elle prend la parole dans les médias depuis plus longtemps encore. Surtout, comme éditorialiste politique, elle était bien placée pour mesurer l’extrême réactivité de la population aux sermons et à toute forme de mépris, réel ou supposé. Nous avons tous en tête les réactions à la formule « je traverse la rue et je vous en trouve [un emploi] » d’Emmanuel Macron… J’ajouterai que l’ambiance de l’émission de Pujadas était calme et que Graziani n’a pas pris la parole sitôt après la diffusion du reportage tourné à Rouen, ce qui aurait pu tempérer son indignation.

     

    Le cas de l’immolation de l’étudiant lyonnais, que vous citez, est effectivement dramatique. Je remarque une autre chose, en rapport avec notre discussion concernant Graziani : la dureté de certains commentaires sur Facebook ou sous des articles. Le thème : après ses multiples échecs aux examens et ses redoublements, il est normal qu’il ait perdu sa bourse d’étude. Aussi rudes qu’elles soient, ces remarques ne provoquent pas de « polémiques » là où elles sont faites, pour une raison : elles émanent de pairs. C’est le statut que n’avait pas Graziani vis-à-vis de la mère de famille rouennaise, et c’est ce qui aurait dû l’inciter à la modération.