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Les commentaires de Raoul-Henri



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 30 mars 2017 19:06

    Toute entreprise a deux culs : l’un d’où sort la marchandise (ou le service) et l’autre d’où sort la monnaie. Le premier est conforme au cycle économique naturel car la matière est périssable et le savoir s’oublie ; tandis que l’autre cul, monétaire, ne respecte pas ce cycle naturel. En effet cette monnaie, comme l’a dit Jacques Duboin, devrait être tout aussi périssable que les matières contre-parties.

    Le ’salaire’ (lire : sale air), comme les ’revenus’ (lire : revenants), sont deux figures de la mort qui ne passent pas à ’trépas’ (lire : trois pas -> ou trinité monétaire par le circuit de transformation Or > Argent > Bronze ; les trois figurés monétaires symboliques) et qui nous reviennent directement dans l’auge.
    Pour faire plus clair : les salaires comme les revenus sont l’étape du Bronze dont nous ne sortons jamais ; pour faire encore plus clair notre fric est de la merde et nous baignons dedans.
    Révolution.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 30 mars 2017 04:56

    Bonjour.
    Dans vos notes de profil vous commettez une erreur sur les signes du Tarot ; l’ordre est :

    Piques -> Cœur -> Trèfles -> Carreau -> Piques -> Cœur -> etc.

    Merci de remettre le bon sens ; c’est important. smiley



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 28 mars 2017 17:22

    @Gilles Mérivac

    « S’abstenir, c’est laisser aux autres le soin de décider »
    Alors que voter en est le but même. Comment sortir du piège ?

    Peut-être une issue par la souveraineté individuelle (terme opérationnel de la démocratie). Concrètement il s’agirait d’institutionnaliser l’utilisation de la monnaie en vote permanent (ce qui est déjà le cas mais non conscientisé). Il y a suffisamment de citoyens pour compiler par une matrice ce qu’il convient de financer et non plus déléguer aux zélotes (élus ou non) les pouvoirs régaliens.

    Deux phases simultanées à cette utilisation monétaire :
    1. subvention annuelle des entreprises et
    2. validation des affectations par la con-sommation.
    Le tout dans une boucle en huit : en flux mensuels pour la conso qui s’accumule sur l’année pour le prochain budget - et qui redeviendra monnaie de conso après le grand tour (voir fonctionnement du cœur et du circuit sanguin).
    Ensuite une comparaison entre les deux parties du circuit pour éventuellement réajuster et refaire les niveaux (en cas de fuites ou de rétentions avaricieuses)

    Fini la mascarade élective du média et les affres de « l’argent ».
    Une révolution permanente par l’action constante de l’intelligence collective.

    Et pour mettre la cerise sur le gâteau : les surplus non utilisés se transforment en monnaie commune dans un circuit bien séparé du premier et subviennent au développement d’autres nations ; aux projets collectifs ; aux appels monétaires en cas de crise ou d’effort supplémentaire à fournir.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 26 mars 2017 15:46


    Dé-monarque est peut-être une autre forme adjectivale de démocratie (que démocratique). Comme dé-faire, dé-couper, etc. elle indique la façon non-monarchiste, dé-centralisée, dé-jacobine de penser la démocratie (en fait la seule). Si cette hypothèse est juste, nous aurions un pléonasme dans ce titre.

    Je tiens à féliciter l’auteur pour ce néologisme qui, lorsque l’on utilise une autre césure, peut donner : démon-arque ou arcane du diable* : la contra-diction faite loi ; le débat permanent où les rôles de ’chefs’ (étym : tête pensante) sont tour à tour tenus par ceux qui amènent les idées encensées, reprises et développées par d’autres.

    * « diable » est utilisé ici dans le sens : double-sens ; c’est à dire deux directions possibles à la même voie (telles marche avant ou marche arrière ; haut ou bas ; gauche ou droite ; etc. tout dépend du point de vue). Di-able par cette césure indique cette double possibilité : di [deux] ; et able [suffixe de validité comme dans préférable ; impénétrable ; assimilable ; etc.]. En somme le diable est l’opérateur de la dualité.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 25 mars 2017 23:13

    à M. Bouchard

    Merci pour l’impressionnante toile qui illustre l’effondrement à venir du faux temple ; et pas seulement en France. Bon débarras.

    Je réagis aussi pour cette fin de phrase : « les citoyens appelés à voter ».

    Remettre son ’pouvoir’, sa liberté de décider à un(e) autre est renoncer à la citoyenneté quotidienne comme à la souveraineté individuelle ; donc exit la subsidiarité démocratique par la petite porte de ces urnes iniques et infantilisantes où seul le blocage au stade anal est roi.

    Dans cette inévitable phase de transition, donc d’incertitudes, il m’apparaît primordial de ne pas laisser un gus tout seul à la barre ; de ne surtout pas concentrer le pouvoir vers celle ou celui qui le veut.
    Pour permettre un contre-pouvoir permanent et auto-induit dans ce système concentrationnaire il serait préférable de désigner plusieurs concurrents et de former une instance de transition. Par exemple : garder les 7 premiers arrivés aux élections et les désigner à égalité entre eux ; instaurant une campagne permanente ; mais cette fois-ci politique. J’imagine sans peine qu’une équipe serait beaucoup plus forte et légitime qu’un monarque aux bourses pleines, soit, mais isolé sur Le trône de France à décider où mettre Le paquet. Çà suffit !

    Je ne vois qu’une issue et elle se nomme : (r)évolution (suivre ce lien pour l’alternative iconoclaste justifiée et présentée sous forme de noyau constitutionnel).



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 20 mars 2017 17:15

    Ce qui m’étonne le plus dans cette histoire est que la GB (un empire qui s’est défait sans le pavoiser) soit entrée un jour dans une union quelconque. La GB est déjà une union de quatre ’Nations’ ; mais pour combien de temps ? Et oui : comme la pizza quatre saisons elle n’est possible que grâce au congélateur. Le fait qu’elle ne soit pas entrée dans l’eurozone (nan monsieur le robot correcteur automatique je mettrai pas de Majuscule ; pas encore) en dit long sur son ’’’intégration’’’ européenne : elle peut se permettre le bras d’honneur par un effet de Manche Mousse-Haillons. 

    Ça serait rigolo que les alentours de Londres, Paris, Lyon, Genève, Berlin, Stockholm, ... les secteurs les plus actifs de la production de bonheur aient la même monnaie. Alors que Liverpool, Marseille, Barcelone, Athènes, Brennilis, etc. en aient une autre ; toutes ces monnaies locales, découplées entre elles, et reliées à l’euro devenu monnaie commune (tiens ? monsieur le correcteur automatique tu t’en fiches de la Minuscule à euro ? t’es a few strange l’ami robot. Au fait, puisque tu la ramènes aléatoirement : c’est quand tu payes les cotisations du modèle social en rapport avec TON travail ? Hein Beau Rot ?).

    Bon ; on peut faire plus simple : chacun sa langue ; chacun sa monnaie ; et l’euro comme devise internationale (juste pour les eurozonés aux frontières monétaires redevenues beaucoup plus étanches) et les échanges avec les Bricks, les Doles Mans, etc, sans oublier la future monnaie commune africaine dont le CFA n’est que le fœtus d’un très gros bébé qui ne demande qu’à accoucher. Ensuite, pour éviter la tripartition orwellienne guerroyeuse, on peut rêver d’une super poupée russe qui engloberait toutes les autres et que l’on nommerait : amour.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 17 mars 2017 19:01

    Un prénom pour la vie est l’une des principales programmations neurolinguistiques qui déterminent le comportement. J’espère que l’individu a une autre appellation sur laquelle se rabattre. Quelqu’un sait-il de quel émission ce ’prénom’ est tiré ?



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 16 mars 2017 20:50

    @Attilax
    Ouf ! je n’aurais pas à lire les commentaires jusqu’au bout pour comprendre l’origine de votre article. smiley matana dit qu’il faut « dézinguer hamon » et vous comprenez autre chose. Pareil pour Mélenchon et ce qu’il a dit à Rome. Sa phrase est certes un raccourci sémantique malheureux qui vous (nous) fait comprendre de travers. Je ne suis pas dans la tête du tribun mais ce que je comprends de sa pensée est qu’il faudra bien quitter l’UE en cas d’échec du plan A, pour reformer une autre UE avec ceux qui voudront bien suivre le mouvement.

    Malheureusement et en l’état des propositions, hormis « les chèques citoyens » du candidat Tauzin (qui n’aura pas les parrainages), je ne vois aucune percée de la démocratie parmi les candidats « vus à la télé ».

    Cela dit je ne suis soutien de qui que ce soit mais je tente de m’instruire de l’avenir. J’aimerais être un citoyen ; en conséquence de quoi je ne remettrai pas mon pouvoir à quelqu’un d’autre par l’intermédiaire d’élections, ni même ne cautionnerai la pratique monarchique par un bulletin aussi inutile que blanc. Si vous comptez bien, entre le président, le gouvernement, les députés et les sénateurs çà nous fait quoi ? environ un milliers de citoyens réels à tout casser. J’ai une autre définition de la démocratie.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 10 mars 2017 19:12

    Merci lephénix.
    Vous devez connaître mais je partage quand même.
    Naissance du ’capitalisme’ (néoesclavagisme) en Allemagne (interview 15 min d’A.Gorz)
    https://www.youtube.com/watch?v=R5BoVDcBpYY

    et
    JacquesDuboin_La.grande.releve_1932.pdf



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 28 février 2017 05:17

    Non, effectivement, Fillon ne va pas casser la sécu ; vu ce qu’il en reste : c’est déjà fait (58 attaques en 62 ans d’existence).

    « Comme quatre autres candidats à l’élection présidentielle (Benoît Hamon, Emmanuel Macron, Nicolas Dupont-Aignan et Yannick Jadot), le candidat François Fillon a présenté son projet sur la santé et la sécurité sociale à l’occasion d’une conférence organisée par la Mutualité française au Palais Brongniart, à Paris, le 21 février 2017 (le texte intégral est disponible ici). »

    Étranges tous ces liens qui pointent vers la même page de votre blog ou le mot « sociale » n’apparait pas. Vous moqueriez-vous des lecteurs d’Agoravox ? Je ne le défends pas mais Mélenchon projette de passer la sécu à 100%. Je pense que vous le savez mais n’en dites mot ici ; vous ne le citez même pas en tant que candidat alors que Jadot s’est désisté.

    Pour rappel : l’excellent lien du Canard enchaîné vers le .pdf qui présente quelles étaient les intentions du sieur Fillon et de sa clique avant la fessée médiatique. En voici juste un succulent passage sur le « financement » qui résume l’essentiel du torchon patronal (page 11) :
    « Basculer progressivement les cotisations maladie dites patronales vers un mix CSG/TVA. »

    Comment qualifier votre propagande ? Votre mauvaise foi vous entraînera-t-elle dans les limbes ; tout comme votre mentor ? La désinformation n’est pas encore puni par la loi mais cela peut changer.

    Le candidat Fillon de Les Républicains publie sur une page du site Force Républicaine :

    « L’INTERET GENERAL c’est la volonté de donner à son pays autant que l’on reçoit de lui. »

    Va falloir passer à la caisse sinon ce sera le trou....dans les finances publiques.

    Message aux ingénieurs d’Agoravox :
    Y aurait-il le moyen d’indiquer le nom de l’auteur(e) dans le fil RSS avant (ou après) le titre de l’article afin d’échapper à ce genre de poison et ne pas y ajouter de l’audience principalement fictive ?



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 25 février 2017 15:59

    @Sparker
    Vous exposez assez bien le problème auquel je suis confronté. Une action politique étant subordonnée à une constitution : comment la sixième constituante peut-elle être le premier point d’un programme puisque par définition elle n’est pas encore écrite ?

    J’explique mieux : s’il s’agit d’un premier point ; c’est qu’il y en a un second, un troisième, etc. J’en conclus peut-être à tord que cette suite de fascicules va conduire le contenu de la future constitution. Cela provoque chez moi un cogito hors norme et crée un impasse sémantique. Et le pompon c’est lorsque vous écrivez : « cette sixième propose la révocation des élus,... ». Ce qui en d’autres termes indique que le contenu de la nouvelle constitution serait de fait le contenu des « fascicules » (même racine étymologique que « faisceau ». Cela ne vous rappelle rien ?).

    Je vous garantie que s’il n’y avait qu’un seul point de programme : « tabula rasa » : je serais le plus vif pourfendeur des antimélenchons. Et si vous prenez connaissance du contenu du lien sur mon profil vous comprendrez pourquoi.

    @Nabum : content de vous retrouver en pleines formes !



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 15:01

    de Gogole premier @Fourmi Agile
    Ben elle est où la « synthèse minimum » ? Sur C dans l’air ? smiley



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 14:43

    @tobor
    D’accord sur la pauvreté induite par l’uniforme. C’est marrant : j’ai failli vous parler de JJ Golman dans le précédent post pour dire qu’un copain bassiste qui faisait du baloche il y a une vingtaine d’année m’avait dit que le compositeur utilisait toujours les mêmes accords mais qu’il les mélangeaient séquentiellement. De fait on sort de la cadence traditionnelle (ce que vous avez nommé « descente ») du cycle des quintes ; et que c’est peut-être cela qui fait l’originalité et le succès de ses compos.
    Au déjà du vertical je pense que c’est la mélodie qui parvient réellement à élever quelque chose (et celles de JJG ne sont pas mauvaises). Et si cette mélodie est intriquée à l’accompagnement (je pense aux Danses de travers de Satie par ex) alors le résultat est stupéfiant.

    @Marie Mag : navré pour ce hors piste mais que voulez-vous : les articles sur la musique sont rares ou inexistants sur AV donc on en profite pour tchatcher un peu entre zicos. :On a qu’à dire que nous dissertons sur l’harmonie des sphères et de leurs projections dans une mise à plat. smiley



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 03:07

    @tobor
    Chez Chopin, Bach, Ellington... Mais il est bon de préciser que le renversement et/ou la substitution des accords d’une cadence (fusse-t-elle surjouée depuis ces maîtres) à des fins dissimulatrices du tube ancestral est un art combinatoire.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 02:48

    Merci pour cet article.
    La réalité est souvent plus difficile à comprendre que sa représentation ; que cette représentation soit faite de langage, de sons, ou de dessins, etc. Le dessous des cartes est bien plus complexe qu’il n’y parait : et ce n’est pas qu’une question géostratégique. La cartographie est l’un des arts les plus anciens et encore aujourd’hui aucune représentation n’est valable puisque même avec une planisphère (remarquez au passage la dichotomie du terme : plan/sphère) l’on ne voit jamais que la moitié de la réalité.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 02:28

    @Alren
    Je me permets ce ton parce que je sais aussi être sérieux. Bien que la forme soit délétère le fond n’en est pas moins abouti.

    Pourquoi serait-il nécessaire d’inscrire dans la constitution ce que chacun peut décider en son âme et conscience ?

    Et puis il y a aussi le cas à l’autre bout de la chaîne de reproduction. Qui décide qu’un humain en gestation puisse être sacrifié sur l’autel monétaire ? Lui-même ?

    Je m’oppose frontalement à la mise en constitution de ces principes de mort.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 02:14

    @Fourmi Agile et Olivier Cabanel

    Hugh ! Fourmi agile a parlé.
    Nan mais il a raison quoi : t’as chargé un peu la mule là Olivier.
    Tiens je vais faire une recherche gogole : « Fillon : aspects positifs »

    LOOOOOOL



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 24 février 2017 01:57

    @Jean Keim
    Non pas le mode de vie Jean ; mais la propension que les espèces sociales (dont l’abeille fait partie) ont de répartir la richesse. Nous n’avons pas d’estomac social nous humains pour cela ; mais nous avons, contrairement à elles, l’abstraction idéale pour ce faire : la monnaie.
    Ne vous arrêtez pas en si bon chemin au premier article ou au second. Le meilleur se trouve après smiley



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 23 février 2017 17:28

    Tiens Jean ; essaye cela.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 23 février 2017 17:12

    @zygzornifle
    L’étron des tas ?