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Les commentaires de Eric F



  • Eric F Eric F 12 décembre 2016 12:16

    @eau-du-robinet
    L’impasse peut provenir de l’isolement, alors qu’il y a de nombreux courants souverainistes de faible audience. On a vu que de Villiers a fait flop, NDA plafonne ou régresse.



  • Eric F Eric F 12 décembre 2016 12:11

    @Sparker
    « au moins 10% » était en effet un feeling, disons que c’est une mouvance politique très active sur Agoravox, alors que je ne l’avais pas croisé sur d’autres sites. Ce n’est pas un reproche aux cybermilitants, mais leurs certitudes paraissent disproportionnée par rapport aux résultats des urnes.



  • Eric F Eric F 12 décembre 2016 12:02

    @André-Jacques Holbecq
    Il y a deux choses très différentes : l’investissement en infrastructure constitue un bien tangible, qui entre dans les « actifs » publics, les emprunts correspondants sont de la « bonne » dette.
    Par contre les déficits de fonctionnement ou liés au service de la dette sont sans contrepartie.



  • Eric F Eric F 12 décembre 2016 11:54

    Malgré la conjoncture morose, le CAC a sensiblement monté ces dernières semaines, l’argent de la BCE censé stimuler l’économie va en grande partie sur le marché financier en circuit fermé. Les taux sont bas, mais les PME ont du mal à emprunter, car les banques ne veulent pas prendre de risque. Par contre les « acteurs » de l’économie poussent les consommateur à emprunter...



  • Eric F Eric F 12 décembre 2016 11:47

    @njama
    en ordre de grandeur, c’est l’équivalent des investissements en infrastructure en Algérie par l’état français durant les années cinquante



  • Eric F Eric F 11 décembre 2016 18:33

    @fred.foyn
    S’il suffisait de sortir de l’UE et recréer le franc pour que la prospérité revienne, ce serait déjà fait (rien à voir avec le Brexit puisque la GB n’était pas dans l’euro, en outre elle ne remet pas sa dette en cause). Si la Banque de France avançait (épongeait) tous les déficits publics, le franc ne vaudrait rapidement plus tripette pour acheter les matières premières qui font tourner l’économie, et les biens qui ne sont pas produits localement. Quant à la dette ancienne, si elle n’est pas remboursée aux créanciers étrangers il y aurait des rétorsions, et en interne l’épargne des ménages serait évaporée par un crash bancaire.
    C’est ce qui a fait renoncer aux Grecs de sortir de l’euro (ce qui du reste aurait sans doute arrangé les autres partenaire qui lui versent chaque mois un pactole).



  • Eric F Eric F 11 décembre 2016 18:22

    @Eric F
    dans la dernière phrase, je voulais écrire « billets », et non « billes » smiley



  • Eric F Eric F 11 décembre 2016 18:20

    @Eric F
    dans la dernière phrase, je voulais écrire « billets » non « billes » smiley



  • Eric F Eric F 11 décembre 2016 18:19

    @André-Jacques Holbecq

    Bonjour. Effectivement la seconde phase étape serait un coup d’accordéon sur la part de dette détenue par la BCE... Mais en tout cas on est dans la situation de dette publique détenue par la banque centrale et non une banque privée.

    Je n’ai pas compris comment notre monnaie est surévaluée par rapport à celle de l’Allemagne, puisque c’est le même ’euro’, parlez-vous du cout du crédit pour la France vs l’Allemagne ?

    Monétiser les déficits, c’est faire marcher la planche à billets (en fait scripturale), le statut de la BCE l’exclut pour financer la dette des états, mais les taux faiblissimes n’en sont pas loin. Du reste l’état pourrait passer par un établissement public de crédit qui lui reprèterait au même taux.

    PS : connaissiez vous cette curieuse différence faite dans le texte (même si c’est un peu hors sujet) entre pièces de monnaie à valeur permanente et billes à valeur provisoire ? On pourrait le comprendre pour des pièces dont la valeur métallique vaut la valeur faciale... ?



  • Eric F Eric F 11 décembre 2016 17:53

    @eau-du-robinet
    14000 militants revendiqués, mais 77000 voix aux dernières élections où l’UPR était représenté dans toutes la France (européennes de 2014), soit 0,4%. Il est certain par contre que la présence cybermilitante représente bien plus de 10% des participants sur Agoravox smiley



  • Eric F Eric F 10 décembre 2016 19:59

    @Garnier
    Vous écrivez « Actons les faits, il y aura Méluche, le PS, les verts (?) et le Macron au premier tour de la présidentielle. La question c’est donc comment faire gagner Meluche et tuer le PS... »

    La réponse est : dans ces circonstances, il peut au mieux être en tête de tout ces candidats de gauche ...mais pas atteindre la deuxième place au premier tour. Car il est perçu comme trop radical par bon nombre d’électeurs, qui ne voteraient pour lui qu’au seul cas où il soit le seul candidat de gauche, sinon ils en choisiront un plus modéré.



  • Eric F Eric F 10 décembre 2016 19:52

    « @Attilax
    Vous écrivez » quel crétin pourrait se prétendre de gauche et voter PS ou Macron ? Posez vous la et vous aurez votre réponse" Sauf que l’électorat de gauche n’est pas seulement la gauche protestataire, il y a une grande proportion d’électeurs de gauche réformiste. Avec votre périmètre, la gauche pure et dure représente environ 15% d’électeurs...



  • Eric F Eric F 10 décembre 2016 19:42


    Ajoutons que l’euro a de toute façon rendue caduque la loi de 73, et cette fois l’impossibilité d’emprunt direct à la BCE est totale. Ceci étant, de manière factuelle et non idéologique, aujourd’hui les taux sont extraordinairement bas, plus bas peut-être que si on recréait le « franc » que la Banque de France devrait défendre contre les spéculateurs (ne nous leurrons pas, il serait d’emblée considéré comme monnaie faible).
    Donc mieux vaudrait rester dans l’euro et défendre l’idée de faire racheter par la BCE une partie des dettes publiques ... or c’est justement ce qu’elle commence à faire
    http://www.lesechos.fr/06/09/2016/lesechos.fr/0211261286735_la-bce-a-achete-plus-de-1-000-milliards-d-euros-de-dette.htm (« la Banque centrale détient déjà un septième de la dette des Etats européens. Dont 10% de la dette française »)....et non, ce n’est donc pas une utopie !
    Reste maintenant à ce qu’elle fasse un coup d’accordéon sur ces dettes.



  • Eric F Eric F 10 décembre 2016 19:29

    Il y a dans ce texte une curieuse affirmation : "selon la législation actuelle toute création de pièces de monnaie peut être définitive alors que toute émission de billets ou de monnaie scripturale ne peut être que temporaire« . Je ne sais pas si cette différence entre pièces et billets existait vraiment à l’époque, et sur la base de quoi.
    Ceci dit, il n’est pas fait explicitement mention à la loi de 1973 sur la limitation (et non pas l’interdiction) des »avances« à l’état par la banque centrale, mais  »le moment où le Gouvernement a pratiquement cessé de créer la monnaie au nom de l’Etat, c’est-à-dire depuis les années soixante" Dans les années 60 et début 70, la crainte était la dépréciation monétaire et l’inflation, l’un et l’autre ont été effectivement maîtrisées, et les déficits publics étaient faibles alors. Tout a changé avec la crise suite au premier choc pétrolier : les tentatives de relance ont causé déficit et inflation, que ce soit à l’époque Giscard ou Mitterrand. La proposition mentionne du reste parfaitement le nouveau contexte ...mais les attaques contre le franc et le très fort niveau d’inflation ont du faire reculer les décideurs de faire marcher la planche à billet en quelque sorte pour racheter de la dette ou créer du crédit.



  • Eric F Eric F 9 décembre 2016 19:47

    @bartneski
    c’est de la stratégie politique : 4 millions d’électeurs peuvent faire gagner une primaire, mais ne peuvent pas faire arriver dans le duo de tête au premier tour de la présidentielle. « Capter » l’électorat PS donnerait des chances d’y parvenir...



  • Eric F Eric F 9 décembre 2016 14:26

    @Antoine
    « grande mobilisation citoyenne pour que le PS ne présente pas de candidat » vous y croyez une seule seconde ? Si l’on voulait cela, il faudrait une primaire de gauche élargie ...donc participer à la primaire.



  • Eric F Eric F 9 décembre 2016 14:16

    @moderatus
    L’électorat de gauche est varié, une partie des électeurs de Hollande en 2012 venaient du centre-gauche, terre où chasse Macron. Si Valls et Bayrou sont en lice pour les présidentielles, il y a peu d’électorat disponible pour Macron, mais s’il n’y a personne d’autre entre Mélenchon (dans l’hypothèse où il soit candidat de l« ’union de la gauche » reconstituée) et Fillon, alors Macron peut dépasser 15% (reste à savoir de combien).



  • Eric F Eric F 8 décembre 2016 14:51

    Moderatus, pour que ça marche, il faudrait que Macro aussi concoure à la primaire élargie de la gauche, car sinon même si Mélenchon gagne la primaire, s’il a Macron face à lui au premier tour des présidentielles, une bonne partie de l’électorat hollando-valliste se reportera sur Macron qui est un ancien de la maison gouvernementale, et on aurait 2 candidats à 15 ou 20% donc toujours pas un niveau des 25% requis pour aller au second tour. Certes il est possible que la barre soit un peu moins haute si les candidatures dissidentes de droite et centre-droit grignotent sur Fillon, mais méfions nous du réflexe de ’vote utile’ qui pourra lu être favorable (il n’est pas perçu comme un « sortant » à sortir ...alors qu’il devrait l’être).



  • Eric F Eric F 8 décembre 2016 14:08

    @sylvio duflo
    En effet, selon les références que vous indiquez, certains chiffres sur la dette de l’état vis à vis de la sécu cités dans le présent article sont démentis dans l’article de la sécurité sociale datant de 2011. Ceci étant, il existe réellement des non-versements de charges sociales, il faudrait donc rectifier l’article sur certains points.
    Le rapport de la cour des comptes https://www.ccomptes.fr/Actualites/A-la-une/La-securite-sociale n’évoque pas les carences dans le versement des cotisations. Comme il existe des dispositifs *légaux* de réduction de charges, il se peut que le manque à gagner par la sécu soit comptabilisé dans certains rapports.



  • Eric F Eric F 8 décembre 2016 13:44

    @Nicole Cheverney
    Le problème que vous évoquez le non-versement de charges par le patronat sur le travail effectué en France. Certes, mais désormais, une grande proportion de produits de consommation courante sont importés (quasi toute la petite électronique, l’habillement etc.), et de ce fait non assujettis aux cotisations sociales en France (et généralement de très faibles cotisations dans le pays de fabrication) . C’est l’idée de la TVA sociale, qui est de transférer sur la consommation une partie des charges sur le travail en France, puisque les taxes sur les importations qui compensaient jadis, ont quasiment disparu. Cela pourrait être fait « habilement » en rendant une part de TVA « déductible » des charges versées en France (ce qui reviendrait concrètement à ce que la TVA sur les produits locaux soit plus faible que sur les produits importés).